Une de nos gentilles collaboratrices était présente au Pantoum hier soir alors que BEAT SEXÜ et Les guerres d’l’amour ont pris d’assaut le sympathique lieu de diffusion. On vous partage son compte-rendu (et on en veut d’autres!).
Résumé de Marie-Ève Fortier :
- Commencé en force par BEAT SEXÜ (dernière fois puis Hey girl «up-tempo»), suivie d’une Valkyrie sensuelle.
- A suivi un bloc de covers (pour donner envie d’acheter leur futur album de covers), puis quelques nouvelles chansons, pour terminer en beauté avec Dirty Jim, une de leurs plus entraînantes, et finalement la reprise de Papa, maman, bébé, amour avec nul autre que Gab Paquet (l’auteur original) en personne, accueilli sur scène d’une façon toute particulière.
- La salle était comble (j’ai même entendu dire que c’était sold out!). Ça a commencé assez tôt à se trémousser, pour ensuite vraiment danser rendu à Dirty Jim. Méchante soirée! J’ai rarement vu un type avec un chandail d’Iron Maiden autant tripper sur du pop.
- Le meilleur, cependant, était à venir. Entrée progressive des Guerres D’l’Amour… Je compte, ils sont huit. Pas mal! Non attendez les chanteurs arrivent, ils sont 10! Ah mais attendez encore, ils ont deux danseuses (pour un beau total de 12! Et oui, il y avait deux drummeurs, dont une drummeuse : Lydia).
- Je peux vous dire que la qualité musicale (les trois saxophonistes ont refait monter en moi la passion du funk, du jazz et du soul) et l’ambiance étaient là.
- Le fait que les danseurs (mais aussi tout le groupe) aient parfois des chorégraphies, parfois des moments improvisés, a beaucoup plu au public, qui s’est retrouvé sautant en même temps que le groupe, dansant en même temps qu’eux, tapant des mains. Ça s’est terminé dans un tourbillon d’euphorie avec, en prime, un petit mosh pit amical.
- Et il faisait chaud. Très chaud… Et je ne parle pas seulement de la température de la pièce !
- PS : les membres des Guerres D’l’Amour, très sympas, je leur ai parlé un peu après, pas du tout au dessus de leurs affaires, et très vivants.
- PPS : BEAT SEXÜ, comme vous l’avez probablement vu, travaille actuellement sur une compilation regroupant différents covers de la ville de Québec. La campagne de sociofinacement pour réaliser l’album a commencé aujourd’hui même (ou plutôt hier). Ils espèrent sincèrement que leur campagne porte fruits!
Nous recevrons d’ailleurs BEAT SEXÜ en entrevue au début de la semaine qui s’en vient. Ce sera l’occasion d’en apprendre plus sur cet album. En attendant, on peut aller faire un tour sur leur page indiegogo.