C’est devant un Cercle plein que Ludovic Alarie et Leif Vollebekk sont venus présenter leurs plus récents albums.
Ludovic Alarie faisait office de première partie pour Leif Vollebekk. Il nous a présenté son deuxième album, L’Appartement.
Il était accompagné d’une guitare et d’Adèle Trottier-Rivard au choeur. La complicité entre les deux artistes étaient palpables, et Alarie a réchauffé la foule avec son univers chaleureux qui lui est propre. Une reprise est venue agrémenter le répertoire du jeune auteur-compositeur-interprète.
Leif Vollebekk est entré sur scène sous une salve d’applaudissements. Ce sont deux musiciens qui l’accompagnaient à la guitare et à la batterie. Il a commencé avec Vancouver Time. La foule, attentive pour Vollebekk, était conquise.
Tantôt sur son synthétiseur Moog, tantôt sur une guitare acoustique ou électrique, Leif Vollebekk était à son aise sur scène. Son album Twin Solitude, que j’adore depuis sa sortie, a réussi à bien se transmettre sur scène. Des pièces comme All Night Sedans ou encore Elegy ont laissé place à l’inventivité et le talent de l’auteur-compositeur montréalais. On pouvait voir la complicité entre Vollebekk et ses musiciens sur scène. Une reprise de Jeff Buckley a aussi reçue des applaudissements nourris du public.
Ayant trois albums à son actif, Vollebekk en a profité pour jouer plusieurs chansons de ses derniers albums, comme Off the Main Drag, Photographer Friend. Une complicité était présente lorsque le chanteur s’adressait à la foule, ce qui est toujours apprécié lors d’un concert en salle.
En somme, Leif Vollebekk et sa première partie, Ludovic Alarie, ont réussi à charmer le public du Cercle. J’ai très hâte de revoir à Québec les deux artistes lors de leurs prochains spectacles qui, je suis certaine, feront plaisir à plusieurs.