Du 13 au 17 septembre prochain, le festival POP Montréal va fêter ses seize ans avec plusieurs artistes à découvrir.
Pour l’occasion, le festival invite « groupes méconnus, des trésors oubliés et des classiques ». Elza Soares, RZA, Royal Trux. Les festivaliers auront aussi la chance de voir Dead Obies et Austra.
Il y a beaucoup de talent local dans la programmation, comme le groupe montréalais The Dears, Thee Oh Sees, The Besnard Lakes. Think About Life et Un Blonde. Beyries sera aussi de la partie.
Un mixtape est disponible sur le site du festival pour découvrir les artistes qui composent la seizième édition de Pop Montréal.
Véritable incontournable pour les amateurs de musique en tous genres, le festival Osheaga a dévoilé sa programmation quotidienne la semaine dernière. Du 4 au 6 août, le parc Jean-Drapeau accueillera plusieurs milliers de festivaliers.
Le festival invite pour l’occasion Vulvets, qui ont participé aux Francouvertes, et la chanteuse Bibi Bourelly. S’ajoute à cette programmation le chanteur Leif Vollebekk, le 4 août.
Ce jour-là, vous pourrez voir Lorde, Justice et MGMT. Les amateurs de folk pourront voir Andy Shauf, Angel Olsen, Belle & Sebastian, mais aussi l’artiste montréalais Geoffroy. Si vous en avez l’occasion, allez voir le groupe CHOIR! CHOIR! CHOIR!, qui sera aussi de la partie pour amener les gens à chanter tous ensemble avec leur musique.
Le 5 août, ne manquez pas Solange, Muse et Father John Misty. Men I Trust sera aussi un incontournable à ne pas manquer. Le groupe canadien Arkells, Plants and Animals et les excellents Le Couleur seront aussi en spectacle au Parc Jean-Drapeau pour faire danser la foule.
La dernière journée d’Osheaga sera celle The Weeknd, mais aussi des groupes Local Natives ainsi que Alabama Shakes et la chanteuse Rosie Valland.
Plusieurs autres artistes s’ajoutent à la programmation, que vous trouverez ici.
La septième édition du POUZZA FEST, qui se déroulera du 19 au 21 mai prochain à Montréal, comptera plusieurs artistes provenant de la ville de Québec.
Ce festival punk-rock montréalais qui est un incontournable pour le genre propose trois jours de festivités. La programmation est disponible depuis février sur leur site, et il y en a pour tous les goûts!
Les groupes The Robert’s Creek Saloon, Our Darkest Days, Persistence, Mhedved seront de la partie. Rappelons aussi la présence des groupes Lagwagon, Joey Cape, Pup et The Flatliners.
POUZZA FEST n’est pas seulement pour les amateurs de musique. Un volet extérieur au Quartier des spectacles offre un tournoi de baseball, du yoga et des food trucks. Des activités pour enfants sont aussi proposées.
Le temps des cachotteries est terminé. On peut enfin vous annoncer ce qu’on vous prépare depuis plusieurs semaines déjà.
Pour célébrer ses cinq ans, le blogue ecoutedonc.ca vous présente un spectacle mettant en vedette trois formations musicales de Montréal et de Québec : Lydia Képinski, Le Couleur et Beat Sexü. Ces trois joyaux de la musique émergente enflammeront tour à tour les planches du Cercle le 25 mai prochain. Entre les prestations, DJ Faché et Gab Paquet s’occuperont de l’animation. Pour en savoir plus sur les artistes, cliquez ici.
Les billets seront en prévente sur le pointdevente au coût de 10 $, et vous pourrez vous les procurer à la porte pour 15 $. On espère vous y voir en grand nombre!
C’est aussi l’occasion pour nous de lancer notre campagne de sociofinancement sur Indiegogo. Nous souhaitons amasser 10 000 $ pour continuer de faire rayonner la musique émergente et d’être une référence en la matière. Votre aide nous est précieuse et est grandement appréciée!
Il y a de ces concerts qui nous marque et desquels on sort avec des images plein la tête. Je peux vous le dire : c’était le cas de celui de Matt Holubowski et de la sublime Gabrielle Shonk, en première partie, à l’Impérial Bell les 14 et 15 avril. Les deux spectacles sont déjà complets.
Il y avait des gens de tous les âges à ce concert dans un Impérial Bell en ambiance feutrée avec ses chandelles à toutes les tables. Petite surprise pour les spectateurs : alors qu’une première partie n’était pas inscrite sur le billet, c’est Gabrielle Shonk, de sa voix chaude et unique, qui a assuré cette tâche. Cette artiste sera aussi à l’Impérial ce soir. Accompagnée de la guitare sèche de son musicien Jessy Caron (membre de Men I Trust), Shonk a été ma révélation de la soirée. Elle en a profité pour jouer des chansons qui sont à paraître dans son prochain album, entre autres, Habit. Si on se fie à la qualité de ce qu’on entendu hier soir, ce sera un succès infaillible. Gabrielle Shonk en a aussi charmé plus d’un avec sa reprise de Fast Car, de Tracy Chapman.
Matt Holubowski est apparu sur une scène tamisée. Son spectacle, rodé au quart de tour, a permis à l’auteur-compositeur-interprète de présenter ses chansons. Seul sur scène, puis rejoint par ses musiciens au fil des minutes, il a joué notamment The Warden and the Hangman, qui a été revampée par les improvisations du talentueux musicien et par la guitare envoûtante de Simon Angell. Exhale / Inhale a permis à Marianne Houle, la violoncelliste, de montrer l’étendue de son talent.
J’ai eu un énorme coup de cœur pour A Home That Won’t Explode, interprétée au ukulélé par Holubowski, accompagné par Marc-André Landry (basse) et Stéphane Bergeron (batterie). La complicité était manifeste entre les musiciens sur scène, et tous ont eu l’occasion également de montrer à quel point ils sont talentueux.
Holubowski en a profité pour improviser à quelques endroits sur ses pièces, comme sur La Mer / Mon père, donnant une valeur ajoutée au spectacle. Le duo contrebasse et violoncelle de Landry et Houle en ont charmé plusieurs lors de l’interprétation de Feuille d’argent et feuille d’or.
Les jeux de lumière et l’ambiance de la salle ont permis à la foule de s’imprégner de la musique de Matt Holubowski durant des moments comme Face to Face ou L’imposteur.
Autre moment fort du concert : cette reprise de Lua (Bright Eyes), interprétée par lui et Gabrielle Shonk. Il fallait y être, car c’était définitivement un bijou à entendre. Solitudes a terminé le concert sur une haute note.
Les chansons interprétées par Matt Holubowski m’ont permis de m’évader pendant quelques heures et m’ont émues.
Pour ceux et celles qui les auraient manqués et qui n’auraient pas de billets, vous pourrez vous reprendre au Festival d’été, où ils seront en plateau triple avec Leif Vollebekk et Bobby Bazini le 12 juillet prochain. Gabrielle Shonk, pour sa part, sera en concert au Festival d’été le 10 juillet.
C’est devant un Cercle plein que Ludovic Alarie et Leif Vollebekk sont venus présenter leurs plus récents albums.
Ludovic Alarie faisait office de première partie pour Leif Vollebekk. Il nous a présenté son deuxième album, L’Appartement.
Il était accompagné d’une guitare et d’Adèle Trottier-Rivard au choeur. La complicité entre les deux artistes étaient palpables, et Alarie a réchauffé la foule avec son univers chaleureux qui lui est propre. Une reprise est venue agrémenter le répertoire du jeune auteur-compositeur-interprète.
Leif Vollebekk est entré sur scène sous une salve d’applaudissements. Ce sont deux musiciens qui l’accompagnaient à la guitare et à la batterie. Il a commencé avec Vancouver Time. La foule, attentive pour Vollebekk, était conquise.
Tantôt sur son synthétiseur Moog, tantôt sur une guitare acoustique ou électrique, Leif Vollebekk était à son aise sur scène. Son album Twin Solitude, que j’adore depuis sa sortie, a réussi à bien se transmettre sur scène. Des pièces comme All Night Sedans ou encore Elegy ont laissé place à l’inventivité et le talent de l’auteur-compositeur montréalais. On pouvait voir la complicité entre Vollebekk et ses musiciens sur scène. Une reprise de Jeff Buckley a aussi reçue des applaudissements nourris du public.
Ayant trois albums à son actif, Vollebekk en a profité pour jouer plusieurs chansons de ses derniers albums, comme Off the Main Drag, Photographer Friend. Une complicité était présente lorsque le chanteur s’adressait à la foule, ce qui est toujours apprécié lors d’un concert en salle.
En somme, Leif Vollebekk et sa première partie, Ludovic Alarie, ont réussi à charmer le public du Cercle. J’ai très hâte de revoir à Québec les deux artistes lors de leurs prochains spectacles qui, je suis certaine, feront plaisir à plusieurs.
Douze ans après le dernier album de son groupe Too Many Cooks, Richard d’Anjou a lancé il y a quelques jours son premier album solo, Beautiful Me.
L’album, réalisé avec l’aide du bassiste Jean-François Lemieux, déplace de l’air. La pièce Free débute l’album sur les chapeaux de roues. Les guitares bûchent, et d’Anjou n’a rien perdu de son amour du rock. Beautiful Me a du potentiel radio et elle vous fera monter le son.
Dans une pièce un peu plus folk, Slave, c’est la guitare acoustique qui accompagne d’Anjou. Le chanteur nous embarque dans son univers et nous raconte le tourment et la décadence qu’il a vécus. On chante la liberté et l’espoir, mais aussi l’amour.
Le regard individuel d’Anjou se transforme en un regard sur le monde pour une vision plus collective sur I Keep Pushing.
La vulnérabilité est un thème qui revient souvent dans l’album, mais Richard d’Anjou la travaille bien et se l’approprie.
Le disque est entièrement écrit et composé par Richard d’Anjou, sauf This Place, dont la musique vient de Pascal Dufour. Les guitares sont riches et intenses. Les mélodies servent avec justesse les paroles et les émotions vécues par le chanteur.
L’album solo est bien fait. La production laisse place à la voix du chanteur et aux guitares qui l’accompagnent. Cependant, je trouve que ces dernières se ressemblent et ne semblent pas se démarquer d’une pièce à l’autre.
C’est un beau premier album solo qui présente différentes facettes de l’auteur-compositeur.
Pour son premier EP Endless nights and dreamlike mornings, qui sortira le 7 avril prochain, le groupe Abrdeen nous a dévoilé son vidéoclip pour la chanson Secret Handshake.
Rafraîchissant clip et musique, le clip a été réalisé par Antoine Bordeleau. Les mains baladeuses qu’on ne sait pas d’où elles sont sorties, des confettis, feux de Bengale- on y trouve de tout (même les mains d’une de nos collaboratrices)!
Du 4 au 8 avril prochain dans la ville de Saguenay, se déroulera la 22ème édition du Festival Jazz et Blues.
Des artistes de renom se produiront lors de ce festival, qui en a pour tous les goûts.
Le 4 avril, c’est Cynthia Harvey qui sera au Dôme pour présenter son album éponyme. Les amateurs de Michel Cusson pourront aussi le voir à l’Hôtel Chicoutimi.
Le 5 avril, Martha Wainwright viendra charmer la foule au Théâtre Banque Nationale.
S’ajoutent à la programmation, des noms comme Ian Kelly, Stacey Kent, Betty Bonifassi, Gabriella, Angel Forrest, Cynthia Harvey, Susie Arioli, Safia Nolin, Marie-Noëlle Claveau, Shy-Shy Schullie, Dione Taylor, Misses Satchmo et Sonia Johnson.
Ben Caplan, Jack Broadbent, Victor Wainwright, Jesse McCormack, Jacques Kuba-Séguin, Simon Denizart, Ilam et King Melrose seront aussi de la partie.
Vous avez envie d’y être? Les billets et la programmation sont disponibles sur le site web du Festival. Un événement à ne pas manquer!
Le nouveau festival Santa Teresa, à Ste-Thérèse a annoncé sa programmation qui nous réserve bien des surprises. Il aura lieu au centre-ville de la ville du 27 au 29 avril et est présenté en collaboration avec SiriusXM.
On avait déjà parlé sur le blogue des deux têtes d’affiche du festival, soit City and Colour et Patrick Watson. Les deux spectacles affichent d’ailleurs complet, nous annonce le festival. Le trio Wilsen assurera la première partie de Patrick Watson.
Les autres spectacles seront, entre autres, à l’Église Sainte-Thérèse-D’Avila, le 28 avril. Ce dernier sera bénéfice. Les invités n’ont pas été annoncés pour le moment, mais on reste sur le dossier. Les billets sont en vente au coût de 15 $ et les fonds amassés iront à la fondation Au Diapason, pour aider le programme musicale de l’école primaire Arthur-Vaillancourt.
Derrière l’hôtel de ville, le 29 avril, aura lieu plusieurs concerts dès 18h. A Tribe Called Red, July Talk, The Franklin Electric, Alaclair Ensemble et RYMZ seront de la partie. Les billets sont au coût de 20$ (taxes et frais de service inclus).
Le 27 avril, Xavier Caféine, Dubé et Zen Bamboo seront en concert au bar le Cha Cha. Ce sera au tour de Geoffroy le 28 avril de s’y produire. Quant à lui, Aliocha fera découvrir ses chansons le 29 avril.
Au Monte Cristo, c’est du 100 % rock, avec les groupes We Are Wolves, Duchess Says, SUUNS et HAON. Parions qu’il va faire chaud et que ça va brasser! Dans la salle La Protestante, l’auteure compositrice interprète Beyries viendra présenter les chansons de son excellent album Landing pour notre plus grand bonheur. Tous ses spectacles sont au coût de 12$.
Plusieurs spectacles seront également présentés gratuitement à la Brasserie le Saint-Graal. Dès 20h, des artistes comme Lydia Képinski, Mathieu Bérubé, Philémon Cimon et Mon Doux Saigneur seront en spectacle.
Santa Teresa, c’est aussi les arts visuels. Verticale et SOIR s’occuperont de ce volet.
Pour plus d’infos (et la programmation complète), vous pouvez vous rendre sur le site Web du festival.