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  • Men I Trust présente une nouvelle chanson (et un nouveau clip)

    Men I Trust présente une nouvelle chanson (et un nouveau clip)

    La formation de Québec Men I Trust lance le nouvel extrait Plain View sur le marché international  Cette nouvelle pièce est accompagnée d’une vidéo qui illustre en images leur récente tournée de concerts en Chine (13 au 23 octobre 2016).

    On se retrouve bien sûr en terrain connu : un gros beat trip-hop, des voix éthérées, c’est aérien à souhait. En prime, quelques sonorités orientales. Pas besoin de vous dire qu’on aime bien! Encore une fois, Dragos, Jessy, Emmanuelle et Odile se sont surpassés.

    https://youtu.be/SqR7PsqXXVk

    Jacques Boivin

    16 décembre 2016
    Nouvelles, Région : Québec
  • Spectacles à Québec du 15 au 18 décembre 2016

    Spectacles à Québec du 15 au 18 décembre 2016

    15 décembre

    • Dare To Care célèbre ses 15 ans à l’Impérial Bell avec trois membres de son étiquette Grosse Boîte : Émile Bilodeau, Canailles et Bernard Adamus. Nous y serons. 20 heures. Billets
    • Milk and Bone revient nous voir avec son atmosphère unique au Cercle. Premières parties : Hoodies at Night et Douze camions. Nous y serons. Portes : 20 heures. Billets

    16 décembre

    • Le Pantoum présente The Luyas et Abrdeen. Nous y serons. Portes : 20 heures. 10 $ à la porte.
    • Les Cowboys Fringants sont de retour pour faire le party au Grand Théâtre. Nous y serons. 20 heures. Billets

    17 décembre

    • Saratoga vient présenter Fleur et ses autres magnifiques chansons au Théâtre Petit-Champlain. Soirée magique en perspective. Nous y serons. 20 heures. Billets
    • Nos amis du Bunker D’Auteil proposent un party de bureau pour ceux qui n’ont pas de party de bureau. Au programme : Gab Paquet, Jeanphilip, Lesbo Vrouven, Sam Eloi, Pannetone, Oromocto Diamond, Laratoureuse et plusieurs autres surprises. Dès 21 heures.
    • Fet.Nat, Crabe, Pure Carrière et Victime brasseront le sous-sol du Cercle! Portes : 20 heures. 10 $
    • Busty and the Bass ira vitaminer L’Anglicane avec son énergie débordante. 20 heures. Billets
    • Ça va rocker solide à L’Anti avec BARF, Peroxide Qc et Neophobie. Portes : 19 heures. Billets
    • Valérie Clio est au District St-Joseph. 21 heures.
    • The Dillinger Escape Plan sera au Cercle. Premières parties : Hashed Out et Dead Poets. Nous y serons. Portes : 19 heures. Billets

    18 décembre

    • Wintersleep et Fake Palms sont au Cercle. Portes : 19 h 30. Billets

    Jacques Boivin

    15 décembre 2016
    Nouvelles, Région : Québec
  • Stockholm : La nouvelle chanson de Harfang

    Stockholm : La nouvelle chanson de Harfang

    Harfang – Photo : Marion Desjardins
    Le prochain album de Harfang, Laugh Away the Sun, s’en vient à grand pas et sera lancé en janvier prochain. En attendant, la formation de Québec nous offre un deuxième extrait intitulé Stockholm après la fort jolie et planante Flatline.

    Une chanson plus fougueuse, plus rythmée, qui donne même le goût de faire quelques pas de danse. Samuel montre une fois de plus toutes les nuances de sa (magnifique) voix. De leur côté, Antoine, Alexis, David et Mathieu font ce qu’ils font de mieux : avec leurs instruments, ils nous engagent dans un feu d’artifice d’émotions.

    En plus de la chanson, les gars nous présentent un vidéoclip (qui vaut la peine d’être vu) réalisé par Antoine Bordeleau.

    Il semble bien que 2017 sera une année faste pour nos amis. On va suivre ça de très, très, très près.

    Jacques Boivin

    14 décembre 2016
    Nouvelles, Région : Québec
    Boîte Béluga, Harfang, Stockholm
  • [SPECTACLE] Chris Cohen et Andy Shauf à l’Anti

    [SPECTACLE] Chris Cohen et Andy Shauf à l’Anti

    C’est en une soirée très froide de ce décembre le dix que le navire de Chris Cohen et Andy Shauf s’échoue sur les rives de l’Anti de Québec le temps d’une dernière prestation, celle qui clôt leur longue tournée canadienne.

    Comme beaucoup de gens qui connaissent l’artiste de près ou de loin, j’ai été d’abord happée il y a quelques semaines par l’hypnotisante The Magician. Une chanson comme un trousseau de clés, juste assez pop pour aguicher l’oreille d’un grand nombre, juste assez étrange pour susciter la curiosité. Et c’est avec plaisir que l’on ouvre la porte dont Shauf nous tend la poignée. Une invitation à découvrir son univers riche en mélodies captivantes, ses textes d’incertitudes, d’hivers trop longs, d’amours et de solitudes.

    La première chose que j’ai fait en franchissant les portes, ce fût d’aller vérifier s’il y avait un étui de violon sur la scène. Il n’y en avait pas. J’ai soupiré; ç’aurait été trop beau. Je ne vois pas de clarinette non plus, tant pis! C’est pourtant la clarinette qui ajoute ses mélodies très distinctives à l’album The Party et The Bearer of Bad News; je vous invite à écouter les versions studio pour les apprécier. Il faut savoir que les chansons composées par le musicien blond l’ont été en forme de one-man band : il a joué presque tous les instruments et enregistré dans un petit studio d’abord chez ses parents en Saskatchewan, puis en Allemagne et enfin à Toronto, tout ça quasiment tout seul. Ç’aurait été trop demander d’avoir des arrangements scéniques complets pour un compositeur qui commence à peine à se faire connaître. Malgré ce dénuement, mes chers mélomanes, je peux vous dire qu’à la fin de cette soirée, j’eu la certitude que la perfection a besoin d’au moins quelques défauts pour briller. Aucun violon, ni même de clarinette, mais une musique qui vibre et qui pleure tout aussi bien.

    Il a invité pour l’accompagner en tournée Chris Cohen. Le chanteur et compositeur du Vermont nous introduit à l’ambiance par sa voix posée, aérienne et ses mélodies doucement psychédéliques qui m’ont rappelées le son des albums de Damon Albarn, le compositeur britannique, particulièrement sur l’album The Good, the Bad and the Queen. Accompagné de musiciens tout à fait sur la coche, on se laisse porter. Je complimente l’accrocheuse Caller No.99 et la plus calme mais non moins belle Drink from a Silver Cup. En notre époque de lamentations et de grincements de dents, on a besoin de musique douce qui nous fait oublier, le temps d’une nuit et plus, le désordre ambiant. Mission accomplie.

    Chris Cohen se met sur la pointe des pieds pour chanter ses notes aigues. Comme s’il voulait mieux se rapprocher des nuages qui l’ont inspirés.

    Andy Shauf arrive sur scène. Tout petit, les cheveux comme un rideau derrière lequel il voudrait bien se cacher, il se penche contre sa guitare comme si c’était une veste pare-balles. Alexander All Alone ouvre le show, c’est l’histoire d’un gars qui s’en va fumer une cigarette dehors et qui tombe raide mort à terre. Comme ça, frette sec. Moi j’ai ris un peu, j’sais pas pour les autres. Ça donne le ton.

    On enchaîne avec la très bleue Early to the Party. C’est à partir de là que je me suis ennuyée du violon présent sur la track originale. Mais on oublie rapidement les versions studios quand on contemple la justesse avec laquelle les arrangements ont été faits pour la scène. Simples mais terriblement efficaces, c’est différent. Agréablement différent. La simplicité de l’orchestration nous laisse tout le plaisir d’apprécier le talent indiscutable du jeune musicien pour la composition. Pour être sûr que ses idées originales soient bien adaptées sur scène, il s’est entouré de musiciens d’exception.

    Le drummer, particulièrement, porte sur ses épaules la rythmique impeccable du show. Olivier Fairfield qu’il s’appelle, un gars qui joue avec Timber Timbre et FET.NAT. Si vous désirez, gens de Québec, apprécier davantage son drum, je vous conseille de prendre rendez-vous au Pantoum ce prochain samedi le dix-sept. Il propose un rythme très juste, jusque dans les silences, qui sont d’ailleurs excquis puisque le public s’est enfin donné le luxe de se taire et de respecter la voix très douce de Shauf. On se serait cru dans une église. Dans les espaces entre deux beats qui se laissent désirer, à la musique espacée de silences attentifs, où on retient notre souffle jusqu’à la prochaine note. Parce que ce sont dans les silences que l’on mesure la beauté du bruit.

    Entre deux tounes, malgré une réputation de petit parleur, j’ai réussi à soutirer un secret bien gardé du chanteur aux longs cheveux blonds.

    W h a t   k i n d   o f   s h a m p o o   d o   y o u   u s e ?

    O h ,   P a n t e n e P r o – V   d o e s   i t   f o r   m e .

    Andy Shauf, ce n’est pas que du bruit, bien qu’un non-anglophone peut y trouver parfaitement son compte avec des mélodies si bien arrangées. Mais Shauf, c’est avant tout une écriture. Parfois, son style me rappelle l’album Still Crazy After All These Years de Paul Simon. Il parle sans censure de toi et moi. De tes peines d’amour et de ma solitude, de tes conneries et de mes joies. Dans Quite Like You, tu te prends à aller consoler cette fille qui verse une larme parce que son crush ne s’intéresse pas à elle comme elle voudrait. To You te rappelle la fois où, un peu saoûl et plus ou moins confiant, tu a avoué ton amour à cet autre qui, en réalité, se foutait de ta gueule. Dans The Worst In You, tu cherches désespérément ta blonde qui a disparue dans une maison remplie de monde pis tu te demandes sérieusement si elle veut juste pus te voir la face.

    A r e   y o u   r u n n i n g   a r o u n d   o r   j u s t   r u n n i n g   a w a y ?

    Sur Eyes of Them All t’as envie de danser comme si absolument personne te regardait, parce que tu t’en crisse et que tu t’habilles et tu fais bien tout ce que tu veux et que c’est très bien comme ça. Jenny Come Home raconte l’histoire d’un gars qui trompe sa blonde et qui finit par le savoir accidentellement, tout ça dans un tone très joyeux, clin d’oeil à l’humour sombre de l’artiste.

    A n d   w h e n   y o u   o p e n e d   t h e   d o o r ,

    Y o u   s a w   a   p a i r   o f   s h o e s   y o u   n e v e r   s e e n   b e f o r e .

    Okay, Andy Shauf c’est pas Prince. Ce gars habite une scène autrement qu’avec l’intention d’impressioner. Quand tu écris et compose aussi bien, t’as pas besoin de faire un seul move de danse pour agrémenter ta chanson et c’est très bien comme ça. Par ailleurs, j’ai trouvé une superbe harmonie entre les musiciens sur scène. Le bassman, le claviériste et le batteur regardaient souvent le chanteur avec un réel désir de maintenir une communion musicale. Échangeant sourires complices de musiciens qui ont fait longue route et qui ont encore du gros fun à jouer ensemble.

    La ballade de Wendell Walker a fermé la scène. Le spectacle a commencé avec une mort subite puis s’est terminé avec un meurtre passionel. Entre les deux, l’amour, la fin du monde, de l’alcool pis des cigarettes. Si c’est tu pas un beau et étrange condensé de la vie, je sais pas ce que c’est.

    Andy Shauf, un gars sur qui garder un oeil, (plutôt les deux!) pour les prochaines années et plus.

    Arielle Galarneau

    14 décembre 2016
    Nouvelles, Région : Québec, Spectacles
    Andy Shauf, chris cohen, Indie folk, the magician, the party
  • [spectacle] Gramofaune au sous-sol du Cercle

    [spectacle] Gramofaune au sous-sol du Cercle

    Le 30 novembre dernier, j’ai bravé ma grosse grippe d’homme pour me rendre au sous-sol du Cercle où se tenait une soirée électro avec deux efforts musicaux naissants : Nerdish et Gramofaune. Cette même grippe m’aura empêché d’assister à la prestation de Nerdish, alors je me contenterai de livrer mes impressions quant à Gramofaune :

    Ce que fait Gramofaune s’inscrit dans la lignée de ces quelques groupes de musique électronique qui ont, à travers les années, refusé de faire dans la facilité : Boards of Canada, Bonobo ou même Ratatat. On retrouve en effet le même côté « analogique » dans la musique de Gramofaune. Le numérique n’y occupe une place que très accessoire et le montage d’extraits sonores tirés d’on-ne-sait-trop-où est à l’honneur. L’essentiel de la prestation ne se situe toutefois pas au seul niveau sonore : des projections de courtes séquences visuelles accompagnent les morceaux et rehaussent vivement l’intérêt de la prestation live. Tout ici est « joué » : toutes les séquences, tant audio que visuelles, sont déclenchées par le musicien, rendant le spectacle unique et intriguant. Habile, la composition des morceaux s’inspire de la musique classique ou électro-acoustique et les différentes pièces, tout en offrant une agréable continuité, s’enchaînent de façon fluide sans se répéter.

    La prestation aurait certes bénéficié d’une meilleure salle (d’une scène, d’un éclairage et d’une sonorisation plus puissante, entre autres choses), mais a été vivement appréciée par le public. On a hâte de voir Gramofaune se produire en de meilleures circonstances.

    crédit photo : Phil Gagné
    crédit photo : Phil Gagné
    crédit photo : Phil Gagné
    crédit photo : Phil Gagné
    crédit photo : Phil Gagné
    crédit photo : Phil Gagné
    crédit photo : Phil Gagné
    crédit photo : Phil Gagné
    crédit photo : Phil Gagné
    crédit photo : Phil Gagné

    Olivier P. St-Pierre

    13 décembre 2016
    Nouvelles
    électro, gramofaune, quebec
  • [Nouvelle] Dévoilement de détails sur le Mois Multi

    [Nouvelle] Dévoilement de détails sur le Mois Multi

    Le Mois Multi a lancé une partie de programmation le 29 novembre dernier. Il aura lieu du 2 au 17 février à Québec. 

    La programmation complète sera disponible à compter du 11 janvier prochain à la salle Multi du Méduse, à Québec.

    Cette année, une belle diversité de pays sont représentés dont l’Allemagne, la Colombie, l’Italie, le Royaume-Uni, le Canada et le Québec. Les artistes Karina Smigla-Bobinski, Marswalkers, Quiet ensemble, Kelly Richardson, Marla Hlady, Steve Bates, Le bureau de l’APA et Herman Kolgen participeront à cette édition du festival.

    Le thème de cette édition par la commissaire Ariane Plante est le réenchantement du monde. Il propose une réflexion collective et qui mise sur la nécessité d’être ensemble, a-t-elle déclarée.

    Il y aura deux premières mondiales en ouverture le 2 février. En effet, Herman Kolgen (QC) présentera Impakt, «une performance audiovisuelle et balistique qui questionne notre rapport de proximité avec les objets en opposant violence et magnificence». Du 2 au 4 février, Le bureau de l’APA (QC) offrira une performance indisciplinée avec Entrez nous sommes ouverts. 

    Plusieurs vernissages auront lieu le 18 février, durant le festival.

    Pour plus d’informations, visitez le site Web du festival. 

    Marie-Ève Duchesne

    4 décembre 2016
    Festivals, Nouvelles, Région : Québec
    Mois multi
  • [Nouvelle] Nouvel extrait pour Val Thomas

    [Nouvelle] Nouvel extrait pour Val Thomas

    En prévision de la sortie de son EP Chronicles From the Cave, l’auteur-compositrice Val Thomas a lancé l’extrait Maze. 

    Issu d’une exploration de diverses influences et zones plus sombres, Thomas a enregistré son EP Chronicles From the Cave. Les chansons sont dans l’univers folk.

    C’est le concepteur sonore et musicien Josué Beaucage qui a réalisé l’enregistrement avec le guitariste Simon Pedneault, le batteur Emmanuel Beaudoin et Symon Marcoux à la basse.

    Traduit comme un rite de passage et comme un plongeon dans l’obscurité, les mélodies sont veloutées et l’ambiance intime.

    Le EP sortira au printemps 2017 et le 6 décembre prochain le single Maze sera présenté au Ste-Angèle, à Québec.
    On a déjà hâte d’en entendre d’avantage.

    Marie-Ève Duchesne

    4 décembre 2016
    Nouvelles
  • [SPECTACLE] Foreign Diplomats à l’Anti Bar et spectacles

    [SPECTACLE] Foreign Diplomats à l’Anti Bar et spectacles

     

    Article en collaboration avec Caroline Filion

    C’était un mercredi pluvieux à Québec. Les rues du quartier Saint-Roch étaient désertes. C’est avec étonnement que nous avons constaté la masse de personnes à l’Anti bar pour Foreign Diplomats qui accueillait Zagata en première partie. L’accord des deux groupes était vraiment bien et nous avons senti une belle sensibilité chez Jesse Proteau, auteur-compositeur et interprète du groupe. Il n’y a pas encore beaucoup de matériel disponible sur le bandcamp de Zagata, mais on aime beaucoup leur simple Kill me one more time, qui a maintenant plus de 50 000 écoutes en ligne. Le chanteur nous a touchés en abordant la mort récente de son père, à qui il a dédicacé cette chanson qui aura été la dernière qu’il aura entendue, ainsi que la dernière de leur performance.

    Évidemment, la foule était là pour les gars de Foreign Diplomats, originaires des Laurentides. De retour d’une tournée internationale, Élie Raymond, fondateur et chanteur du groupe a été généreux en entrevue où il nous a raconté l’expérience de leur tournée en Europe et au Mexique.  Vous pouvez revoir l’entrevue ici.

    Comme expliqué en entrevue, les gars intègrent de plus en plus de nouvelles chansons dans leurs spectacles. Ils ont justement osé en commençant avec une nouveauté, ce qui n’a pas gêné le public qui dansait déjà sur les rythmes indie pop. Ils ont poursuivi avec leurs trois chansons les plus connues par les admirateurs, soit Mexico qui paraissait déjà sur leur E.P, ainsi que Comfort Design et Lili nice shoes à qui Élie a dédié la chanson aux souliers d’une admiratrice en première ligne.

    En effet, le contenu littéraire des paroles de Foreign Diplomats peut paraître léger avec leur style se rapprochant du pop rock, mais il traduit bien l’état de l’esprit de l’audience. Par exemple, lors de la chanson Mexico, tout le monde chantait et dansait en criant les paroles du refrain Everyone is dancing, et c’est pour une foule comme cela qu’ils performent et écrivent. On peut sentir qu’Élie est le réel leader du groupe avec la place qu’il prend sur scène, mais également en voyant l’emprise qu’il a sur son public lorsqu’il leur laissait chanter le refrain de Comfort Design à sa place. Nous avions l’impression qu’il était en train de séduire chaque personne présente dans l’assistance avec son regard et sa confiance sur scène.

    Nous croyons que les gars de Foreign Diplomats sont surpris à chaque fois de la qualité de leur public, qui connait beaucoup leurs chansons, mais qui apprécie autant leur musique, que ce soit pour découvrir de nouvelles pièces ou pour savourer le rythme entraînant de celles plus connues. « Vous êtes fins de venir nous voir, vous êtes beaux Québec. »

    Avant Flash Sign For Us, ils nous ont offert une autre nouveauté.  Nous avons dénoté un côté plus électro avec la forte présence de Thomas au clavier. C’est celui-là même qui nous lançait des bruits de fond intergalactiques durant Lies of November, ce qui a fait bien rire la salle. Sa présence n’échappe pas à l’œil et son énergie se transmet autant auprès du public qu’auprès des autres musiciens, qu’il entraîne dans ses mouvements lorsqu’il appuie sur les touches de son clavier.

    À notre avis, la grande force de se groupe c’est son ambiance générale, sa musique et la diversité des sons que l’on peut découvrir dans chaque chanson. Souvent, de par la grande force musicale, on peut perdre un peu les paroles des chansons, mais on sait apprécier l’ensemble de l’œuvre malgré cela, parce que ce que l’on recherche lorsqu’on écoute Foreign Diplomats, c’est un feeling. C’est de se sentir bien, de bouger sur un rythme entraînant et très solide.

    Ils ont terminé la soirée avec leur chanson rassembleuse Beni Oui Oui, et Élie est ensuite réapparu seul à la guitare nous offrant une prestation plus douce et sensible de Color, qui était originairement sur leur album Princesse Flash.

    Foreign Diplomats offrira quelques spectacles au Québec en décembre avant de retourner en tournée en Amérique latine.

    Comme il n’y avait pas de photographe de disponible à L’Anti bar ce mercredi, voici des photos lors de leur dernier passage à Québec.

    Foreign Diplomats – Photo : Marion Desjardins
    Foreign Diplomats – Photo : Marion Desjardins
    Foreign Diplomats – Photo : Marion Desjardins
    Foreign Diplomats – Photo : Marion Desjardins
    Foreign Diplomats. Crédit photo: Marie-Clarys Taillon.
    Foreign Diplomats. Crédit photo: Marie-Clarys Taillon.
    Foreign Diplomats – Photo : Marion Desjardins
    Foreign Diplomats – Photo : Marion Desjardins
    Foreign Diplomats – Photo : Marion Desjardins
    Foreign Diplomats – Photo : Marion Desjardins
    Foreign Diplomats – Photo : Marion Desjardins
    Foreign Diplomats – Photo : Marion Desjardins

     

     

     

    Marianne Chartier- Boulanger

    4 décembre 2016
    Nouvelles, Région : Québec
    Foreign Diplomats, Indie, L’Anti Bar & Spectacles, quebec, rock
  • [Nouvelle] La Liste de Noël Poulet Neige

    Depuis sept ans, Poulet Neige propose de télécharger gratuitement des albums de musiciens de la relève.

    Le processus est simple, vous pouvez choisir tous les albums qui vous accroche dans la liste mise sur le site Web. Des extraits sont disponibles pour vous permettre de vous faire une oreille avant de le télécharger. Aucune limite.

    Vos nouveaux préférés comme Anatole, Bellflower ou San James ou Gab Paquet sont disponibles dans les choix.

    Marie-Ève Duchesne

    1 décembre 2016
    Nouvelles
  • [Nouvelle] Nouveau vidéoclip pour Gab Paquet

    Après la sortie tant attendue de Santa Barbara, le chanteur Gab Paquet a mis en ligne le vidéoclip pour Partouzes.

    La touche rétro et behind the scenes présente la vie de tournée et une communion de la foule avec le chanteur. Le clip a d’ailleur été tourné lors du lancement de l’album au Méduse à Québec.

    Marie-Ève Duchesne

    1 décembre 2016
    Nouvelles
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