Oh boy, s’il y a quelque chose qu’on a beaucoup fait cette année, c’est voir des artistes sur scène. Que ce soit en salle, dans des bars ou sur la grande scène d’un festival, les artistes et groupes qui suivent ont grandement ému nos collaborateurs.
ALICE BEAUBIEN (rédactrice)
1. Run the Jewels, Imperial (FEQ) (Juillet 2015)
Leur flow machiavélique et intelligent te faisait entrer dans une transe folle. On se jetait dans les moshpits avec le reste d’énergie qui nous restait.
2. Galaxie, Impérial (mars 2015)
Galaxie (Photo : Jacques Boivin)
C’était le lancement de leur nouvel album, l’énergie animale des riffs de guitares nous portait dans les méandres de la foule.
3. Chapelier Fou, L’Anti (août 2015)
Inattendu, le français et ses acolytes nous avais emporter dans un imaginaire électronique savoureux.
4. Colin Stetson et Sarah Neufeld au Cercle (juin 2015)
Colin Stetson & Sarah Neufeld (photo : Marion Desjardins)
Une expérience instrumentale surprenante qui m’a fait vivre à fois la douleur et la douceur dans des loops interminable et riche.
5. Random Recipe, Le SPOT (août 2015)
Random Recipe (photo : Marion Desjardins)
C’est des machines à bonheur eux là. La variété musicale, l’énergie sur scène, leur sympathie.
KARINA TARDIF (coordonnatrice de rédaction, Mauricie)
1. James Bay au Métropolis
Une des rares fois où j’ai payé un billet à plus de 30$ !
2. Syzzors au FME
Mon highlight du FME, en plus, j’ai parlé à la chanteuse qui était barmaid au MRCY festival et je lui ai avoué mon amour hihi !
3. Dany Placard au FME
Dany Placard (photo : Marion Desjardins)
L’intimité, l’acoustique, le silence et le sentiment d’être parmi les 30 privilégiés qui ont vécus ça, ça vaut de l’or.
4. Random recipe au SPOT
Random Recipe (Photo : Marion Desjardins)
Mon unique presence au SPOT pour le spectacle de l’un de mes groupes favoris avec ma soeur en première rangée !
5. Emilie Clepper au Cercle
La chanson Wonder a une signification incroyable pour moi et depuis le temps que je rêvais de la voir en spectacle, j’ai sauté sur l’occasion quand j’ai vu qu’elle faisait une mini tournée au Québec. Alors, un dimanche soir, j’ai pris la route pour Québec et j’y ai même amené ma mère et mon beau-père qui ont trippé comme des fous. Donc, en plus de la performance sublime d’Émilie Clepper, ce fut un moment familial memorable
MARION DESJARDINS (photographe)
1. Yonatan Gat, Festival OFF de Québec :
Yonatan Gat (Photo : Marion Desjardins)
Présent lors de la dernière journée du Festival OFF de Québec le groupe a su faire tomber plusieurs mâchoires dont la mienne autant par leur intensité que leur originalité.
2. FM Belfast, Iceland Airwaves Music Festival :
FM Belfast (Photo : Marion Desjardins)
Vu au spectacle de clôture du Iceland Airwaves Music Festival, il ont enchainé leur pièces en réussissant un tour de force : aucuns temps morts, un entrain sans fin rempli de moments forts. Une performance qui m’a paru de seulement 15 minutes tellement tout était parfait, j’en veux encore !
3. Bianca Casady & the C.I.A., Iceland Airwaves Music Festival :
Bianca Casady & the C.I.A. (Photo : Marion Desjardins)
La photographe en moi a été servie : costumes, danse, ½ Coco Rosie, du théâtre mélangé à la musique ainsi que les parfaits membres de The C.I.A., je ferais la file pendant des heures pour revoir ce petit bijoux de performance.
4. Hauschka, Palais Montcalm :
Hauschka (Photo : Marion Desjardins)
Spectacle que je ne pensais jamais pouvoir voir un jour, le compositeur allemand armé de son piano préparé a amplement dépassé mes attentes. Délicatesse, calme et expertise, je me sentais choyée de voir ce virtuose devant moi.
5. Edward Sharpe and the magnetic zeros, Festival d’été de Québec :
Edward Sharpe and the Magnetic Zeros (Photo : Marion Desjardins)
Coup de cœur personnalité lors du Festival d’été de Québec, j’ai été charmée par sa générosité et son souci du public et ce avec une intensité comme j’en voit très très rarement.
FRANÇOIS-SAMUEL FORTIN (rédacteur)
1. Steve Reich par 18 musiciens – Festival OFF 2015.
Music for 18 Musicians (Photo : Marion Desjardins)
Jamais le poil ne m’a levé aussi haut sur les bras que pendant ce concert complètement captivant qui m’a donné un aperçu de ce que doit être la sensation de l’assomption.
2. Yonatan Gat – Festival OFF 2015.
Yonatan Gat (Photo : Marion Desjardins)
La claque dans la face donnée par toute l’énergie brute dégagée par la performance. Le charme de la nouveauté au OFF a empêché le show de la Royale Électrique à M pour Montreal de faire mieux qu’ex-aequo (excellent avec les bonus I.D.A.L.G., We Are Wolves et Corridor).
3. Deerhoof – FIMAV 2015.
Des vétérans du rock expérimental explosif bruyant et ludique qui sillonnaient cette année nos contrées éloignées, soit Victo et Rouyn.
4. SUUNS & Jerusalem In My Heart – FIMAV 2015.
Un des plus chouettes projets collaboratifs à avoir vu le jour cette année, un parfait mélange de psychédélismes bien distincts par ailleurs et des ambiances complètement hallucinantes.
5. Ponctuation-Metz-Black Lips – Festival D’Été 2015.
Une solide dose de rock, qui s’établissait d’avance comme mon show du FEQ2015 et qui s’est avéré l’être. Trois bands au sommet de leur art rocheux.
JULIEN BABY-CORMIER (rédacteur)
1. Plants & Animals (Morrin Centre)
Quel plaisir de découvrir les nouvelles excellentes compositions du groupe. Super concert. L’anticipation pour le nouvel opus est grande.
2. Modest Mouse (Métropolis)
Une bête à plusieurs têtes (8 membres) qui a donné au Métropolis de quoi rassasier les fans pendant quelques mois!
3. Philippe Brach (Théâtre du Petit-Champlain)
Philippe Brach (Photo : Jacques Boivin)
Première expérience avec Brach pour moi et c’était vraiment un excellent show. L’excellente présence sur scène du chanteur y est pour beaucoup et ses tounes sont encore plus efficaces sur scène!
4. Primus (Parc de la francophonie)
Primus & The Chocolate Factory (Photo : Marion Desjardins)
Exactement le genre de soirée rêvée au FEQ. Cette scène aura toujours un petit quelque chose de spécial, encore plus si le groupe a une aussi bonne présence sur scène que la troupe à Les Claypool.
5. Wand (RITZ P.D.B)
Wand est venu défendre les deux disques parus en 2015 servant leurs riffs incendiaires à grand coup de pelle. Solide.
MATTHIEU PAQUET-CHABOT (rédacteur)
1. Jean Leloup (Capitole de Québec, 31 octobre 2015)
Jean Leloup (photo : Jacques Boivin)
Le spectacle en entier était d’une beauté inexplicable. Leloup au sommet de son art avec un orchestre des plus talentueux et une mise en scène à couper le souffle ? Quoi demander de mieux ?
2. Florence + The Machine (Festival Osheaga, 31 juillet 2015)
Trois ans après son passage sur la même scène, Florence Welch nous revient avec de nouvelles pièces et une énergie contagieuse. Sautillant sur scène et dans la foule, le concert était littéralement le meilleur du festival.
3. Stars (Impérial Bell, 6 février 2015)
Stars (photo : Jacques Boivin)
Oui, je suis un fan fini du groupe canadien Stars. Mais tous les spectateurs (trop peu nombreux) qui étaient présents pourront vous dire à quels point le groupe était en forme ce soir là pour nous livrer leur plus grands succès anisi que les nouvelles pièces de No One Is Lost.
4. Galaxie (Festif ! de Baie-Saint-Paul, 24 juillet 2015)
Galaxie (photo : Jacques Boivin)
Langevin et sa bande + Sous-Sol d’une église + la gang du Festif ! = un show malade.
5. Caféïne (Scanner, 2 mai 2015)
Caféïne (photo : Jacques Boivin)
Xavier Caféïne dans les derniers miles de l’album New Love en forme comme jamais dans un bar beaucoup trop remplis. C’était un méchant party autant sur scène que dans le public.
JAY KEARNEY (photographe)
1. Galaxie dans le sous-sol de l’Église durant le Festif suivi de la What Cheer Brigade en concert surprise à 1h du matin dehors devant cette même Église.
Galaxie (Photo : Jay Kearney)
Un des meilleurs, sinon mon meilleur moment de Festival à vie! Merci Clément!
2. Alaclair Ensemble à Limoilou en Musique
Merci Alaclair Ensemble, un criss de bon show!
3. The Sadies au Cercle
The Sadies (photo : Jay Kearney)
Impossible d’être déçu par un show des Sadies.
4. Plume Latraverse en trio acoustique au Grand Théatre de Québec
Plume Latraverse (photo : Jay Kearney)
Mon premier show à vie de Plume. Quoi dire de plus.
5. Dead Obies au SummerLove de Nédélec au Témiscamingue
Ma découverte de l’année . Ce show sur un terrain de baseball perdu restera gravé dans ma mémoire longtemps!
JACQUES BOIVIN (rédacteur en chef)
5. Patrick Watson – Scène Bell, Festival d’été de Québec
Patrick Watson (photo : Jacques Boivin)
J’avais tant de craintes par rapport à ce spectacle, surtout que j’avais vu combien Watson avait été efficace dans un cadre extrêmement intime (à L’Anglicane) et devant 5 000 personnes (au Festivoix). J’avais peur qu’on perde la chaleur de Patrick dans l’immensité des Plaines. Ce ne fut pas le cas. Utilisation maximale de l’immense scène avec des jeux de lumières simples, mais sublimes, cordes et cuivres en masse, trio de choristes, même Robert Charlebois a contribué au charme particulier de cette soirée. La majorité des spectateurs présents ne connaissaient pas Watson à leur arrivée. Ils en étaient tous amoureux à leur départ.
4. Mara Tremblay – Le Festif
Mara Tremblay (Photo : Jacques Boivin)
Dire que j’ai manqué le spectacle solo qu’elle a donné le lendemain et qui, semble-t-il, était encore plus magique! Pas grave. Tout était parfait en ce samedi après-midi. Milk & Bone venait de me rendre émotif avec une prestation bien sentie et voilà Mara et sa famille qui débarque en plein coeur de Baie-Saint-Paul. Concert complet et généreux, on était loin du petit 45 minutes qu’on a en après-midi dans un festival. De la tendresse, de l’amour, des regards complices un peu partout. Cette femme-là respire le bonheur. Et ce bonheur est contagieux.
3. Antoine Corriveau – Le Festif
Antoine Corriveau (Photo : Jacques Boivin)
Un autre qui a donné une prestation mémorable à une heure où on l’imagine encore dormir. Ça sentait la mer et bien qu’on aurait souhaité un peu de brume pour l’ambiance, faut avouer que la présence de ces quelques rayons de soleil apportaient à la musique des Ombres longues et de St-Maurice/Logan une lumière qu’on avait trop rarement vue avec ces chansons. Fallait voir Corriveau debout sur son banc, diriger la chorale du Festif sur Qu’est-ce qui te va? C’était beau.
2. Martha Wainwright – Festival Musique du bout du monde
Martha Wainwright (Photo : Jacques Boivin)
Faut être un peu fou pour organiser des concerts à l’aube. Mais quand on voit le soleil qui se lève doucement sur le Cap Bon-Ami, pendant que Martha chante doucement, on comprend pourquoi nos amis gaspésiens tiennent tant à faire une heure de route au beau milieu de la nuit. Voir un pygargue à tête blanche s’élever derrière Martha sur Traveller, voir le cap prendre une teinte orangée sur Ayoye, j’en ai versé des larmes devant tant de beauté. À vivre. En 2016, le FMBM a invité Milk & Bone. Ça risque d’être spécial.
1. Jean Leloup – Le fantôme de Paradis City, Grand théâtre de Québec
Jean Leloup (photo : Jacques Boivin)
J’ai attendu ce moment pendant 25 ans. Leloup m’a gâté pourri. Il est allé au-delà de toutes mes attentes les plus folles. Seul avec sa guitare, accompagné d’un immense crâne et de projections discrètes, mais magnifiques, notre ami Jean s’est mis à nu comme jamais. Mais ce faisant, c’est souvent dans notre propre âme que nous sommes allés fouiller joyeusement pendant deux heures. Une soirée parfaite avec des chansons qui couvrent l’ensemble du répertoire du poète/guitar hero. La rédemption de John The Wolf est complète. Félix Leclerc, Gilles Vigneault, Robert Charlebois, Jean Leloup. Genre.
Cette année, au lieu de vous offrir un ou deux gros top 50 (d’autres blogues le font mieux que nous), nous avons consulté les membres de l’équipe ecoutedonc.ca pour connaître leurs coups de coeur dans diverses catégories. On commence aujourd’hui avec nos albums de l’année.
Jacques Boivin – rédacteur en chef
5– Jane Ehrhardt – « Terminus »
Ce maxi de Jane Ehrhardt ne s’est pas retrouvé parmi les finalistes au GAMIQ pour rien! Textes magnifiques (n’oublions pas que le français n’est pas la langue maternelle de Jane), mélodies inspirées et inspirantes, ainsi qu’une richesse incroyable du côté des arrangements, c’est plus qu’en masse pour justifier une petite place dans mes coups de coeur de 2015.
La musique est froide, la voix et les mots de Julie sont chauds. Dans cet univers concocté sur mesure pour la jeune femme, Julie Blanche est parfaitement à l’aise et même s’il aurait été facile de tomber dans les nombreux pièges du genre, jamais cet album n’est monotone. Neuf mois plus tard, on découvre encore de nouvelles textures aux chansons.
On a passé l’année à l’attendre. On l’a écouté une boîte de mouchoirs à la main. Bien sûr, la boîte était vide à la fin. Limoilou est brutal dans son approche, rarement un artiste se met autant à nu dans un premier album. Malgré cette brutalité, il reste cette douceur, sur laquelle tout l’album repose. Les deux forces s’opposent et s’attirent, ce qui nous tient sur le fil du rasoir du début à la fin. Wow.
Le roi ponpon nous a offert ce joli retour au début de l’année. Un album qu’on a appris à connaître par coeur, lentement, mais sûrement. Non, ce n’est pas Le Dôme, mais ça demeure une méchante belle galette, probablement la plus personnelle de Jean Leloup à ce jour.
J’avais de grandes attentes à l’égard de nouvel album de Tire le coyote et il ne m’a pas déçu. Notre meilleur auteur québécois à l’heure actuelle joue encore avec les mots comme lui seul sait le faire tout en agrandissant sa palette folk. Du grand Pinette.
Pour les textes intelligents teintés de sarcasme, les thèmes universels abordés (l’amour, la peur de l’engagement, la peur de se montrer vulnérable), les arrangements et les mélodies accrocheuses qui provoque une dépendance.
2. Sound and Color, Alabama Shakes Pour la voix puissante de Brittany, les multiples sensations que j’ai eues pendant la chanson Gemini, pour la run de basse sur Gimme all your love, pour la guitare jazz.
3. Goon, Tobias Jesso Jr
Pour les arrangements à la Beatles ; simples et efficaces, pour les thèmes qui rappellent les amours adolescents.
4. Multi-Love, Unkown Mortal Orchestra
Pour le côté pop/jazz des melodies, pour le soul, pour les souvenirs de roadtrip dans l’Est des USA, pour le thème de l’amour sous l’angle anxiogène.
5. To Pimp A Butterfly, Kendrick Lamar
Pour les mélodies accrocheuses, pour le côté jazz, album qui crée des précédents dans la musique hip hop.
Karina Tardif – coordonnatrice de rédaction, Mauricie
1. Loud Lary Ajust, Blue Volvo
2. Ariane Moffat, 22h22
3. Milk and bone, Little mourning
4. Philippe Brach, Portraits de famine
5. Jean Leloup, À Paradis City
Jay Kearney – photographe
1. Galaxie – Zulu
2. Joel Martel et les Mécaniciens de l’Amour – Un bon moment
3. Kurt Vile – B’lieve i’m going down
4. DeerHunter – Fading Frontier
5. Unknown Mortal Orchestra – Multi Love
Matthieu Paquet-Chabot – rédacteur
1. Milk & Bone – Little Mourning
Un album tellement rafraichissant dans le paysage musical québécois. Du bonbon pour les oreille
2. Kendrick Lamar – To Pimp A Butterfly
Lamar a totalement réinventé le rap avec les touches jazz et funky. Sans compter les textes poignants sur chacune des pièces
3. Galaxie – Zulu
Ça faisait un bail que le Québec n’avait pas reçu une si grosse dose de rock
4. Jean Leloup – À Paradis City
Quelle belle surprise que le retour du chanteur plus en forme que jamais, autant sur scène que sur album
5. Le Couleur – Dolce Desir EP
Ce n’est peut-être pas un album entier, mais ce EP est extraordinaire. Les mélodies sont enlevantes et d’une qualité sans précédent.
Julien Baby-Cormier – rédacteur
1. Sufjan Stevens – Carrie & Lowell
Un disque d’une fragilité et d’une beauté sidérante. C’en est un que je n’attendais pas puisque je n’avais jamais été ébloui par son travail.
2. Wand – Golem
Un album de garage psychédélique d’une efficacité redoutable. Des riffs qui s’imprègnent dans notre cortex cérébral et un chanteur doué.
3. Elvis Perkins – I Aubade
Un troubadour folk sous-estimé. C’est le genre d’album pour lequel on doit être patient tant les arrangements sont foisonnants. Ce n’est pas juste bien fait, ça sort des sentiers battus par les centaines de publications folk chaque année.
4. Modest Mouse – Strangers To Ourselves
Peut-être pas l’album idéal pour découvrir le groupe, mais en tant que fan j’ai été extrêmement heureux de retrouver la troupe d’Isaac Brook en grande forme avec toujours cet indie-rock qui navigue entre la pop et le weird.
5. Deerhunter – Fading Frontier
Un autre album qui demande de la patience. Au départ on s’ennuie des guitares et ensuite on réalise tout le génie de Bradford Cox et ses acolytes tant les chansons forment un tout cohérent.
François-Samuel Fortin – rédacteur
1. Panda Bear – Panda Bear Meets The Grim Reaper.
Une révolution stylistique permanente poussée à son paroxysme par Noah Lennox.
2. Neon Indian – Vega Intl Night School.
L’album parie à la fois sur des sons racoleurs pop et un exercice de style flamboyant et déroutant.
3. PONCTUATION – La réalité nous suffit.
Encore une preuve très réussie de l’évolution constante de la formation de Québec.
4. Il Danse Avec Les Genoux – Post-Dynastie.
Coup de coeur découverte de l’année, une claque psychédélique au visage.
5. Kamasi Washington – The Epic.
Un premier album mastodonte qui porte très bien son nom pour le saxophoniste qu’on connaît pour ses collaborations avec Flying Lotus, Thundercat et Kendrick Lamar.
Marion Desjardins, photographe
1. À Paradis City, Jean Leloup
Le parfait retour du loup à l’état brut, je n’aurais pu demander un album mieux construit que ce dernier, ce n’est pas pour rien qu’il a été autant prisé à l’ADISQ
2. Île de rêve, Les Marinellis
Étant une grande fan du groupe, j’attendais avec impatience sa sortie. 31 minutes de rock psychédélique dansant et sans parler de leur performance sur scène : c’était un coup de cœur assuré
3. Friend, Rozi Plain
J’adore la simplicité, l’originalité de ce nouvel album de Rozi Plain. En période de morosité le sourire revient dès la première chanson. Promis!
4. Prieur&Landry, Prieur&Landry
Un nouveau groupe composé de seulement deux personnes qui sonnent comme 10. Pas grand chose de plus à ajouter appart que ça rentre au poste comme y disent !
5. Limoilou, Safia Nolin
Une autre révélation de l’année qui sort un album touchant même poignant d’une beauté et simplicité infinie où tout passe par la magnifique voix de Safia.
Alice Beaubien – rédactrice
1. Sufjan Stevens, Carrie and Lowell
Parce-que on ne se lasse jamais d’écouter cet album d’une si belle douceur.
2. Milk and Bone, Little Mourning
Leur électro harmonieux et ingénieux était vraiment remarquable pour un premier album.
3. Emilie and Ogden, 10 000
Allier de la harpe à de la pop mélodieuse, quelle surprise, quel beauté !
4. Oddissee, The good fight
Du hip-hop jazzy passé inaperçu au printemps et pourtant qui fait toujours groover, un rayon de bonheur.
5. Safia Nolin, Limoilou
Un album boboche qui parle d’un de mes quartiers préférés, elle m’a fait chialer avec la beauté de sa voix et ses paroles brutes.