Ma quête continue. Ma quête incessante de récupérer mes lettres de noblesse en tant que mélomane aguerri. Pour la compléter, il n’y avait pas meilleur moment que la rentrée automnale, qui comptait plusieurs œuvres de qualité (décortiquées efficacement par tous mes collègues, ici) pour me réactiver mes oreilles entre deux beat de Metro Boomin. Un peu de calme, de l’harmonie et de douceur s’imposaient! C’est ce que m’a offert 10 000 d’Emilie & Ogden : tout à ce quoi je m’attendais, et encore plus!
D’emblée, Emilie et sa harpe (Ogden) imposent déjà un style unique : un instrument atypique (en ce qui me concerne) avec la douce et délicate Emilie Khan. En fait, le nom du groupe n’est aucunement un hasard puisque ces deux éléments sont le cœur et l’âme de la formation (obviously) et que tout les autres éléments s’impliquant dans la mélodie ne sont que des bonbons, ajoutés au passage, afin de bonifier une offre déjà impressionnante. Rien n’est fait dans l’excès puisque la guitare, la basse et la batterie sont conscients que la véritable vedette, c’est Ogden!
La voix d’Emilie est envoûtante et je la laisse avec plaisir me diriger, sans résister (j’me suis même surpris à me fermer les yeux!) De Blame à Dream (qui porte très bien son nom et constitue une superbe conclusion), on ne peut faire autre chose que de suivre et se concentrer sur cette voix harmonieuse qui dicte la mélodie. Je ne verrais pas comment la magie d’Ogden pourrait opérer sans la voix d’Emilie. Un mariage parfait!
Sur 10 000, tout le monde est à sa place. C’est le genre d’album qui nécessitera plusieurs écoutes afin d’y déceler toutes les subtilités puisqu’un réel travail à été accompli à ce niveau afin de bien mettre en valeur Emilie & Ogden. Un opus qui arrive à point, d’un point de vue personnel, me redonnant foi en la créativité de la musique folk. Une première écoute qui fut fort satisfaisante.
La première fin de semaine d’octobre. Toujours une des plus chargées du calendrier culturel. On dirait que c’est encore plus vrai cette année alors que des choix déchirants s’offrent à nous tous les jours.
1er octobre
Commençons par le choix que plusieurs d’entre vous n’avez pas : Coeur de pirate est à l’Impérial Bell pour nous chanter les chansons de son plus récent album Roses. Comme pour toutes les Nuits FEQ, on n’a pas lésiné sur les premières parties : Félix Dyotte et KROY (le projet solo de Camille Poliquin). Ça commence à 20 heures, les portes ouvrent à 19 heures, et les plus impatients d’entre nous peuvent aller prendre un petit drink au Petit Impérial afin d’entrer 10 minutes avant tout le monde. Si vous me cherchez entre 16 et 19 heures…
Par le plus curieux des hasards, l’ancien partenaire de Béatrice Martin dans Armistice, Jay Malinowski, sera avec son Deadcoast à L’Anti Bar et spectacles dès 20 heures (portes 19 heures). Il reste quelques billets (15 $ + frais) disponibles au EXO et sur lepointdevente.com. Son plus récent album, Martel, est magnifique. Comme il date déjà d’un an et demi, on ne serait pas surpris d’entendre du nouveau matériel.
Au sous-sol du Cercle, on pourra voir The Nursery (Toronto), Das Blankout (Montréal), Sweet Caporals et Woodwolf. Soirée complètement rock (indé). Dès 20 h 30 (portes 19 h 30). Un gros 8 $ à la porte vous sera demandé.
2 octobre
Pour ouvrir LE GRAND BOUM, les responsables du Cercle et de Première Ovation ont fait confiance à la jeune Liana Bureau, qui va nous présenter les chansons qu’on devrait retrouver sur son premier album ainsi que quelques reprises soul et Rn’B. À 20 heures (portes 19 heures). Les billets sont 17 $ + frais. Au Cercle, bien entendu.
Au sous-sol du Cercle, la compositrice, interprète et réalisatrice Debbie Tebbs fera danser ses fans avec son électropop aux accents New Wave. La première partie sera assurée par Devil Dandy. Dès 21 heures (portes 20 h), les billets sont 13 $ en prévente, 15 $ à la porte.
Y’a pas qu’au Cercle où ça va danser, le Pantoum offre aussi une soirée remplie de beats alors que Beat Market s’amène pour lancer son disque Sun Machine. Nous avons eu la chance de nous entretenir avec Beat Market, l’entrevue est ici. La première partie sera assurée par un DJ set de Louis-Étienne Santais, de Fjord. Ouverture des portes à 20 heures, le show devrait commencer à 21 heures, 10 $ pour l’entrée, 15 $ pour l’entrée et un CD, BYOB.
Tremblay, qui n’est pas qu’un comédien persécuté, s’amène au Petit Impérial pour présenter les chansons de son album Porcelaine. Le spectacle débute à 20 heures. Portes : 19 h. Les billets sont 20 $. Il risque d’y avoir beaucoup de monde.
La haute-ville n’est pas en reste : à la Librairie Saint-Jean-Baptiste, la tournée Route d’artistes, version automne 2015, présente Joëlle Saint-Pierre et Stéphane Robitaille. Saint-Pierre nous envoûtera avec son vibraphone et sa douce voix pendant que Robitaille détendra l’atmosphère avec ses chansons aussi loufoques que lucides. Contribution volontaire que nous, à ecoutedonc.ca, espérons proportionnelle au plaisir que vous aurez. C’est à 20 heures.
Au Fou-Bar, l’auteur-compositeur-interprète montréalais Mike Evin vient lancer son album Life is a Lover. Si vous aimez la pop avec un peu de oumf et une touche de piano, vous serez charmés. Contribution volontaire. 21 heures.
3 octobre
Pierre-Luc Lessard présente son excellent spectacle dans une de ses salles préférées, Le vieux bureau de poste de Saint-Romuald. Folk-pop bien ficelée par un gars qui a un plaisir évident. Le spectacle est à 20 heures. 17 $
Babylones et Medora seront au sous-sol du Cercle avec leurs compositions indie pop-rock. 21 heures (portes 20 h). 8 $ en prévente, 10 $ à la porte.
On a bien hâte de voir Emilie & Ogden à L’Anti. Parce que ce qu’on a vu d’elle cet été (notamment au Festivoix) nous a mis l’eau à la bouche. Mais aussi parce qu’Emilie Khan a enregistré un album jouissif, unique, qui convainc avant même d’avoir terminé la première écoute. 10 000 est bon de même! La première partie sera assurée par Tora. 20 heures, portes à 19 heures. Vous n’aurez plus l’occasion de la revoir dans un cadre aussi intime, je vous en passe un papier. Aussi bien en profiter tout de suite.
Il y a bien sûr d’autres spectacles à Québec, qui bouge comme jamais ces temps-ci. Pour en savoir plus, nous vous invitons à consulter l’excellent site Quoi faire à Québec.
Le Festivoix de Trois-Rivières vient de se terminer et franchement, on est un peu tristes. On l’a bien aimée, notre première expérience à ce festival qui a une envergure certaine tout en gardant une dimension humaine qui a un peu manqué aux grands festivals ces dernières années. On vous en reparle en fin d’article.
Tout d’abord, parlons de cette dernière soirée féérique composée d’Emilie & Ogden, The Franklin Electric et Patrick Watson. Je vous avoue que j’avais d’énormes attentes par rapport au spectacle de Watson : premièrement, j’avais bien aimé le spectacle de rodage qu’il avait donné à l’Anglicane en avril dernier. Deuxièmement, l’aménagement de la grande scène Loto-Québec du Festivoix permet d’accueillir une foule tout en gardant cette impression d’intimité, un lieu propice à la communion où Watson excelle.
La première à se présenter, Emilie Kahn, l’Emilie d’Emilie & Ogden, s’installe à la harpe. Elle est accompagnée de ses musiciens, avec qui elle impressionnera pendant une belle demi-heure les curieux qui sont arrivés les premiers. Kahn fait partie de nos artistes à surveiller et on a un peu compris pourquoi dimanche soir. Son folk traditionnel pimenté de sonorités modernes, son jeu de harpe, ses mélodies, son regard fichtrement espiègle lorsqu’elle joue de son instrument… Emilie & Ogden a su attirer notre attention!
Les gars de The Franklin Electric ont suivi peu de temps après. Le groupe était allé au Festivoix l’an dernier et ce deuxième passage en deux ans était visiblement attendu. Du moins, c’est ce que l’accueil réservé par le public laisse croire. Les membres du groupe montréalais ont offert les pièces de leur excellent (et atmosphérique) This is How I Let You Down, un album que de nombreux fans semblaient connaître par coeur. Jon Matte passait allègrement des claviers à la voix en passant par la trompette et ses musiciens l’appuyaient dans le voyage proposé par le groupe. On a hâte de les revoir plus tard cet été.
Enfin, la vedette de la soirée, qui allait permettre au Festivoix de se terminer dans la même magie que nous avons vécue tous les soirs où nous étions là : Patrick Watson. Avec François Lafontaine aux claviers et le trio d’enfer aux choeurs (Erika Angell – Thus Owls, Marie-Pierre Arthur et Lisa Iwanycki Moore – Blood and Glass), ainsi que Joe Grass aux guitares, Robbie Kuster à la batterie et Mishka Stein à la basse, Watson s’est surtout concentré sur les chansons de son plus récent album, Love Songs for Robots. Comme sur l’album, la présence des synthés de Lafontaine se fait sentir (la Frank Touch, qu’on dit!) en spectacle. Toutefois, comme nous avons pu le voir lors de son passage à l’Anglicane ce printemps, ce genre de musique est bien plus inspirante sur scène que dans notre téléphone. Il y a bien eu quelques chansons plus anciennes (dont Adventures in Your Own Backyard), mais ce n’est pas grave, des pièces comme Grace vont elles aussi devenir de grands classiques.
Comme nous le disions plus haut, la configuration de la scène Loto-Québec du Festivoix était parfaite pour créer cette communion qui se crée souvent pendant un spectacle de Watson, qui était visiblement dans son élément. Est-ce qu’il en sera de même au Festival d’été dans un peu plus d’une semaine? Seul l’avenir nous le dira.
Bilan
Quand nos nouveaux amis du Festivoix nous ont invité à les visiter cette année, nous ne savions pas trop à quoi nous attendre. Bon, on voyait bien la programmation chaque année, on trouvait qu’il y avait beaucoup de trucs intéressants, mais on n’avait jamais participé à la fête. Maintenant que c’est fait, on peut le dire sans gêne : tous les collaborateurs d’ecoutedonc.ca qui sont montés à Trois-Rivières ont adoré leur expérience. L’accueil a été chaleureux, le centre-ville de Trois-Rivières grouillait d’activité et les gens, j’ai adoré les Trifluviens. Oui, certains éléments de la programmation du Festivoix nous intéressaient moins, par exemple Éric Lapointe, mais notre ami Éric a de nombreux fans qui lui sont fidèles et qui l’aiment d’un amour inconditionnel. Il avait tout à fait sa place dans le haut de l’affiche. Le jazz et la musique classique avaient également leur droit de cité au Festivoix, et c’est bien ainsi.
On a pu sentir la fierté des Trifluviens envers leur festival. Celui-ci titille constamment leur curiosité et ils répondent à l’appel! La scène Bell, une belle scène chaleureuse et intimiste, a eu l’occasion de me surprendre à plus d’une reprise : des jeunes pour Daniel Lavoie, des têtes blanches en grand nombre pour The Barr Brothers. J’ai découvert des artistes du coin, dont Les frères Lemay et Yan Boissonnault, qu’on aimerait bien voir dans notre bourgade un moment donné.
On a raté plusieurs occasions avec les spectacles de fin de soirée, mais quand nous avons enfin pu entrer, nous avons été servis par un show assez hot de Dany Placard, qu’on a pu voir de très près. Les gens se sont approprié ces soirées qui permettent à plein de monde de faire connaissance avec des artistes qu’ils aimeront beaucoup plus tard.
Trois-Rivières est une ville où on mange bien, même quand on mange la pire crap possible, celle-ci a de la classe. Le Zénob est beaucoup plus petit et bas de plafond que dans mes souvenirs, mais c’est toujours un endroit aussi cool.
Nous aimerions remercier l’équipe du Festivoix pour l’invitation et l’accueil chaleureux. Merci à Magalie Julien et à Joannie Gagnon pour les communications rapides, efficaces, professionnelles et surtout cordiales. C’est contagieux, votre truc.
Va falloir qu’on y retourne.
Photos : Galerie 1 – Marion Desjardins (Llamaryon)
Le Festivoix de Trois-Rivières commence dans un peu plus de 24 heures. Comme nous y passerons quelques soirées, profitons-en pour vous dire qu’est-ce qu’on a mis à notre menu :
26 juin
Les Cowboys fringants : Les Cowboys et moi, on s’est comme un peu perdus de vue ces dernières années. Ça ne m’empêche pas d’avoir mauditement hâte aux retrouvailles. Nos amis de Repentigny ont le sens de la fête. En première partie, Les Frères Lemay et leur néo-trad ne devraient pas avoir de mal à dégêner la foule.
En fin de soirée, on hésite encore entre David Marin, Mononc’ Serge et Dead Obies. J’imagine qu’on va se fier à notre humeur du moment.
27 juin
Ariel Pocock et ses airs de jazz sont des incontournables, à notre bien humble avis. Ensuite, un petit crochet vers le spectacle du gagnant des Mardis de la relève 2015, Yan Boissonnault et son folk agricole (de grange?). J’en ai entendu quelques extraits et franchement, y’a quelque chose de spécial chez ce jeune homme et ses airs sortis tout droit d’une autre époque.
1er juillet
Quoi de mieux qu’un spectacle avec The Barr Brothers pour fêter la fête du Canada? On va peut-être aller finir la soirée avec Les Hay Babies, qui donnent un maudit bon show plein d’énergie.
2 juillet
Deux incontournables : Pierre Lapointe et ses chansons colorées, qu’il soit pétillant comme un gros PUNKT! ou qu’il soit triste à Paris. Sans oublier Fanny Bloom, le petit côté sucré d’une soirée divine pour les oreilles et le popotin.
Si on veille tard, il y a aussi Philippe B et ses chansons magnifiques pour terminer la soirée en beauté.
3 juillet
Le match parfait auquel on ne pense jamais assez souvent. Le blues-folk montréalais de Bernard Adamus et le folk universel de Zachary Richard. Une soirée qui va prendre aux tripes et qui pourrait aisément se poursuivre avec le folk punché de Dany Placard ou le bluegrass de Damn The Luck.
5 juillet
On va terminer le Festivoix en beauté avec Emilie & Ogden, qui vient tout juste de signer avec Secret City Records, l’étiquette de la vedette de la soirée. On a bien hâte de voir de nos yeux et d’entendre de près cette auteure-compositrice-interprète talentueuse et sa harpe qui font ensemble de la bien jolie musique. The Franklin Electric n’a pas besoin de présentation et devrait nous mettre en appétit pour Patrick Watson et son magnifique (oui, oui, magnifique) spectacle qui devrait combler tout le monde.
Le reste de la programmation, très variée, peut être consultée sur le site Web du Festivoix. Il reste encore des laissez-passer (49 $) et des billets journaliers. Le 1er juillet, les spectacles extérieurs seront gratuits!
Le Festivoix de Trois-Rivières vient d’annoncer sa programmation complète et franchement, il y en a pour tous les goûts! Des Cowboys fringants à Patrick Watson en passant par un spectacle-hommage à Michael Jackson, les jeunes comme les moins jeunes en auront plein à se mettre sous la dent.
On va juste mettre les noms qui nous intéressent le plus ici (j’insiste sur « le plus », parce qu’on pourrait passer beaucoup de temps sur la prog), mais on vous invite à aller voir la programmation complète au festivoix.com. Alors, voici ce qui nous donne envie de plonger dans l’été avec nos amis trifluviens :
26 juin
Le choix logique, c’est le spectacle des Frères Lemay suivi de nos amis Les cowboys fringants sur la grande scène Loto-Québec. Ça fait longtemps qu’on a pas vu la gang de joyeux drilles sur scène, des retrouvailles sont de mise. On va sûrement vous reparler des Cowboys fringants dans un petit dossier que je prépare pour le Festivoix.
En fin de soirée, nous serons certainement très déchirés : David Marin, qu’on voulait revoir, Mononc Serge, qu’on aime toujours revoir ou Dead Obies et son beat incroyable? Ça va être difficile.
27 juin
Deux jeunes sensations à ne pas manquer sur la même scène : Elliott Maginot et Bobby Bazini. Deux jeunes hommes qu’on va voir très longtemps dans notre paysage.
En fin de soirée, vous vous en voudrez si vous manquez Milk and Bone. Leur électropop minimaliste est tout simplement charmant. Aussi bien en profiter avant qu’elles n’explosent et qu’elles fassent le circuit des énormes festivals.
30 juin
Nous ne sommes pas friands des groupes-hommage à ecoutedonc.ca, mais on vous avoue que la possibilité de revoir Vilain Pingouin après toutes ces années, ça nous chatouille un peu, surtout que le lendemain, c’est férié! Est-ce qu’on vous a déjà dit que Jacques avait vu la première médiatique du premier spectacle de la bande à Rudy Caya au VIEUX Club Soda? Yep, il est vieux de même!
1er juillet
Ici, il faut remercier les organisateurs du Festivoix pour le choix le plus déchirant de leur programmation : Allons-nous voir Les Hay Babies et Vincent Vallières ou préférerons-nous assister au spectacle des Barr Brothers (qui ont lancé un nouveau maxi!!!) dans un cadre intimiste? Si vous choisissez la deuxième option, tout n’est pas perdu, Vivianne, Katrine et Julie donnent un autre spectacle en fin de soirée!
2 juillet
Double plateau de feu avec Fanny Bloom et Pierre Lapointe. Ça va chanter, danser, taper des mains, faire la fête, alouette! Cependant, on aurait aussi aimé aller voir Adam Cohen, qui se dégage de plus en plus de l’ombre de son père malgré des traits plus que ressemblants. Faut croire qu’il y a une part d’hérédité dans le talent. On va tous finir la soirée en douceur avec les chansons imagées de Philippe B.
3 juillet
Bernard Adamus et Zachary Richard? Sérieux? Mais quelle belle idée! Pourquoi ne pas y avoir pensé plus tôt? Bon, ça brasse toujours un peu pendant un show d’Adamus, mais les deux auteurs-compositeurs-interprètes sont loin d’être incompatibles! Joli coup.
On aurait aussi aimé jeter un coup d’oeil à Patrice Michaud.
Enfin, cette soirée risque de se terminer de façon très festive! D’un côté, Dany Placard en duo, de l’autre, les énergiques Damn The Luck qu’on a déjà vu cet hiver!
4 juillet
On vous avoue qu’on monterait surtout pour la fin de la soirée avec des shows de feu des Frères Goyette, de Ponctuation (les frères Chiasson) et de Pierre Kwenders. Va falloir faire des choix difficiles!
5 juillet
En fin d’après-midi, on va sûrement aller dire un petit bonjour à Boogat et ses rythmes chauds avant de se garrocher sur la scène principale où on pourra voir Emily & Ogden, The Franklin Electric et Patrick Watson. Sérieux, on se demande comment on peut mieux clore un long festival comme le Festivoix. On a vu Watson en rodage il y a quelques semaines et on est encore sous le choc. C’est à encercler plusieurs fois sur votre calendrier.
Maintenant, parlons argent : le passeport régulier, qui donne accès à pas mal tout ce que j’ai nommé, n’est que 39 $ en prévente. Oui, c’est ce que j’ai dit, 39 $. Des billets journaliers sont aussi disponibles pour ceux qui ne voudraient faire qu’un aller-retour. Bien sûr, nous irons faire plus d’un tour.
Note : Nous vous présenterons dans les prochaines semaines une série de textes sur certains artistes présents au Festivoix, plus particulièrement sur notre rapport avec eux. Premier texte : les Cowboys fringants. Ça devrait être intéressant. À suivre!