Alexandre Poulin visitait le Moulin Michel à Bécancour pour la toute première fois le 27 octobre dernier. Son public le plus fidèle l’attendait depuis longtemps, si bien que le spectacle a affiché complet assez rapidement.
Alexandre est un amoureux de l’histoire et du français. Dans son spectacle, il raconte autant d’histoires qu’il chante de chansons, même que je pense qu’il raconte plus qu’il chante. Selon moi, c’est ce qui fait que ses spectacles n’ont jamais besoin d’énormément de promotion pour être complets. Les gens savent que le spectacle ne ressemblera en rien à ses albums qu’on écoute chez soi. J’ai été tellement prise par ses histoires que j’ai oublié que je devais prendre des notes. C’est un spectacle où il faut se laisser aller et vider ses émotions.
Le spectacle commence avec la pièce Couleurs primaires, sorti de son tout récent album, Les temps sauvages. Comme c’est le spectacle de sa tournée pour cet album, je m’attendais à entendre ses chansons populaire telles que L’écrivain et Souffler sur les braises lors du rappel. C’est toutefois en début de spectacle que quelques plus vieilles chansons ont été jouées, et je dois avouer que j’ai été surprise, mais surtout très heureuse de ne pas attendre deux heures avant de les entendre.
Je le savais conteur, mais je ne le savais pas rockeur. Oui oui, il a offert un segment du spectacle où son côté plus fêtard ressort en chantant, entre autres, la pièce Fernand. Tout au long du spectacle, il nous raconte les histoires de sa vie avec comme fil conducteur la persévérance et l’importance de croire en ses rêves. Il raconte comment un livre sur Maurice Richard a changé sa vie. Il a terminé en nous bourrant d’émotions pour s’en retourner chez soi avec la chansons Entre chien et loup.
En plus d’être généreux pendant sa performance, il l’est tout autant avec son public, âgé de 7 à 77 ans. Il a d’ailleurs tenu à aller à sa rencontre après le spectacle.
Je n’avais pas de photographe sur place, mais il y avait des caméras vidéo, alors nous pourrons voir bientôt des images de ce magnifique spectacle dans cette salle. Si vous n’êtes jamais allé au Moulin Michel, je vous jure que vous manquez quelque chose! Pour toute la programmation, c’est ici : http://www.pleinsud.ca/spectacle
Impromptue, intime et authentique. C’est de cette manière que je décrirais la soirée passée en compagnie de Ken Villeneuve, Marc-Antoine Guay et Philippe Gosselin. Au deuxième étage de la Microbrasserie le Temps d’une pinte, à peine dix personnes dans le public, ça fourmillait en bas, et les gens n’avaient pas l’air de se douter qu’en haut, nous autres, maudit qu’on était ben.
Le premier est un conteur natif et vivant toujours à Sainte-Rose-du-Nord, petit village au Saguenay-Lac-St-Jean situé sur le bord de la rivière Saguenay. Ken Villeneuve raconte l’histoire de sa famille, de son village, et de son entourage de manière humoristique, en entrecoupant son récit de chansons bien ancrées dans un folk régional. Avec son langage tout droit sorti du Saguenay, il faut quand même être un public averti pour bien comprendre ce qu’il raconte, mais ce n’est pas moins intéressant. J’ai beaucoup aimé replonger dans le passé d’un endroit pas trop loin de ma ville natale que je connaissais très peu. L’univers du conteur est bien précis, et donne certainement envie d’aller faire un tour dans son coin de pays pour voir les installations démesurées de M. Dynastie.
Cela nous mettait donc dans l’ambiance raconteur, simple, comme si on était autour du feu entre amis à s’échanger les potins du village. Je crois que c’est ça que Marc-Antoine et Philippe souhaitent un peu créer en invitant Ken à ouvrir le bal pour eux. Le joyeux personnage est tellement attachant qu’il nous fait tout de suite sentir comme chez nous.
Par la suite, les deux jeunes musiciens nous ont offert un moment évoquant le paysage saguenéen, la forêt, les voyages, la simplicité et le plaisir de se retrouver pour jouer de la musique. Ils s’inspirent de leurs racines, de leurs expériences. Sur leur page Bandcamp, il y a seulement trois pièces disponibles, ce qui est un peu dommage car ce qu’ils proposent mérite de l’attention. La voix plus rauque de Marc-Antoine, rappelant parfois un jeune Daniel Boucher, et celle plus claire de Philippe se marient à merveille. La complémentarité de leurs mélodies à la guitare est également fort intéressante. Ils disaient enregistrer une chanson de temps en temps, quand ils peuvent, pour finalement avoir un album par accumulation. « On ne fait pas ça à la manière traditionnelle, nous autres » disait Marc-Antoine. C’est conséquent avec la manière qu’ils ont de se présenter. Très détendus, sans artifice, mais plein de réel bonheur d’être là où ils sont.
Ils ont essayé de conclure avec la chanson que nous avons fait jouer sur les ondes de CFOU 89.1 cette semaine, la pièce On est ben, sortie en décembre 2016. Toutefois, comme on se sentait entre amis, nous avons fait des demandes spéciales pendant près d’une heure supplémentaire, tout en riant et en s’amusant. Quelques chansons plus sérieuses, d’autres plus humoristiques, et des improvisations également. Bref, un moment empreint de sincérité et qui a fait passer une belle soirée aux quelques curieux qui se sont déplacés, outre la gang d’ecoutedonc.ca que nous étions.
C’est par un long dimanche pluvieux que les plus courageux sont sortis rencontrer, au Nord-Ouest Café de Trois-Rivières, les Bretons des 22 Longs Riffs et les Montréalais de Dissidence, pour une soirée punk rock antifachiste francophone.
Ceux sont les Montréalais de Dissidence qui ont ouvert la soirée, ce qui m’a permis de découvrir ce groupe aux rythmes énergiques, mais je dois admettre que j’attendais avec impatience les 22 Longs Riffs. Nous venons de la même ville, Saint-Brieuc, et je ne les avais pas vus sur scène depuis de nombreuses années. J’avais hâte d’entendre les pièces de leur nouvel album sorti cette année, Balle Populaire. Ils ont joué plusieurs morceaux dudit album, accompagnés par d’autres pièces de leur premier album. J’étais ainsi heureux de pouvoir retrouver 22 LR, la Crise, Désobéissance et de découvrir Alerta ou encore Petit Soldat. Les mots d’ordre restent inchangés; Les 22 Longs Riffs prônent avec ferveur la résistance à toutes les formes d’oppressions, qu’elles soient politiques, policières, économiques, sociales ou encore religieuses, comme entre autres le morceaux Voleur de Vie écrit contre Daech.
Pour les amateurs de vinyles, je dois vous dire que le celui du premier album était magnifique et le nouveau devrait sortir d’ici la fin de l’année. En attendant, vous pouvez toujours vous procurer leur split réalisé avec Dissidence chez Dure Réalité qui a organisé leur tournée. Commencée le 6 octobre dernier à Montréal avec le Revolution Fest, il vous reste encore quelques dates si vous n’avez pas encore eu la chance de les voir.
17 octobre à Montréal au Traxide
18 octobre à Québec au Scanner
19 octobre à Toronto à Coalition
20 octobre à Windsor à The Beer Exchange
21 octobre à Hamilton au Doors Pub
Une ambiance festive règne toujours à la shop du Trou du Diable – Wabasso, alors que les habitués se réunissent pour venir profiter de spectacles de qualité et de bonnes bières brassées sur place. En ce début de saison automnale, nous avions droit à une programmation très colorée pour la soirée.
C’est l’Ontarien Friendly Rich, déjà venu à Shawinigan l’an dernier, qui a ouvert le bal en cassant son français, mais en y allant de compliments pour charmer le public. « Que vous êtes beaux », disait-il, et voilà, j’étais conquise. Il a récemment lancé son 11e album studio en carrière, The Great Blue Heron, qu’il trimbale en petite tournée pour 6 dates au Québec et en Ontario. Dans une entrevue accordée au Huffington Post, il disait qu’en spectacle, sa grande force est au niveau du lien avec l’audience, ce que j’ai pu remarquer durant sa prestation. Toujours prêt à faire une petite blague pour présenter ses chansons, faisant participer le public de manière humoristique (ex.: le faire claquer des doigts entre les différentes chansons, le faire répéter des bouts de chansons impossibles, le faire siffler, etc.) il s’amusait tout autant que les gens présents à la shop.
Il veut également partager le meilleur de sa musique et encore une fois, mission accomplie! Ne connaissant aucunement ce qu’il faisait, j’ai été captivée par les mélodies folkloriques, aux sonorités de bluegrass par moment, et même de country. Que ce soit par le biais du talent de Steve Ward au trombone, le son impressionnant de la guitare de Phil Miles et le rythme endiablé de Joe Sorbara aux tambours. Friendly Rich s’est entouré de musiciens brillants. Les 4 parties de Terry Fox Suite ont été particulièrement intéressantes. Je pouvais imaginer l’athlète pendant son marathon de l’espoir être accompagné de cette trame musicale. Une belle surprise de découvrir cet artiste qui accumule les projets intéressants (il a notamment fait la musique du Tom Green Show) et qui ne cesse de surprendre.
S’ensuit alors les majestueux Jardin Mécanique, que j’ai vu il y moins d’un an au regretté Cabaret Satyre. À ce moment-là, je les découvrais avec un plaisir incommensurable, lors de la journée de l’Halloween. C’était le moment opportun pour un tel spectacle! Cette fois, je savais que j’appréciais déjà l’univers qu’ils proposent: un opéra rock d’horreur qui valse autour des thèmes de la révolution, de l’apocalypse et du pouvoir. Les trois personnages, Augustache, Camélius et Edwidge, sont tous affublés de costumes et de personnalités caricaturales que l’on comprend rapidement. De plus, leur talent fait tôt de captiver l’audience et de la faire sauter à pieds joints dans le sombre monde du sinistre Théâtre Tintamarre.
À nouveau, ils m’ont impressionnée de par leur justesse incroyable, l’efficacité des différentes interventions théâtrales entre les chansons et l’évolution de l’opéra. J’ai également confirmé ma passion pour la rythmique des tambours de Philippe Coulombe et du côté dramatique intense qu’elle apporte aux chansons. Chacun des membres du trio macabre utilise autant ses forces vocales qu’instrumentales. Francis Gagnon, Philippe Coulombe et Sylvain de Carufel sont magistraux dans leur interprétation du déviant Augustache, du narcissique Edwidge et du tourmenté Camélius. Je le répète, mais un spectacle de Jardin Mécanique dans une ambiance automnale, lorsque ça refroidit tranquillement à l’extérieur, c’est immanquablement parfait. Seule petite déception: j’ai vu deux fois le même épisode, mais j’aurais adoré découvrir quelque chose de nouveau, ou alors voir le premier épisode!
Pour sa quatrième édition, le spectacle de la rentrée de l’UQTR tel qu’on le connaît a frapper fort avec sa programmation. Les personnes présentes ont pu se régaler avec la bière du Trou du Diable et du Temps d’une Pinte, pendant que la scène extérieure Vidéotron accueillait Foreign Diplomats, Canailles et Les Cowboys Fringants.
Foreign Diplomats
En spectacle, les gars de Foreign Diplomats ne se contentent pas de reproduire leurs chansons telles qu’elles sont sur l’album. Ils s’amusent en ajoutant des variantes dans la voix ou en mettant plus l’accent sur certains mots ou certaines notes. Ça donne une ambiance un peu enfantine au spectacle, ce qui m’a beaucoup plu. Tous vêtus d’un t-shirt blanc, les gars ont offert une prestation très solide qui donnait juste le goût de danser. Le chanteur, Élie Raymond, était intense dans ses mouvements et il ne s’est pas gêné pour parler avec la foule. Bien que les spectateurs n’étaient pas nombreux à ce moment-là encore, une bonne partie de ceux qui étaient là connaissaient et chantaient les paroles. Plusieurs m’ont même mentionné être venu les découvrir, puisqu’ils avaient aimé ce qu’ils avaient entendu en écoutant l’album pour la première fois lorsque le dévoilement du groupe a été fait, en août dernier.
Avec seulement un album et un EP à leur actif, les gars sont tout de même très professionnels et n’ont pas l’air de débutants du tout. Je trouve que leur style ressemble peu à ce qui se fait au Québec, et ça ne me surprendrait pas de les voir grimper en popularité ailleurs qu’ici. Ils ont un son léché qui mène à une ambiance de fête en spectacle, ce qui a suscité mon intérêt et qui m’a rappelé la fois que je les avais découvert au Ti-Petac il y a quelques mois déjà. Sur scène, ils ont bien sûr joué les chansons de leur album que j’aime beaucoup telles que Queen+King et Lily’s Nice Shoes, qui est ma favorite d’entres toutes. – Karina Tardif
Canailles
C’est pour se préparer à la venue des Cowboys Fringants que Canailles est monté sur scène. L’énergie de ses huit membres, neuf membres en réalité en raison de la présence de Lisa Fortin, une accordéoniste invitée qui remplaçait Alice Tougas-St-Jak affligée par une tendinite, préparait bien le terrain pour les festivités de la rentrée de l’UQTR. Canailles a commencé le spectacle avec des pièces de son dernier album, Backflips. Le groupe transmettait bien aussi son plaisir de la scène en s’adonnant à différentes chorégraphie comme un petit french cancan ou un accroupissement du groupe pour laisser la place à un solo de contrebasse d’Antoine Tardif. Ils ont fait quelques chansons de leurs albums antérieurs. Ils sont revenus avec Dimanche et Parle-moi, deux pièces de leur premier album Manger du bois. Ils ont lancé la fin avec leur plus longue pièce, Fromage, qui a une durée de dix minutes sur l’album Ronds-points et qu’ils se sont amusés à étirer en spectacle. À ce moment-là, on pouvait dire qu’on assistait en personne à un jam de Canailles. Ils ont finalement enchaîné avec Chu brûlé qui met encore une fois Antoine Tardif de l’avant avec un débit rapide et très folklorique, mais cette fois-ci avec sa voix. – Marianne Chartier-Boulanger
Les Cowboys Fringants
On s’entend pour dire que les étudiants de l’UQTR ont eu droit à un spectacle de la rentrée plus qu’exceptionnel, avec une finale digne des gros festivals du Québec. Les Cowboys Fringants sur le campus de Trois-Rivières, je ne crois pas que nous allons avoir la chance de revoir ça de sitôt. J’étais autant excitée d’assister au spectacle que de voir l’engouement des étudiants pour la soirée. Il était facile de prévoir que la majorité de la foule allait se retrouver devant la scène pour les vedettes de la soirée, à 21 h 30. En forme comme jamais, le groupe a commencé avec Bye bye Lou, premier titre de l’album Octobre paru en 2015. L’appréciation du public pour ce dernier opus est encore aussi incroyable, et les chansons me font retomber en adolescence, lorsque Break syndical est sorti. Par la suite, ils ont interprété les classiques de presque chaque album, comme La manifestation, la Reine, 8 secondes, Paris-Montréal, En berne, et l’excellente Octobre. Un moment marquant du spectacle pour l’étudiante que je suis fut quand Jean-François Pauzé, à la guitare, a dit dans le micro « eh, ho! récréo » et que, par la suite, Karl Tremblay a enchaîné et l’a répété tout au long du spectacle. Je sentais tout d’un coup que mon programme universitaire faisait partie intégrante du spectacle, ce qui m’a bien fait rire. Fidèle à leurs habitudes, les Cowboys Fringants se sont déchaînés pour leur public qui était en feu et qui transmettait de l’énergie au groupe. Encore une fois, quelques chanceux ont eu droit à des ballons pendant la chanson La dévisse, et tous les gens présents ont eu la chance d’assister à un spectacle de la rentrée de l’UQTR qui restera dans nos mémoires longtemps! – Caroline Filion
Du 24 au 27 août dernier, le centre-ville de Trois-Rivières a mis ses beaux habits et est devenu complètement blues; ou plutôt TRès blues, devrais-je dire.
La programmation du festival Trois-Rivières en blues à l’Amphithéâtre et dans les restaurants et les bars était particulièrement alléchante cette année. Bien que Styx était la grande vedette de l’événement, notre équipe a tenté de capturer certains moments. Voici donc un bref résumé de notre fin de semaine.
Le 24 août dernier, la première partie du groupe mythique Styx a été présentée comme un groupe de rock abrasif avec des tonalités blues. En effet, The Damn Truth est un groupe qui déplace de l’air. J’ai assisté à un spectacle de qualité. Le groupe assumait un style authentique, porté par chacun des membres. Un style qui nous transportait en 1969, soit dans une époque synonyme de révolte, d’amour et de liberté. Tout d’abord, leur look faisait réellement Woodstock. Cheveux longs, chemises colorées et déboutonnées, jeans et velours. Autrement, leur énergie de scène révélait une passion pour cette époque qui semble les avoir influencés grandement. Le vécu dans la voix de Lee-La Baum rappelle celle de Janis et apportait la touche blues. Tandis que Tom Shemerr, guitariste et conjoint de Lee-la, promettait à la guitare. On a visiblement vu la complicité entre les deux musiciens lors du spectacle. Une complicité autre que musicale. On a ressenti le désir dans leurs rapprochements plus que rapprochés, qui à mon avis, n’étaient pas nécessaires. Tout comme les accessoires qu’ils ajoutaient à leur mise en scène comme l’éloge d’un signe de paix, l’allumage d’une tige d’encens et des changements dans leurs costumes. Le groupe était très solide et le serait encore plus sans ces artifices. Ils méritaient très bien leur place avec Styx. Je vous invite donc à écouter leur album Divilish Folk paru en 2016. (Marianne Chartier-Boulanger)
Jonny Lang était très attendu sur la scène de l’Amphithéâtre ce 26 août. Certains ont été déçus des nombreux moments qui semblaient être improvisés. Cela rendait parfois difficile de reconnaître ses chansons. D’autres ont applaudi son audace et son intensité tout au long du spectacle. Il faut tout de même se rendre à l’évidence de la chance qu’on a eu de l’avoir à Trois-Rivières puisque sa tournée se continue partout aux États-Unis et en Europe, sans toutefois revenir au Québec. Je vous invite donc à surveiller la sortie de son prochain album, Signs, le 8 septembre prochain.
En première partie de Jonny Lang, c’est le Danielle Nicole Band qui est venu réchauffer le public. Pour plusieurs, ce fut une belle découverte. L’excellente guitariste nous a charmés avec sa voix puissante et mature et avec la confiance qu’elle dégage sur scène.
Plus tôt dans la journée, notre photographe s’est rendu au restaurant le Coco Tango pour le spectacle de Riot en duo à 18h30. (Karina Tardif)
En plus des spectacles mentionnés ci-haut, il y avait de très intéressants artistes et groupes qui se sont produit du jeudi au dimanche tels que Simon Lacerte, Mavis Staples, Tess McQUade, Jamiah Roger, Sean Pinchin, Micheal Jerome Brown et Shawn McPherson, pour ne nommer que ceux-là.
Un été signé Shawinigan a encore fait fort, le 11 août dernier, en invitant Guy Bélanger à sa programmation. Nous étions là pour relever l’événement, et comme j’ai plutôt l’habitude de laisser parler mes photos pour moi; les voici donc.
Écoutez Karina et Marianne vous parler de festivals, de critiques d’albums et vous faire découvrir des nouvelles pièces de groupes qu’on aime à Écoutedonc.ca !
À partir de 18 h, le 6 septembre prochain, les étudiants et la population trifluvienne et des alentours pourra profiter d’un spectacle festif avec Foreign Diplomats pour ouvrir la soirée. C’est en avril 2016 qu’on a pu les voir en Mauricie pour la dernière fois alors nous avons bien hâte de les voir interpréter les chansons de leur album Princess flash et peut-être même de nouvelles pièces.
Le groupe Canailles fera continuer la fête en interprétant les chansons de leur nouvel album Backflips et, espérons-le, les chansons de l’album, qui selon mois les a fait connaître davantage, Manger du bois, paru en 2012.
C’est le populaire groupe québécois Les Cowboys Fringants qui viendra clore le spectacle sur la scène extérieur sur le terrain de l’UQTR. Même si on les a vus plusieurs fois, c’est toujours un spectacle mémorable et c’est une chance incroyable que les étudiants ont d’avoir ce groupe sur le terrain de leur Université.