Le Cercle nous a offert hier une folle soirée. La slameuse Queen Ka a ouvert la soirée avec sa belle poésie percussive, accompagnée de supers musiciens qui ont su créé des ambiances fortes qui soutenaient très bien ses propos. J’étais très content (pour ne pas dire extatique) d’entendre une si belle poésie au Cercle en fin de soirée! Ce lieu de diffusion, reconnu pour son public bavard (fermez vos gueules comme dirait le boss), n’a pas fait exception à la règle ce soir-là, mais les incontinents verbaux se sont tous amassés au fond de la salle, laissant une tranche de mélomanes attentifs devant la scène pour mieux boire ses paroles. En plus des ambiances sonores créées par Stéphane Leclerc, le travail de Blaise Borboën-Léonard (oui oui, il jouait avec Lydia Képinski quelques heures plus tôt) est remarquable. Avec des mouvements d’une fluidité déconcertante, il alterne entre les claviers, l’électronique ainsi que son alto branché dans une impressionnante banque d’effets qu’il maîtrise à merveille. Aujourd’hui, faire de la poésie dans un bar, comme ce que Queen Ka nous a présenté est politique et ô combien important pour notre esprit critique et notre culture commune. Merci pour ce beau moment et merci de faire vivre l’art des mots.
Socalled a mis le feu au Cercle. Ces sept mots résument très bien le spectacle hautement énergique qu’il nous a livré hier soir avec des musiciens de feu! Et pour notre plus grand plaisir (j’étais comme un enfant), Sarah Toussaint-Léveillé s’est joint à la fête pour faire des «backs vocals» et même rapper! Socalled ayant réalisé son plus récent album «La mort est un jardin sauvage», la musicienne connaît bien le rappeur, même si parfois elle semblait un peu déstabilisée par sa folie contagieuse. Le groupe est allé dans toute les directions: du funk au Klezmer en passant par des chants d’inspiration arabes, toujours bien sûr avec du rap et une touche d’absurdité. Le multi-instrumentiste a su faire bouger la foule en retenant son attention tout au long de ce spectacle de deux heures en nous faisant chanter, danser, rire et sauter partout. Il a même présenté un tour de magie vraiment bien monté avec des cordes qu’il coupait et qui se rattachaient toutes seules. À un moment, Queen Ka a même été invitée à venir sur scène pour faire un freestyle. Le Cercle a été en fête jusqu’à deux heures!
Le 50e Festival d’été de Québec est lancé et le soleil était au rendez-vous. Heureusement, parce que l’offre était plus qu’abondante, comme le montre notre compte-rendu de la soirée!
Brisa Roché, Scène Fibe
Premier show du FEQ, premier coup de coeur pour le rédac-chef. La jeune américaine a ébloui le public présent avec son emo-pop qui botte des derrières. Une voix incroyable, qui rappelle Amy Winehouse. Une dégaine remarquable, qui fait penser à Björk. Des chansons accrocheuses, qui vont dans toutes les directions, mais qui ne manquent surtout pas de groove. Le fait qu’elle s’exprime parfaitement en français (elle passe beaucoup de temps en France) lui a permis de tisser de beaux liens avec un public qui en redemandait. On espère la revoir bientôt! (Jacques Boivin)
Beat Sexü, Scène Hydro-Québec
La première journée n’était pas encore lancée que le FEQ a dû sortir son 10 cents pour se revirer dessus. On attendait THROES + THE SHINE mais un impair a mis en péril leur prestation de 19h30 sur la Scène Hydro au Carré d’Youville. Bixiga 70 allait prendre le relais à cette heure et c’est à Beat Sexü qu’est revenu le défi de lancer cette 50e édition. Les paillettes du groupe disco-hipster étaient toutes désignées pour chauffer comme il se doit une foule peu nombreuse, un peu figée, mais qui n’a pas su résister longtemps au groove du band. Band qui faisait preuve d’une assurance et d’une aisance digne, lui qui en était tout de même à sa deuxième prestation en moins de 12 heures, après avoir ouvert le OFF durant la nuit. D’ailleurs, les archivistes vérifient, mais il se pourrait bien qu’ils soient les premiers à faire les deux événements la même année (NDLR : PIRE, EN MOINS DE 24 HEURES!). Bref, bien que les conditions étaient particulières, que la voix de Jean-Etienne Marcoux n’était pas toujours stable et que le rythme du show aurait pus être plus constant, les bassins ne se sont pas fait prier pour bouger et la foule c’est très rapidement enthousiasmée devant les funkys et charmants Beat Sexü. Bref, toujours un bon moment, une valeur sûre, mission accomplie. (Christian St-Pierre, collaboration spéciale)
Pierre-Hervé Goulet, Scène Fibe
Après avoir suivi Pierre-Hervé Goulet toute la journée en entrevue un peu partout en ville avec Clément Desjardins à la caméra (des vraies machines de guerre ces gars là), on s’est retrouvé à la scène Fibe du FEQ. Il y avait de l’excitation dans l’air. Le public, ravi de débuter l’événement le plus attendu de l’année à Québec, s’est amassé devant la scène pour profiter de la prestation du chansonneur. Accompagné d’un band de feu, Pierre-Hervé nous a livré ses chansons avec une assurance impressionnante. Son gérant, Richard Samson, a pour sa part brillé à la batterie avec son jeu musclé et très rock. Il vaut la peine aussi de mentionner la qualité incroyable du son lors de son spectacle, chaque instrument avait leur place dans le mix et on comprenait très bien les textes parfois loufoques, parfois philosophiques de Pierre-Hervé Goulet. Après avoir joué presque l’entièreté de son album Faut qu’on bouge et quelques nouvelles, il finit en beauté devant un public festif avec son fameux Medley de Eminem. (Louis-Solem Pérot)
Bixiga 70, Scène Hydro-Québec
La force du nombre! C’est ce qui explique le mieux le phénomène Bixiga 70. Les neuf dudes du band jouent à fond de train dans une sonorité hétéroclite mais d’une cohérence fluide obtenue par la saveur authentique des big bands sud-américains qui restent l’essence de l’œuvre. Les brass se la petent tantôt samba, tantôt funky, comme la guitare rappelle parfois ses héros, particulièrement Santana (ça va de soi!). Les percus envoient des salves tribales qui fessent fort. Y a même des moments où ça flirte avec le prog. En résumé, c’est un exemple éloquent que la tradition et la modernité peuvent se retrouver et réserver un son universel qui soulève les foules. La preuve en est le public de d’Youville complètement conquis devant ces Brésiliens que rien ne semble inquiéter. Finalement, les geeks mélomanes de mon entourage avaient toutes les raisons de s’énerver de les voir débarquer au FEQ. (Christian St-Pierre, collaboration spéciale)
Desjardins, on l’aime-tu?, Scène Bell
En avril dernier est sorti un peu de nulle part une charmante compilation, des artistes dits émergents ont tenté un tour de force en reprenant à leur manière quelques-unes des plus belles chansons de Richard Desjardins. Le disque est devenu un spectacle, l’instant de 2 représentations, une aux Francofolies de Montréal et l’autre à Québec dans le cadre du FEQ (NDLR : Une troisième est à venir au FME, dans les terres de Desjardins).
Si quelques artistes n’ont pas pu se joindre au groupe, la plupart des participants étaient présents pour interpréter leurs reprises à leur manière.
C’est Thomas et Simone, de La voix junior, qui ont entonné en coeur Nous Aurons et parti le bal. A suivi Stéphane Lafleur avec Au pays des calottes, bien maitrisé aux accents country propres au style d’Avec Pas d’Casque. La foule s’est animée avec Boomtown Café en duo avec Adamus et Philipe Brach, énergiques. Le sympathique Matiu a enchaîné avec Le bon gars, s’attirant de chauds applaudissements du public. Ensuite Keith Kouna est venu nous émouvoir avec Jenny, tout en simplicité et en retenue. J’ai aussi bien aimé sa version de Et j’ai couché dans mon char avec les Soeurs Boulay aux choeurs et la foule en arrière-plan.
Pour certains, c’est Fred Fortin qui leur a tiré des larmes, avec Tu m’aimes-tu, que j’avais eu un peu de misère à avaler à ma première écoute, mais très joliment réinterprétée avec des cordes, et surtout Le coeur est un oiseau où l’émotion coulait à flot en fin de spectacle (Note du photographe : vous essaierez de prendre des photos en pleurant, vous). J’avais hâte d’entendre Les Yankees de Klô Pelgag et Philippe Brach, déroutante sur l’album, ils l’ont revisitée plus simplement, avec un piano, une égoïne, la magnifique voix de Klô avec ses airs de diva et un porte-voix pour Brach.
Un mot sur Émile Bilodeau qui a voulu incarner la chanson sur scène en devenant lui-même un vrai bum, à grand coup de références aux Nordiques, il a encore des croûtes à manger pour la comédie, mais sa version nous a permis de nous déhancher!
On sentait que Yann Perreau aurait aimé courir et occuper toute l’immense scène pendant la chouette Dans tes yeux où il a joué l’homme-sax avant de laisser la place à Adamus et ses Mamifères.
Queen Ka est intervenue à deux reprises pour interpeller la foule avec des textes très bien livrés, qui nous rappelait que c’est avant tout pour les images de ses paroles que Desjardins traverse le temps.
Plusieurs duos ou choristes sont venus casser le rythme, (Adamus et Philipe Brach pour groover Boomtown Café, … et j’ai couché dans mon char par Kouna, Fortin avec Le coeur est un oiseau) ce qui a un peu permis d’éviter le piège des hommages où les artistes ne font que se succéder sur scène pour chanter « leur toune ». Le répertoire de Desjardins est tellement vaste, ils n’avaient que l’embarras du choix, merci pour avoir prolongé notre plaisir. Ils ont terminé en choeur par Chaude était la nuit. Un beau début de soirée sur les Plaines, les fesses dans le gazon de la butte, entre deux chaises pliantes.
P.S. mention spéciale aux superbes projections de nature et aux effets de lumière façon « pluie » . (Marie-Laure Tremblay, collaboration spéciale)
Sarah Toussaint-Léveillé, Scène Fibe
Est venue ensuite sur la scène Fibe une des artistes qui a marqué mon actualité musicale en 2016, Sarah Toussaint-Léveillé. Si vous ne la connaissez pas, accourez ACHETER (on encourage aussi financièrement les artistes!) son plus récent album La mort est un jardin sauvage. En formation de quatuor (violon, violoncelle, contrebasse et guitare), Sarah Toussaint-Léveillé nous a charmés avec ses chansons bouleversantes de beauté. Aux thèmes sombres, ses textes viennent vous chercher et vous secouent émotivement. Les arrangements de cordes, minimalistes aux accents jazzés, sont exécutés avec une précision chirurgicale par les excellents musiciens avec Sarah. Malgré des ajouts bien réussis de beat box de la jeune chanteuse, ce spectacle gagnerait grandement à avoir des percussions sur scène. Sa place dans l’album est tellement juste et bien calculée, que son manque se fait sentir à certains moments. De plus, le son du spectacle était inégal; les back vocals et les cordes étaient parfois inaudibles, parfois, trop forts. Malgré ces accrocs mineurs, le public s’est laissé bercer par la douce et émouvante poésie de Sarah Toussaint-Léveillé. (Louis-Solem Pérot)
The Barr Brothers, Scène Hydro-Québec
Un temps absolument idéal était au rendez-vous à l’occasion de la première soirée de la 50e édition du Festival d’été de Québec, et les festivaliers et vacanciers en ont profité allègrement sur la scène Hydro-Québec.
Une foule appréciable était réunie à place D’Youville pour le fameux spectacle des Barr Brothers et leurs invités, Mamadou Koita, Fabio Sissoko et Joe Grass, en remplacement de leurs amis maliens Bassekou Kouyate et Amy Sacko. Rappelons que ceux-ci, malheureusement, n’ont pas pu mettre le pied en territoire canadien et ont dû annuler leur présence à plus d’un événement prévu cet été.
Ce remplacement inattendu semble avoir occasionné un remaniement dans la thématique musicale de la soirée pour le quatuor, qui a misé sur de longs jams progressifs pour égayer les auditeurs. Et auditeurs furent égayés! Même si ça ne bougeait pas énormément à l’avant, c’est que les festivaliers n’avaient, je pense, pas assez d’yeux ni d’oreilles pour apprécier à leurs juste valeur les pièces extrêmement riches et nuancées qui leur étaient offertes avec tant de générosité. Cette richesse, il va sans dire, est attribuable entre autres à la quantité impressionnante d’instruments sur scène et aux mélodies super bien orchestrées. Les pièces jouées, la plupart très longues, nous faisaient carrément entrer dans une sorte de transe magique. On soupçonne d’ailleurs que les musiciens l’étaient aussi par moment!
À la croisée des chemins entre le folk, le blues et la musique du monde (comment la décrire autrement?), la musique des Barr Brothers a cette particularité précieuse et rare de pouvoir littéralement plaire à tous en raison de sa polyvalence incroyable au plan mélodique. Parlant de mélodies, Sarah Page, aux côtés de sa harpe, s’est adonnée à quelques savoureux duels avec Sissoko, au kora (harpe-luth originaire d’Afrique de l’Ouest), tandis que Koita, au balafon, a su faire lever la foule à plus d’une reprise avec son énergie contagieuse, aidé par le talent fou d’Andrew Barr aux percussions. On a été impressionné!
Les comparses ont fermé la soirée avec une version plutôt originale de Us and Them, de Pink Floyd. On aurait voulu un rappel, mais ce sera pour une prochaine fois, on l’espère! (Tatiana Picard)
Photo de couverture : The Barr Brothers – Photo : Jacques Boivin
Québec, est-tu prête?
On l’espère parce que c’est aujourd’hui, à 17 heures, que le coup d’envoi du 50e Festival d’été de Québec sera donné! Pendant onze jours (pas dix, onze!), la vieille capitale vibrera au son des centaines d’artistes qui se produiront sur les différentes scènes et salles du Festival, et ce, dans à peu près tous les genres possibles, du folk introspectif au metal hurlant.
Pendant ces onze jours, une équipe dévouée d’ecoutedonc.ca arpentera le coeur de la ville de haut en bas, puis en haut, pour vous remémorer de beaux souvenirs ou tout simplement vous montrer ce que vous aurez manqué. Non, nous ne serons pas toujours sur les grandes scènes (de nombreux médias mieux équipés que nous y passeront le plus clair de leur temps). Vous nous trouverez, comme toujours, près des artistes locaux et émergents de Québec et d’ailleurs… ce qui ne veut pas dire que nous n’irons pas voir quelques grosses pointures!
Avant de vous présenter nos suggestions, quelques conseils d’usage :
Tous les laissez-passer du Festival ont été vendus. Ce qui veut dire que si vous n’avez pas encore le précieux sésame qui vous permettra d’entrer sur les Plaines, au Pigeonnier ou à l’Impérial Bell, il vous faudra user du bon vieux système D et trouver des âmes généreuses qui voudront bien vous prêter les leurs… ou des âmes qui ont senti le bon filon et qui seront prêtes à vous les louer… ou à vous les vendre à un prix pas toujours dérisoire.
Cela ne veut pas dire que vous ne pouvez pas profiter du Festival d’été! Voyez-vous, les spectacles présentés à la scène Fibe (devant le Parlement) et à la scène Hydro-Québec (à place d’Youville) sont complètement gratuits, et bon sang qu’il y a de la qualité à ces deux endroits! De plus, vous pouvez assister aux nombreux spectacles présentés à L’Anti (rue Dorchester) pour 10 $ par jour.
Cette année, paranoïa mondiale oblige, la sécurité a été rehaussée d’un autre cran. Cela veut dire que tous les sacs et les poussettes feront systématiquement l’objet d’une fouille. Petit conseil : n’apportez que l’essentiel, il y aura une file d’attente spéciale à la scène Bell pour les gens qui arrivent les mains vides! Les collations légères sont permises. Par contre, les bouteilles d’eau (pleines) sont interdites. Oui, c’est un peu con, mais ça fait partie de la game, malheureusement. Vous pouvez apporter une bouteille froissable ou un sac-gourde, tant qu’ils sont vides. Vous pourrez les remplir aux nombreuses stations de remplissages sur les sites principaux. Prévoyez quand même un peu de temps pour le faire, il y a plus de monde que de stations!
Comme toujours, allez-y modérément avec l’alcool et les substances moins licites. On ne veut pas être paternalistes, mais on a déjà eu nous-mêmes des expériences pas trop le fun… déshydratation, coups de chaleur, name it, on y a pas mal goûté.
PRENEZ LE BUS! Entrer en ville et en sortir pendant le FEQ, c’est déjà assez l’enfer de même. Le service spécial du RTC est bien rodé et on peut se retrouver rapidement à destination. Laissez votre auto dans un des par-o-bus du RTC et montez en bus, ça ne coûtera pas plus cher que les stationnements!
Pour en savoir plus, consultez la section Infos pratiques du site Web du Festival d’été.
Les amateurs de country et de bluegrass seront bien servis avec les sympathiques Damn The Luck, qui proposent une musique aux racines américaines qui laisse place à l’improvisation, aux solos et à la joie de vivre. Une musique festive et chaleureuse, un excellent choix pour commencer son festival!
Cette artiste américaine établie en France navigue allègrement entre le folk, la pop, le jazz et le rock avec une touche de synthétiseurs toujours agréable, jamais banal. On va aller la découvrir avec vous!
Surprise! La formation Throes + The Shine a dû annuler sa prestation à la dernière minute. Pour les remplacer, qui d’autre que le groupe le plus rempli de paillettes de Québec, nos amis de Beat Sexü, qui auront joué au OFF près de 17 heures plus tôt? Mettez vos plus beaux habits et venez célébrer avec le fantastique groupe pantoumien!
À Québec, on connaît de mieux en mieux l’auteur-compositeur-interprète d’origine beauceronne. Que ce soit en raison de son succès Faut qu’on bouge, pièce-titre de l’album du même nom, ou pour le plaisir de le voir chanter sur une des nombreuses scènes de la ville, Pierre-Hervé séduit avec ses chansons teintées de folk, de pop, de reggae et j’en passe. Vous voulez savoir pourquoi il a gagné les Apéros FEQ? Venez le constater par vous-mêmes. Believe the hype!
Oh qu’on l’attendait, ce show-là! Inspiré de l’excellent album hommage à Richard Desjardins, le spectacle nous présentera les chansons du grand auteur-compositeur-interprète revisitées par de nombreux artistes émergents et établis d’ici. Une heure toute en émotions, un moment unique.
Du folk. Une touche de jazz. Des cordes. Des belles mélodies. Des textes brillants. Sarah Toussaint-Léveillé propose tout ça. Un beau moment en perspective.
Oh le beau mélange des genres que voilà! Le folk bluesé des Barr avec les sonorités maliennes de Bassekou Kouyaté et Amy Sacko! Cette collaboration toute spéciale ne se reproduira pas de sitôt à Québec. Un événement en soi.
Bassekou Kouyaté et Amy Sacko n’auront pas pu se rendre à Québec pour le spectacle. Grosse, grosse, grosse déception. Néanmoins, les Barr Brothers, eux, seront présents et ont appelé d’autres amis pour jammer avec eux. Ça demeure un événement!
Ouf, on va en voir, du beau (et du bon) monde! Et ça, ce n’est que la soirée numéro un!
Et vous, qui irez-vous voir?
Si vous voyez un membre de l’équipe, n’hésitez pas à nous dire un petit bonjour!