C’était aujourd’hui que nos amis du Cabaret Festif! de la Relève nous ont annoncé les participants de sa septième édition. Les 28 janvier, 11 février et 25 février prochains, à l’Hôtel Le Germain Charlevoix, vous aurez la chance de voir douze projets parmi les plus de 120 candidatures qui provenaient de partout au Québec.
Les participants :
28 janvier
Jérome Casabon
La Guillaumansour Expérience
A Leverage For Mountains
MCC
11 février
Vice E Roi
Miss Sassoeur et les Sassys
Jérôme St-Kant
La Valérie
25 février
Lumière
Émile Gruff
Mélanie Venditti
Doloréanne
Une belle palette de couleurs qui reflète la vigueur de notre scène musicale.
Le porte-parole de l’événement, Keith Kouna, sera présent le 28 janvier et offrira une courte prestation pour lancer le concours. La grande finale, où de nombreux prix seront distribués aux quatre finalistes, se tiendra le 18 mars.
En plus de jouir d’une grande visibilité dans plusieurs médias de la province, les candidats courent la chance de remporter des prix et des bourses totalisant un montant de 15 000 $. De plus, des partenariats avec plusieurs événements et lieux culturels établis permettront aux finalistes de jouer sur des scènes courues au courant de la prochaine année. Le Festif ! de Baie-Saint-Paul offrira comme à l’habitude une prestation rémunérée lors de sa huitième édition aux gagnants du prix du public et du prix du jury.
Vous voulez en savoir plus? Acheter des billets? Découvrir les projets des artistes? Visitez le site web http://lefestif.ca/cabaret/!
Nouveauté cette année : une série de spectacles « post-cabaret » seront organisés au resto-bar Tony et Charlo et annoncés au cours des prochains jours. De quoi nous donner le goût de passer quelques nuits dans Charlevoix!
La formation montréalaise lancera le 20 janvier prochain un septième EP intitulé Nelly et inspiré de la bande originale du film du même nom. Ces chansons créées parallèlement à la musique du film d’Anne Émond (qui sortira également le 20 janvier) se veulent un hommage à Nelly Arcan.
Frannie Holder, Charles Lavoie et Vincent Legault se sont plongés dans l’univers de l’écrivaine et ont eu l’aide de Philippe Brault pour l’enregistrement. On a bien hâte d’entendre la suite… et de voir le film!
La moitié des profits recueillis par la vente de cet album sera versée, à la mémoire de Nelly Arcan, à l’organisme Revivre et au programme La lecture en cadeau.
L’album est déjà en précommande sur Bandcamp et sera disponible sur toutes les plateformes le 20 janvier prochain.
Profitons de l’occasion pour vous rappeler que le groupe sera de passage au Cercle le 10 mars en compagnie de Mauves et de Medora.
Poursuivons maintenant notre rétrospective de 2016 avec les photos préférées de nos photographes (et de nos rédacteurs qui savent se servir d’un appareil photo…)!
Au début 2015, nous avons assisté à la transformation d’Alexandre Martel (Mauves). Le chanteur et guitariste chevelu mettait sur pied un tout nouveau projet aux antipodes du groupe d’origine limouloise. Synthétiseurs, théâtralité, flamboyance : Anatole était né.
Après s’être fait remarquer à Montréal pendant les Francouvertes (Sylvain Cormier, du Devoir, avait ces mots à son sujet : « Du genre qui se la joue comme on ne se la joue plus : s’amène en collant noir à squelette imprimé, maquillage Dracula et visage blanc, pieds nus, genre Alice Cooper chez le mime Marceau. »), Anatole lance trois chansons sur Bandcamp et présente quelques autres spectacles à l’automne (dont ce mémorable double-plateau avec Le Couleur) avant de disparaître (certains disent qu’il est retourné à L.A., d’autres affirment plutôt qu’il était en studio avec ses musiciens) pour mieux revenir en mars 2016.
Depuis, c’est un tsunami. Excellent album, lancement fort couru, Apéro FEQ devant un District St-Joseph bien rempli, la secte de la Nouvelle L.-A. fait le plein de fidèles! Une pétition est même lancée pour qu’Anatole chante Grosse Massue avec Peter Gabriel au Festival d’été de Québec. Malheureusement, le rêve ne se réalisera pas et un petit froid peut être ressenti entre la star et l’auteur de la pétition (votre humble serviteur). Sur les ondes de CKRL, Anatole se permet même de dire que si Gabriel et Anatole ne se parlent pas, c’est à cause de la pétition.
S’en suit une petite querelle sur les médias sociaux… querelle qui atteindra son paroxysme lorsque le relationniste d’Anatole interdit l’entrée d’ecoutedonc.ca à L’Anti. Heureusement, après d’intenses négociations, Anatole, bon joueur, lui donne l’accès à la salle… et à la loge!
Ce soir-là, L’Anti est plein à craquer. Il y a des curieux, bien entendu, mais les fidèles du prophète de la Nouvelle L.A. sont plus nombreux que jamais. Sur scène, le groupe est déchaîné. Le squelette dandy se promène partout, sniffe sur un clavier, s’étend de tout son long sur le bar. La foule en redemande. Si nul n’est prophète dans son pays, Alexandre Martel, lui, captive plus que jamais.
On a retrouvé le squelette dandy quelques jours plus tard à Baie-Saint-Paul dans le cadre du Festif. On en a profité pour lui poser quelques questions… quelle ne fut pas notre surprise de le voir arriver avec Simon, son claviériste!
EDC : Anatole, c’est qui? Simon : Ben Anatole, c’est pas moi. C’est lui. EDC : Anatole, c’est pas toi, c’est lui? Simon : Anatole, c’est lui, je confirme! Moi, je suis là pour aider dans ses desseins. EDC : Alors, l’entrevue se fait avec toi? Simon : Jusqu’à maintenant, oui! EDC : Parfait. C’est quoi la différence fondamentale entre la nouvelle et l’ancienne L.A.? Simon : Faudrait lui demander, mais je pense que les deux ne sont qu’illusion. (Anatole le regarde en approuvant de la tête) Anatole : Faut préciser qu’il n’y a pas d’ancienne L.A. EDC : C’est juste une évolution? Simon : La nouvelle L.A., c’est juste un idéal dans l’esprit d’Anatole. C’est ce que j’en comprends. Moi, je suis là pour mettre des briques de cet idéal dans la réalité. Un idéal où y’a une disco éternelle. EDC : Finalement, t’es comme un maçon dans la vie imagée d’Anatole! Simon : Effectivement. Un des nombreux maçons. Anatole (prend un air exaspéré) : Le truc, c’est que la nouvelle L.A. est déjà là. Il faut juste faire tomber les murs pour voir la véritable nouvelle L.A. qui est cachée derrière. EDC : On te voit souvent à Québec, mais est-ce la première fois qu’Anatole vient à Baie-Saint-Paul? Simon : Ouais. Le Tony et Charlo, c’est un des endroits (Anatole chuchote quelque chose à l’oreille de Simon). T’es déjà venu au Tony et Charlo? Anatole : Oui. Je te dirais que la section motarde de la nouvelle L.A. est basée au Tony et Charlo. EDC : Est-ce que le culte se bâtit aussi en région? En ville, vous êtes presque rendu une secte, de plus en plus de gens viennent aux spectacles, ils connaissent les chansons. Est-ce que c’est semblable en région ou bien le côté un peu plus conservateur de certains endroits rend le culte un peu plus difficile à établir? Anatole : C’est pas beaucoup plus dur à établir. Il y a juste quelques personnes qui sont encore fermées au message, qui préfèrent garder leurs oeillères, mais les gens sont facilement convertis ici aussi! La réaction est assez semblable. Il y a parfois un élément perturbateur qui est, à notre avis, envoyé par le Malin pour essayer de saboter l’aventure, mais généralement, on a des agents qui interviennent assez rapidement et le spectacle se déroule bien. EDC : Quel serait ton message à Philippe Fehmiu (NDLR : le plus festif des festivaliers au Québec) pour qu’il vienne ici cet après-midi? Anatole : Il va pouvoir voir mes cuisses. (Un gros camion arrive…) Anatole : Oh, c’est notre catering qui arrive! EDC : Justement, je voulais vous demander : vous êtes des vedettes planétaires. Est-ce qu’il y a de meilleurs buffets que d’autres? Anatole : Dans notre jet, le buffet est vraiment fantastique. Simon : Le tartare est parfait. Anatole : Mais ici au Festif, c’est peut-être le meilleur mis à part notre catering privé. Il y avait du poulet au beurre… Simon : … une section de rivière où on pouvait se baigner nu… Anatole : … et du thé vert glacé. Le pire catering qu’on a vu, c’est probablement à Sorel. Y’avait un sac de Ring-o-los, mais il était pour tous les bands. EDC : J’ai parlé plus tôt à Gab Paquet. Un personnage coloré. Il n’est pas de la nouvelle L.A., il est plutôt de Santa Barbara… Anatole : … c’est cousin! EDC : On m’a dit qu’il y avait quand même plus de poules à Santa Barbara. Anatole(l’air vexé) : Ça reste à voir! EDC : On a parlé un peu de folk introspectif. (Anatole prend un air très sérieux… il me voit venir avec mes gros sabots) Le bassiste d’Anatole (qui se retourne dès qu’il entend qu’on parle de lui), il joue pas parfois du folk introspectif? Anatole : On en fait tous pour mettre du beurre sur notre pain. J’ai toutefois l’impression que j’ai été mal compris à ce sujet dans les diverses entrevues que j’ai données. Ce qu’on omettait de dire, et j’imagine que c’était pour faire scandale, les journalistes tronquant le propos pour pouvoir vendre du papier, je disais toujours que mes plus grandes influences étaient Joni Mitchell et Bob Dylan, mais ça… EDC : … c’est drôle, on le lit jamais, ça! Anatole : Je ne sais pas pourquoi. Je trouve que ce qu’on fait, c’est ce qui s’approche le plus du folk introspectif. EDC : Bob Dylan, je suis sûr que dans la vie de tous les jours, c’est pas le même gars que celui qu’on voit sur scène non plus! Anatole : Exactement! Et ce soir, je sortirai ma mandoline pour les gens de Baie-Saint-Paul. J’ai l’impression que les gens commencent à ranger leur harmonica et que la scène aligne ses flûtes. EDC : On va voir tes cuisses ce soir, c’est presque une première. Anatole : Seulement si Philippe Fehmiu est là! Est-ce qu’il est là pour vrai? EDC : Il est partout! Anatole, je te remercie pour ta merveilleuse collaboration. Simon : Ça me fait plaisir!
Évidemment, Anatole a fait un tabac à l’heure du souper. L’absence d’un bar où s’étendre pendant Le grand sommeil n’a pas semblé le déranger outre mesure. Il en plutôt profité pour voler des frites et du ketchup à des spectateurs bien trop heureux de partager leur repas avec leur nouveau gourou.
Anatole a continué à propager la Bonne nouvelle un peu partout au Québec pendant l’été. On l’a un peu moins vu cet automne. Paraît qu’il veut laisser la place à son alter-ego, Alexandre Martel de Mauves, qui vient de lancer Coco. Ça ne l’a pas empêché d’être sensuel à souhait à l’Impérial, en première partie de Groenland. Et au moment d’écrire ces lignes, Anatole se préparait à sévir dans un double plateau spectaculaire en compagnie de nul autre que Gab Paquet au Zénob, à Trois-Rivières.
Que réserve 2017 pour Anatole? Lui seul le sait. De retour dans sa nouvelle L.A., il aura sûrement une pensée pour Prince et David Bowie qui, comme lui, avaient le sens du spectacle… et de la controverse. Des modèles, quoi.
À une époque où les musiciens jouent la carte de l’authenticité extrême, rien n’est plus vrai qu’un personnage plus grand que nature. Anatole l’a bien compris.
Allez, repose-toi bien. Tes fidèles auront bientôt besoin de toi.
En attendant, la bonne nouvelle se transmet sur Bandcamp!
Quelle belle façon de terminer son année de couverture de spectacles qu’un concert de Saratoga en toute intimité? Les lecteurs assidus d’ecoutedonc.ca savent à quel point plusieurs d’entre nous aimons le duo formé de Chantal Archambault et Michel-Olivier Gasse et c’est d’abord à titre de simples spectateurs que nous avons assisté au dernier concert de l’année de nos deux tourtereaux préférés. Vous nous pardonnerez donc de n’avoir pris aucune note et d’avoir profité le plus possible du spectacle, que nous avons surtout regardé avec nos yeux (plutôt qu’à travers notre objectif).
La grande scène de la vieille salle semblait plutôt grande à notre arrivée : une vieille radio (Telefunken), un micro double à condensateurs, deux guitares et une contrebasse occupaient le centre de la scène. À 20 heures pile, Gasse vient éteindre la radio et Archambault vient le rejoindre. C’est avec bonheur qu’ils se lancent avec Brise-glace, qui ouvre également l’album Fleur. Le ton est donné : c’est dans la douceur et dans la lenteur que la soirée va se dérouler. Entre les chansons, les interventions se font dans l’humour et la complicité. On a beau les avoir vus à plus d’une reprise, tout est encore naturel, même lorsqu’ils racontent la genèse du band (histoire qu’on a beau connaître, mais qui est toujours racontée différemment… la preuve que ces deux-là parlent avec leur coeur plutôt que par coeur).
Le plaisir croît au fur et à mesure que Saratoga égraine une par une les chansons de son répertoire. Le public écoute religieusement et éclate de rire toutes les dix secondes pendant Reste donc couchée (la chanson de « menstru » que Gasse s’est appropriée) et Douce Leilani (une reprise d’une traduction qui avait d’abord été interprétée par… Michel Louvain! On a presque envie d’aller le voir au Grand Théâtre avec l’OSQ!).
Archambault et Gasse ont beau nous inviter à ralentir l’allure, le temps, lui, file à toute vapeur et après un rappel où nous avons eu le bonheur de chanter Noëla et Madame Rosa (où tout le monde chantait en choeur à la fin), on se rend compte que deux bonnes heures se sont écoulées alors qu’on croyait que nos horloges s’étaient arrêtées.
Je ne le répéterai jamais assez : Chantal et Michel-Olivier nous font du bien.
Saratoga sera de retour dans la région le 11 février prochain au Vieux Bureau de poste de Saint-Romuald. À votre tour de vivre cette belle expérience.
On vous a présenté une nouvelle chanson d’Harfang cette semaine, la succulente Stockholm. Eh bien, on vient d’apprendre que le spectacle de lancement du groupe aura lieu le 26 janvier prochain au Cercle.
Vous voulez y aller? Les billets sont en vente ci-dessous :
La formation de Québec Men I Trust lance le nouvel extraitPlain View sur le marché international Cette nouvelle pièce est accompagnée d’une vidéo qui illustre en images leur récente tournée de concerts en Chine (13 au 23 octobre 2016).
On se retrouve bien sûr en terrain connu : un gros beat trip-hop, des voix éthérées, c’est aérien à souhait. En prime, quelques sonorités orientales. Pas besoin de vous dire qu’on aime bien! Encore une fois, Dragos, Jessy, Emmanuelle et Odile se sont surpassés.
On avait un choix difficile à faire en ce samedi soir… Maginot et ses nouvelles chansons ou Shauf et ses chansons finalistes au Polaris? On a eu un peu d’aide de la gang d’Indica qui nous a gentiment invité à venir voir le jeune Montréalais d’origine maskoutaine roder ses nouvelles pièces. Sachant que Shauf serait entre bonnes mains avec ma camarade Arielle, je me suis dirigé tout sourire vers le Cercle, un peu comme la centaine de fans trop heureux d’entendre (et de voir) leur préféré.
Accompagné de trois musiciens (clavier, batterie et violoncelle), Maginot n’a pas perdu de temps à émerveiller le public avec sa voix un brin éraillée et ses chansons pleines d’émotion. Malgré un vilain rhume, l’auteur-compositeur-interprète a tout donné et ses nouvelles pièces ont rapidement gagné l’affection d’un public extrêmement poli et attentif! Il aurait joué sans ampli qu’on aurait tout entendu pareil! On a même vu des couples danser doucement à l’arrière. Maginot nous a même gâtés en invitant Gabrielle Shonk sur scène le temps d’une chansonnette! On a bien hâte d’entendre ce nouvel album.
En première partie, Helena Deland, accompagnée de Mathieu Bérubé, a bien préparé les spectateurs en présentant, entre autres, les pièces de son maxi Drawing Room. Si on se fie à ce qu’on a entendu, la jeune femme est promise à un bel avenir.
Dare To Care célèbre ses 15 ans à l’Impérial Bell avec trois membres de son étiquette Grosse Boîte : Émile Bilodeau, Canailles et Bernard Adamus. Nous y serons. 20 heures. Billets
Milk and Bone revient nous voir avec son atmosphère unique au Cercle. Premières parties : Hoodies at Night et Douze camions. Nous y serons. Portes : 20 heures. Billets
16 décembre
Le Pantoum présente The Luyas et Abrdeen. Nous y serons. Portes : 20 heures. 10 $ à la porte.
Les Cowboys Fringants sont de retour pour faire le party au Grand Théâtre. Nous y serons. 20 heures. Billets
17 décembre
Saratoga vient présenter Fleur et ses autres magnifiques chansons au Théâtre Petit-Champlain. Soirée magique en perspective. Nous y serons. 20 heures. Billets
Nos amis du Bunker D’Auteil proposent un party de bureau pour ceux qui n’ont pas de party de bureau. Au programme : Gab Paquet, Jeanphilip, Lesbo Vrouven, Sam Eloi, Pannetone, Oromocto Diamond, Laratoureuse et plusieurs autres surprises. Dès 21 heures.
Fet.Nat, Crabe, Pure Carrière et Victime brasseront le sous-sol du Cercle! Portes : 20 heures. 10 $
Busty and the Bass ira vitaminer L’Anglicane avec son énergie débordante. 20 heures. Billets
Ça va rocker solide à L’Anti avec BARF, Peroxide Qc et Neophobie. Portes : 19 heures. Billets
Valérie Clio est au District St-Joseph. 21 heures.
The Dillinger Escape Plan sera au Cercle. Premières parties : Hashed Out et Dead Poets. Nous y serons. Portes : 19 heures. Billets
18 décembre
Wintersleep et Fake Palms sont au Cercle. Portes : 19 h 30. Billets
Le prochain album de Harfang, Laugh Away the Sun, s’en vient à grand pas et sera lancé en janvier prochain. En attendant, la formation de Québec nous offre un deuxième extrait intitulé Stockholm après la fort jolie et planante Flatline.
Une chanson plus fougueuse, plus rythmée, qui donne même le goût de faire quelques pas de danse. Samuel montre une fois de plus toutes les nuances de sa (magnifique) voix. De leur côté, Antoine, Alexis, David et Mathieu font ce qu’ils font de mieux : avec leurs instruments, ils nous engagent dans un feu d’artifice d’émotions.
En plus de la chanson, les gars nous présentent un vidéoclip (qui vaut la peine d’être vu) réalisé par Antoine Bordeleau.
Il semble bien que 2017 sera une année faste pour nos amis. On va suivre ça de très, très, très près.