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  • [PHOTOS] Dark Circles, ROPE, SCARE, 4/12/2015, Le Scanner

    [PHOTOS] Dark Circles, ROPE, SCARE, 4/12/2015, Le Scanner

    Vendredi soir dernier avait lieu un concert réunissant trois bands de musique méchante; Dark circles (MTL), ROPE(QC) et SCARE (mon nouveau groupe préféré de Québec).

    ROPE - Crédit photo: Catherine Bélanger-F
    ROPE – Crédit photo: Catherine Bélanger-F

    Les trois formations qui ne font pas dans la dentelle ont livré une performance bien sentie devant les spectateurs qui s’étaient réunis sur place. Gageons qu’ils sont repartis à la maison éméchés et avec les oreilles qui cillent. C’était vraiment satisfaisant en terme de musique qui « rentre », un peu moins pour les photos (mais, ça c’est pas vraiment important!). Je pense que j’ai eu peur pour ma vie, pour vrai.

    Pour reprendre un ami sur facebook: « Satan fait des plaintes de bruit quand Dark Circles jam. »
    Si t’as le goût de te faire brasser, rate pas le prochain show de n’importe quel de ces bands là, tu seras pas déçu. Promis.

     

     

     

    Dark circles: http://darkcircles.bandcamp.com/album/mmxiv
    Rope: http://ropeqc.bandcamp.com/
    SCARE: https://scareqc.bandcamp.com/

    ROPE – Crédit photo: Catherine Bélanger-F

    Catherine Bélanger-F

    8 décembre 2015
    Région : Québec, Spectacles
    dark circles, Le Scanner, loud, metal, rope, Scanner, Scare!, show, Spectacle
  • [SPECTACLE] Ponctuation (+Saam et La Fête), 3/12/2015, L’Anti Bar et spectacles

    [SPECTACLE] Ponctuation (+Saam et La Fête), 3/12/2015, L’Anti Bar et spectacles

    Afin de fêter leur retour en terre natale après un séjour chez les cousins français, PONCTUATION débarquait à l’Anti pour une des dernières dates chez eux avant longtemps, et ils étaient accompagnés pour l’occasion de Saam et de La Fête.  Aux côtés des frères Chiasson qui formaient le duo d’origine, on trouvait naturellement Laurence Gauthier-Brown qui s’occupe depuis plusieurs mois des basses fréquences,  on trouve aussi deux autres musiciens, ce qui fait qu’on se retrouvait devant un quintet. Nicholas Jenkins, que l’on peut entre autres voir aux côtés de Paul Michelo, s’occupait d’ajouter aux guitares des tonalités enrichies que les compositions accueillaient plutôt bien. Alex Beaulieu, claviériste dans le groupe stoner rock de Québec, Les Indiens, s’est plutôt occupé du clavier, des bongos et enfin des maracas, dont il jouait parfois en plus du clavier. Mais je saute des étapes. Les deux groupes qui étaient en charge d’amorcer les festivités ont bien rempli leur mandat et ont procuré dans bien des cas de belles découvertes aux mélomanes réunis sur place.

    La fête

    C’est La Fête qui avait la tâche ingrate de briser la glace, et ils ont bien relevé le défi. Il faut dire que la place d’abord quasiment déserte, mais déjà assez bien peuplée pour les premières notes, laissait augurer une soirée plus tranquille qu’à l’habitude. Le début du concert a été retardé d’une demie heure, repoussé à une heure déjà un peu plus appropriée pour le rock garage, et le band s’est finalement approprié la scène vraiment rapidement. En quelques secondes, on avait l’impression que la soirée était déjà solidement amorcée, tant le groupe avait commencé avec aplomb.  Le quatuor originaire de Québec, au sein duquel on retrouve notamment Jim à la basse, un des fondateurs du Pantoum et membre de Beat Sexü, entre autres. Ils nous font découvrir leur math rock, post rock, un peu jazzé sur les bords, avec des montées vraiment épique, d’abord pendant des pièces avec le chanteur, puis, pour la quatrième pièce, ils y vont avec un morceau instrumental judicieusement baptisé la 4. En tout, cinq ou six pièces leur ont permis d’ouvrir la soirée efficacement.

    SaamC’était ensuite le tour de Saam de Montréal, de prolonger le concert, après un assez long change-over, avec leur rock propulsé par un quintet, qui s’apparentait parfois à Mac Demarco, mais en plus groovy. Le vocal avait un style assez exubérant, comme c’était le cas dans le premier show, qui se mariait bien au son assez psychédélique du band. Certains moments étaient plus catchys alors que d’autres étaient plus déroutants, les pièces downtempo étant généralement les moins bien accueillies par l’assistance. Certains passages avaient l’air plus jammés que d’autres et on a pu découvrir au groupe une belle originalité. La performance était assez réussie même si le chanteur-guitariste semblait être le seul à avoir du plaisir sur scène, les autres adoptant plutôt l’attitude concentrée. Ils ont avoué en être qu’à leur second concert, ce qui explique peut être la chose. Quoiqu’il en soit, ce fût une belle découverte.

    Ponctuation

    Ponctuation a pris place après une entracte plus courte que la première, et ils se sont d’abord installés à trois. Alors que se terminait la première pièce, Poésie Automatique, qui ouvre également leur plus récent album, le groupe a accueilli les deux invités qui allaient agrémenter la soirée, Jenkins et Beaulieu. Ils ajoutent rapidement solidité au son du groupe, qui enchaîne les hits d’abord avec Mon corps est une planète, ce qui conquiert la foule. On a droit à un slam-parterre de danse dès Ciao Bye Ciao, qui arrive bien assez vite, et au premier moment de body surfing juste après, pendant La Réalité me suffit. Le band décide  de se taper un shooter avant d’amorcer une pièce inédite, qu’ils n’étaient pas censés faire ce soir là à l’origine, l’instrumentale Peyotle Dominical, qui s’insère bien dans la soirée. La deuxième guitare ajoute pas mal de tone et permet des explorations sonores habituellement  impossibles sur scène pour le groupe, et elle se retrouve particulièrement efficace dans les délires psychédéliques, lents ou rapides, auxquels elle ajoute de la texture. Une mer de distorsion sert de tapis rouge à une finale assez explosive digne d’un bon jam-band rock, sur laquelle on a eu droit à une nouvelle séance de bodysurfing, qui confirmait le staut de franc-succès de la soirée. Le spectacle n’était peut-être pas aussi explosif que certaines performances récentes de PONCTUATION, mais il était indéniablement solide. L’essentiel, pour une formation réputée pour ses concerts impeccables, était de ne pas diminuer le niveau de qualité avec l’ajout de membres ponctuels n’ayant pas la même quantité d’heures de pratique derrière la cravate, et à ce titre là également, il n’y avait pas de faux pas à dénoncer.

    Photos : Marion Desjardins/ Llamaryon

    François-Samuel Fortin

    7 décembre 2015
    Région : Québec, Spectacles
    Anti, beaulieu, chiasson, indiens, jenkins, La Fête, michelo, Ponctuation, saam
  • [PHOTOS] Les Marinellis à la Sainte-Barbe, 4/12/2015, La Barberie

    [PHOTOS] Les Marinellis à la Sainte-Barbe, 4/12/2015, La Barberie

    Les marinellis à la Ste-Barbe, événement annuel organisé par La Barberie. Buffet, bonne bière et bonne musique!

    Les Marinellis Capuano Records
    Les Marinellis Capuano Records
    Les Marinellis Capuano Records
    Les Marinellis Capuano Records
    Les Marinellis Capuano Records
    Les Marinellis Capuano Records
    Les Marinellis Capuano Records
    Les Marinellis Capuano Records
    Les Marinellis Capuano Records
    Les Marinellis Capuano Records
    Les Marinellis Capuano Records
    Les Marinellis Capuano Records
    Les Marinellis Capuano Records
    Les Marinellis Capuano Records
    Les Marinellis Capuano Records
    Les Marinellis Capuano Records
    Les Marinellis Capuano Records
    Les Marinellis Capuano Records
    Les Marinellis Capuano Records

    Catherine Bélanger-F

    7 décembre 2015
    Région : Québec, Spectacles
    Capuano Records, La Barberie, Les Marinellis
  • [SPECTACLE] Tire le coyote, 5/12/2015, Grand théâtre de Québec

    [SPECTACLE] Tire le coyote, 5/12/2015, Grand théâtre de Québec

    05122015-210840-08-Tire le coyote

    J’avais mes billets pour ce spectacle depuis la mi-février. Ça vous donne idée à quel point j’avais hâte de voir Benoit Pinette, mieux connu sous son nom de plume Tire le coyote, et ses acolytes. Surtout que pour ce retour à la maison, dans la salle Octave-Crémazie du Grand théâtre de Québec, le gagnant de deux Lucien au GAMIQ 2015 (album folk et vidéoclip de l’année) a mis le paquet : un invité spécial de taille, Luc De Larochellière, et une belle brochette de musiciens invités (une violoniste – Marie-Christine Roy – et une violoncelliste – Marie-Pier Gagné, Sylvia aux choeurs, ainsi que l’excellent Vincent Gagnon au piano) qui s’ajoutaient à la formation de base (Shampouing, Cédric Martel, Jean-Philippe Simard et Jean-Daniel Lessard).

    Bien sûr, le menu de la soirée était composé principalement des pièces de l’excellent Panorama, sorti au début de l’année sous une pluie de critiques positives, mais Pinette s’est aussi gâté en jouant quelques morceaux plus anciens qui ont plu aux nombreux fans de la première heure. Les frissons n’ont pas tardé à s’installer avec cette version bonifiée de Jésus. En fait, toutes les chansons au programme avaient juste un peu plus de punch que d’ordinaire, parfait pour un fan fini comme votre pas très humble serviteur qui avait l’impression de voir un tout nouveau spectacle.

    05122015-211312-15-Tire le coyoteLes cordes de Mmes Roy et Gagné ajoutaient une couche d’émotions à des chansons qui en ont déjà leur lot, mais Pinette s’est montré sage en ne beurrant pas trop épais. Les musiciens ne jouaient pas sur les chansons où on aurait pu les sentir de trop. Il y a eu même quelques moments à trois (Pinette, Shampouing et Lessard), de petits bijoux d’intimité qui n’ont pas manqué de donner la chair de poule aux spectateurs des premières rangées. D’un autre côté, Confetti, une chanson déjà riche et complexe, a pris son envol avec l’ajout des cordes et du piano. Ça coulait salé sur de nombreuses joues, dont les miennes. C’est tellement beau!

    Lorsque Blowin’ in the Wind (avec le piano, le Dylan de 2015 aurait été fier en maudit) a suivi Chanson d’amour en sol standard, j’ai eu cette pensée : si les Texans parlaient français, cette soirée aurait constitué un maudit bel enregistrement d’Austin City Limits. Oui, la foule avait du plaisir, mais devant nous, les dix personnes sur la scène prenaient visiblement leur pied. Ça se souriait, Martel et Simard se taquinaient tout en fredonnant joyeusement les paroles à l’arrière, même Vincent Gagnon, d’ordinaire sérieux et concentré, avait du fun!

    J’ai eu quelques doutes quand on nous a annoncé que Luc De Larochellière serait l’invité spécial de la soirée. Je ne sais pas pourquoi, l’intérêt ne me sautait pas aux yeux. Les deux artistes ont de méchantes belles plumes, j’en conviens, mais j’avais du mal à concevoir comment leurs univers réussiraient à se mélanger. Pinette, lui, savait ce qu’il faisait en l’invitant. Une chanson comme J’ai vu, tiré de son plus récent (*hum*) album solo, s’intégrait parfaitement à l’univers proposé pour la soirée, surtout avec les cordes ajoutées! Luc De est venu faire quelques tours tout au long de la soirée, dont au rappel (qui a été généreux, quand on y pense!). Un bel ajout, surtout de la façon dont on l’a intégré au spectacle!

    Dans l’ensemble, nous avons passé une soirée magnifique. Un répertoire généreux, un auteur-compositeur-interprète génial qui a su s’entourer de complices talentueux, plusieurs générations de fans dans la salle. Si 2015 a été une belle année pour Tire le coyote, ce spectacle montre une chose : ça ne fait que commencer.

    Merci pour la belle année, Benoit.

    Jacques Boivin

    7 décembre 2015
    Région : Québec, Spectacles
    folk, Grand Théâtre de Québec, Luc De Larochellière, Panorama, Sylvia, Tire le coyote
  • [SPECTACLE] Emilie & Ogden de passage en Mauricie

    [SPECTACLE] Emilie & Ogden de passage en Mauricie

    Après nous avoir charmés cet été au Festivoix, Émilie Kahn a fait un retour qui n’est pas passé inaperçu dans la région. Le public est venu en nombre au Trou du Diable et au Temps d’une Pinte pour l’accueillir. Plus aucun billet n’était disponible et les chaises ont manqué.

    Émilie Kahn n’a cependant pas été la seule à profiter de ce public qui a également eu la chance de voir deux premières parties. Au Trou du Diable, le groupe Cosmophone interpréta ses compositions présentant un harmonieux mélange de rock, de jazz, d’électro et de pop alors que Joe’s Paperboat fit entendre sa chaleureuse voix au Temps d’une Pinte.

    EmilieAndOdgen_02

    Lorsque Émilie Kahn commença à jouer, toute l’attention du public était rivée sur elle et tout le monde se tut pour profiter de la magnificence du son de sa voix et de sa harpe Ogden. Elle nous a tout simplement envoûtés en interprétant l’ensemble de son album intitulé 10 000 et sa reprise de Style de Taylor Swift. Nous avons même eu la chance d’entendre en rappel un morceau inédit que j’aimerais bien voir présent sur le prochain album.

    La beauté de ses pièces a touché tout le monde et les émotions ont été partagées entre Émilie Kahn et le public. Tout le monde était heureux d’être là et Émilie, très à l’aise avec le public, en profita pour nous raconter des anecdotes et faire des traits d’humour. Ce fut d’ailleurs le cas lorsqu’elle a présenté ses musiciens : un guitariste qui joue du plus petit piano au monde et un batteur qui joue d’une batterie de taille bien normale. Je pourrais aussi vous relater ce qu’elle nous a confié sur l’enregistrement de son album ou la réalisation du clip de What Happened, mais je vais garder le silence. Je préfère vous laisser la chance de le découvrir lors d’une de ses prestations.

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    Je n’ai plus qu’à vous faire un aveu. J’ai eu la chance de la voir deux soirs de suite et si c’était à refaire je le referais. Je vous dirais même que je n’attends qu’une chose : c’est qu’elle revienne en Mauricie pour pouvoir la revoir. Je ne pense d’ailleurs pas être le seul ainsi puisque d’autres l’ont suivi de Shawinigan à Trois-Rivières. Je vous donne donc un conseil : ne la ratez pas lorsqu’elle joue près de chez vous.

     

    Vous pouvez également consulter l’entrevue de Émilie Kahn réalisée à Québec en octobre dernier par Marie-Ève Fortier ici.

    Crédits photo : Izabelle Dallaire.

     

    Émilie & Ogden. Crédit photo: Adrien Le Toux
    Emilie & Ogden – Photo : Adrien Le Toux

    Crédits photo : Adrien Le Toux.

    Recherchiste : Martin Côté.

    Adrien Le Toux

    6 décembre 2015
    Région : Mauricie, Spectacles
    Emilie & Ogden, Temps d’une Pinte
  • [SPECTACLE] Louis-Jean Cormier, 5/12/2015, Cégep de Trois-Rivières

    [SPECTACLE] Louis-Jean Cormier, 5/12/2015, Cégep de Trois-Rivières

    Le 5 décembre dernier, j’ai eu la chance d’aller photographier Louis-Jean Cormier lors de son passage au Théâtre du Cégep de Trois-Rivières.  Il a su nous mettre tout de suite à l’aise et c’est après seulement une chanson que les gens se sont levés, ont dansés et chanter avec lui pour le reste de la soirée ! On a même eu droit à une demande du public lors du rappel avec la chanson Le Tour de l’Ile de Félix Leclerc. Ce fût une belle soirée pour tous ceux qui étaient présents !

     

    Voici les photos :

    Crédits photos : Izabelle Dallaire

    Izabelle Dallaire

    6 décembre 2015
    Région : Mauricie, Spectacles
    LouisJeanCormier, Mauricie, Spectacle, Théâtre du Cégep de Trois-Rivières
  • [PHOTOS] Shyre, 3/12/2015, Centre culturel Pauline-Julien

    [PHOTOS] Shyre, 3/12/2015, Centre culturel Pauline-Julien

    Voici un bref retour sur le passage de Shyre qui était la première partie de Guillaume Beauregard jeudi le 3 décembre dernier au Centre culturel Pauline-Julien.

    Crédits photos : Izabelle Dallaire

    Izabelle Dallaire

    6 décembre 2015
    Région : Mauricie, Spectacles
    Centre culturel Pauline-Julien, Mauricie, shyre, Spectacle
  • [SPECTACLE] Philippe Brach, 3/12/2015, Théâtre du Petit-Champlain

    [SPECTACLE] Philippe Brach, 3/12/2015, Théâtre du Petit-Champlain

    Photos : Jacques Boivin

    03122015-211733-05-Philippe BrachC’est devant un public très attentif que monsieur Phil Brach et sa belle brochette de musiciens se sont produits jeudi au Théâtre Petit-Champlain.

    Le jeune boute-en-train, sacré révélation de l’année au dernier gala de l’Adisq, en est à sa deuxième tournée et bien que le spectacle de jeudi soir était le cinquième de la série seulement, le public du Petit-Champlain a clairement eu droit à une prestation haute en couleurs.

    Bien que malade (à ses dires), Phil Brach était tout en voix (remercions à cet égard les morceaux de gingembre que l’interprète machouillait de temps à autre) et sa troupe était bien présente et audible.

    J’avais beaucoup apprécié le spectacle de la dernière tournée, trouvant le trio musical – composé de Phil lui-même, Pier-Olivier Gagnon à la basse et David Couture à la batterie (il faudra d’ailleurs surveiller le projet solo de ce dernier!) – vraiment solide rythmiquement et « spectaclement ». Pour cette seconde tournée, et probablement en raison des arrangements plus ambitieux du second album, Phil s’est cependant grayé d’un quatrième bruiteur maniant quant à lui la guitare électrique.

    03122015-212102-08-Philippe Brach

    Certains pourraient regréter le son plus « cru » qu’offrait la formule trio, mais l’addition d’une guitare lead ajoute sans l’ombre d’un doute de la profondeur aux méandres musicaux de Brach. Il va sans dire qu’un spectacle de la sorte s’apprécie mieux debout qu’assis : il faut bien rendre à un artiste (et à un groupe!) aussi généreux de son énergie la monnaie de sa pièce!

    Phil n’a toutefois pas semblé en tenir rigueur au public lequel, il est vrai, s’abreuvait littéralement des vers et des délires et de la belle folie du jeune déjanté.

    Une bien belle soirée!

    P.S. : Pourquoi Dan Bigras ? C’est à Phil qu’il faut demander !

    Philippe Brach (Photo : Jacques Boivin)
    Philippe Brach – Photo : Jacques Boivin
    Philippe Brach – Photo : Jacques Boivin
    Philippe Brach – Photo : Jacques Boivin

    Olivier P. St-Pierre

    6 décembre 2015
    Région : Québec, Spectacles
    ADISQ, Petit-Champlain, Phil Brach, Philippe Brach, Portrait de Famine, Révélation de l’année
  • [SPECTACLE] Alexandre Poulin, 4/12/2015, Salle Anaïs-Allard Rousseau

    [SPECTACLE] Alexandre Poulin, 4/12/2015, Salle Anaïs-Allard Rousseau

    Hier soir j’ai eu la chance d’assister au 145e spectacle sur 147 d’un chanteur incroyable, mais surtout, le soir de son anniversaire !

    C’est dans la magnifique salle Anaïs-Allard Rousseau que la magie a opérée.

    J’ai connu un homme humble, à la fois touchant et inspirant. C’est le coeur rempli de promesses et le sourire fendu jusqu’aux oreilles que je quitte cette soirée magique !

    Merci à l’artiste, mais aussi à la personne qu’est Alexandre Poulin

    Je vous laisse avec mes photos de la soirée 🙂

    Crédits photos : Izabelle Dallaire

    Izabelle Dallaire

    5 décembre 2015
    Région : Mauricie, Spectacles
    alexandrepoulin, anaisallardrousseau, compteur, ecoutedoncca, magie, Mauricie, musique, Spectacle, Trois-Rivières
  • [SPECTACLE] Antoine Corriveau, 27/11/2015, Maison de la culture Francis-Brisson (Shawinigan)

    [SPECTACLE] Antoine Corriveau, 27/11/2015, Maison de la culture Francis-Brisson (Shawinigan)
    Antoine Corriveau à la Maison de la culture Francis-Brisson
    Antoine Corriveau à la Maison de la culture Francis-Brisson

    Vendredi le 27 novembre dernier, Antoine Corriveau nous a gâté au spectacle à la Maison de la culture Francis-Brisson de Shawinigan. Un endroit magnifique avec un «band» chaleureux, drôle et qui interagit avec le public. Tout était là pour passer une belle soirée

    Le spectacle est commencé depuis peu et Antoine demande à son batteur, Stéphane Bergeron, d’aller chercher son capot de guitare pour faire sa prochaine chanson. Le tout dure quelques minutes et, donc,  Antoine se met à nous jaser. Il propose qu’on se présente tous en attendant que Stéphane revienne. Alors qu’on pensait tous que c’était une blague, il pointe une dame et lui dit de se présenter et ce qu’elle fait dans la vie. Par le plus grand des hasards, il tombe sur une dame qui a une extinction de voix. Alors que le public et Antoine se mettent à rire de la situation, il se retourne et se rend compte que son capot est sur une autre guitare, juste derrière lui. Cette petite histoire a installé un climat de réciprocité et de confiance entre le public et Antoine.

    Il nous a fait presque toutes les chansons de son deuxième album, Les ombres longues et la pièce Kilomètres de son premier, qui semblait bien connue des spectateurs. En plus de cela, nous avons eu droit à deux nouvelles chansons, dont une qui n’a pas vraiment de titre officiel encore. Comme il y avait un piano à queue, Antoine a dit toute la soirée qu’il allait le rentabiliser, alors on l’a souvent vu jouer au piano, plus qu’à l’habitude, semble-t-il.

    Avec son petit questionnaire pour savoir le niveau de connaissance du public par rapport à sa musique, il s’est vite rendu compte que Shawinigan le connaissait bien. Il disait même « Dans le tapis Shawi », ce qui nous a bien fait rire.

    L’un des beaux moments du spectacle a certainement été sa reprise de Corridor de Laurence Jalbert,  qu’il avait fait pour l’émission Pop de jam.

    https://www.facebook.com/pascal.duhamel.507/videos/10156097256290133/?fref=nf

    Le clou du spectacle, et ce que nous retenons tous dans nos cœurs, c’est clairement à la fin où il nous a fait lever de nos sièges pour s’approcher près de la scène. Il nous appelait « Le grand chœur de Shawi » alors qu’on chantait en harmonie les « Ahhh aaahh AAaahh ahhhaa ».

    En plus de pouvoir admirer sa moustache de fin de Movember, ce fut un moment magique et privilégié avec Antoine Corriveau et ses musiciens, Marianne Houle et Stéphane Bergeron.

    Karina Tardif

    5 décembre 2015
    Région : Mauricie, Spectacles
    Antoine Corriveau, Francis-Brissons, francophone, Mauricie, Shawinigan
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