Les concerts de Kandle Osborne et de ses Krooks (quatre garçons pas juste dans le vent) sont toujours attendus à Québec. Il s’agissait de sa troisième visite au Cercle et les fans, tant au parterre qu’en haut, n’ont pas hésité à manifester leur joie aussitôt que la jeune auteure-compositrice-interprète est montée sur scène.
Avec Kandle, the Krooks forme un groupe guitare-guitare-guitare-basse-batterie. Parfait pour ce son qui mélange avec justesse le rock, le blues et le folk avec une touche un brin vintage! Sur scène, c’est un mur de guitares qui accompagnent la magnifique voix de Kandle, beaucoup plus puissante que sur l’album.
En fait, les chansons de son premier album complet In Flames semblent avoir pris un peu de punch (c’est pas comme si elles en manquaient déjà). Même les chansons les plus calmes étaient entraînantes et cette magnifique de Girl, You’ll Be a Woman Soon a terminé la job : le public était conquis!
Pas une seule seconde de ce concert, même pendant les deux ou trois nouvelles chansons présentées par le groupe, ne s’est déroulée sans qu’on tape du pied, qu’on hoche de la tête, ou qu’on se laisse aller les hanches. De leur côté, Kandle et ses Krooks avaient un plaisir évident et contagieux. Il y a une symbiose parfaite entre les membres de ce groupe et ça paraît. Kandle a beau être magnifique et attirer l’attention sans avoir à lever le petit doigt, les gars ne sont pas là pour faire de la figuration! Par exemple, Sam Goldberg Jr. (Broken Social Scene, Yardlets) enfile les solos et semble s’amuser comme un gamin pendant que les deux autres jeunes hommes à l’avant-scène chantaient en harmonie et que le batteur essayait de faire disparaître toute la boucane autour de lui.
La boucane. Faut que j’en parle. On a un peu abusé, je crois, et ce n’est pas mon oeil de photographe qui se plaint (je comprends parfaitement que le show est destiné aux spectateurs). Les musiciens en avaient de la misère à respirer. Ça a beau être de la vapeur, on finit par suffoquer! Mais bon, de loin, ça donnait un effet assez spectaculaire…
Plaisir renouvelé. On a déjà hâte à la prochaine visite.
Jane Ehrhardt
Jane Ehrhardt avait la lourde tâche de réchauffer la salle pour Kandle et elle a tiré de son répertoire des chansons qui s’intégraient bien au programme de la soirée. Seule au piano ou accompagnée de sa guitare, Jane a chanté des chansons beaucoup plus douces que celle qui l’a suivie, mais n’ayez crainte : pour une rare fois, les spectateurs présents écoutaient religieusement toutes ces belles chansons. J’en ai même surpris quelques-uns à fredonner les airs qui se trouvent sur Terminus!
Belle entrée en matière qui complétait bien le menu de la soirée!
Difficile lendemain de veille samedi soir à La source de la Martinière. La salle était loin d’être remplie à craquer. Peut-être était-ce parce que la planète rock de Québec est restée sagement chez elle après une orgie de rock la veille sur les Plaines, qui sait? Ce n’est pas grave, les personnes qui étaient là, elles, ont eu droit à deux bonnes heures de rock bien tassé, gracieuseté des formations Ariel et Gazoline!
La formation montréalaise Ariel, dirigée par Ariel Coulombe a été la première à se diriger vers la scène. Une belle énergie brute et des mélodies pleines de punch, c’est ce à quoi nous avons eu droit pendant toute la prestation. Pendant que Coulombe caressait le manche de sa guitare, les autres membres du groupe apportaient une petite touche personnelle : Jonathan Gagné bat la mesure, Sélène Bérubé ajoute un peu de sucre avec ses claviers et Marie-Anne Arsenault vient donner un p’tit groove à la basse. Sur scène, l’ensemble est fort agréable et les chansons de Fauve déménagent tout en ayant ce petit côté pop avec lequel on ne se limite pas aux hochements de tête.
Solide prestation.
De leur côté, les membres de Gazoline ont fait danser les quelques spectateurs qui prenaient leur pied malgré leur nombre plutôt restreint. Un vrai cas d’absents qui ont eu tort! Xavier Dufour-Thériault, le chanteur, a une attitude de rock star. La musique du groupe est juste assez glam pour être colorée, juste assez rock pour égratigner un peu et juste assez pop pour se faire aller le popotin. Avec ou sans sa basse, Dufour-Thériault était tout aussi à l’aise et ses interventions entre les chansons, qui étaient parfois un brin caustiques, faisaient tout le temps mouche! Le reste du groupe appuie solidement son chanteur grâce aux riffs ravageurs de Jean-Cimon Tellier, aux roulements de tambour de Jean-Philippe Godbout et aux synthés de Marc Landry.
Sur scène, tout était ben beau.
En somme, deux très bonnes prestations pendant lesquelles les spectateurs présents ont dansé, tapé du pied, hoché de la tête et bu de la bière. Exactement ce à quoi on s’attend d’un bon show rock. Mission accomplie sur la scène.
Pour ceux qui en auraient encore douté, l’Anti bar et spectacles n’offre pas uniquement des concerts rock. La soirée du 3 septembre prochain (jeudi) en est un bel exemple. Au menu : de l’électro-folk romantique et de l’électro qui cherche à faire sauter les barrières du style.
Dear Criminals, c’est Frannie Holder, Vincent Legault (Random Recipe) et Charles Lavoie (b.e.t.a.l.o.v.e.r.s). Les voix à la fois tendres et torturées de Frannie et de Charles se marient parfaitement au son des arrangements musicaux de Vincent et de leurs instruments. En live, on leur connaît une énergie particulière, qui nous fait vivre à cent à l’heure les émotions fortes qu’ils expriment dans leurs chansons. Ils ne sont rien de moins que mon coup de cœur de la Liste de noël de Poulet Neige. Leur performance dans une salle comme l’Anti promet.
Venu directement de Metz en France, Louis Warynski alias Le Chapelier Foudébarque avec sa musique plus que particulière. C’est un curieux mélange entre le classique, qu’il a étudié au conservatoire pendant de nombreuses années, l’électro, sa passion, ainsi que diverses influences musicales, qu’il cherche à confondre jusqu’à les rendre insécables.
L’adéquation de ces deux groupes s’annonce parfaite avec leurs sonorités semblables et leurs univers éclatés. On a bien hâte de les voir, en espérant vous y croiser !
La jolie salle de la Chapelle n’était pas pleine en ce vendredi soir, mais les quelques fans présents qui avaient choisi Michael Sea à AC/DC en ont eu pour leur argent. L’auteur-compositeur-interprète originaire de la Rive-Sud a livré un spectacle rempli d’énergie et de bonne humeur qui a comblé sans difficulté aucune les spectateurs présents.
« La crème de la crème », nous a-t-il lancé en début de spectacle avant d’interpréter les chansons de son album Sans attendre. Accompagné de ses excellents musiciens, Michael n’a pas perdu de temps : dès la troisième chanson, il a invité les spectateurs à se lever et à oublier les chaises, ce qu’ils ont fait avec un grand bonheur pour danser et taper des mains au son des compositions country-pop pleines d’énergie de Michael. À ses propres compositions, il a ajouté au programme plusieurs reprises d’artistes country-pop comme Keith Urban et Taylor Swift, toujours en restant fidèle à lui-même.
Qui dit rentrée dit souvent surprises. De ce côté, en plus de nous gâter avec un joli duo en compagnie d’Héra Ménard (qui jouait en première partie… on y revient un peu plus loin), Michael a eu la bonne idée d’inviter Marc-André Villeneuve, son ancien camarade de Fiction in Motion. Les deux hommes étaient visiblement nerveux de jouer ensemble (Michael a dit à la blague qu’ils ont passé tout le temps prévu à la pratique à se parler et à reprendre le temps perdu) et le rythme du spectacle en a un peu souffert. Heureusement, nous étions en présence d’initiés qui connaissaient par coeur les chansons de l’ancienne formation de Michael (parfois mieux que les deux qui les interprétaient sur scène), personne ne leur en tiendra donc rigueur.
Le spectacle s’est terminé sur les chapeaux de roues, notamment sur Tout autour de moi, le nouvel extrait qu’on va entendre sur les radios très bientôt. Finale punchée d’un show fait sur mesure pour avoir du plaisir. D’un côté comme de l’autre de la scène.
Héra Ménard
Pour commencer la soirée, on a eu l’idée géniale d’inviter l’auteure-compositrice-interprète originaire de Saint-Lambert-de-Lauzon Héra Ménard. La jeune femme a lancé plus tôt cette année Et si, un petit maxi fort sympathique qui montre en cinq chansons tout le talent d’Héra. Elle se situe dans un registre plus folk et moins pop que Michael, mais elle a charmé tout le monde dans la salle avec son aisance, sa voix et surtout ses chansons toutes nues, qu’elle a interprétées en compagnie d’Alexandre Pomerleau.
Pour plusieurs, ce fut une belle découverte, pour votre humble serviteur, qui avait été charmé lors de son passage au Festival d’été, c’étaient de belles retrouvailles.
Une belle soirée sous le signe de la simplicité et de l’authenticité. C’est tout ce que ça prenait pour oublier les cornes à DEL de la haute-ville.
Le groupe de Québec Beat Sexü est débarqué en trifluvie au Café-bar Zénob de Trois-Rivières avec leurs paillettes et leur envie que la foule se déhanche sur leurs beats.
Les membres du groupe portaient tous un gilet de paillettes, comme sur leur photo de profil Facebook, ce qui venait faire capoter notre cerveau, en plus des projections sur toile blanche d’Antoine Bordeleau.
Plaisir, c’est le mot qui m’est resté en tête toute la soirée. Le sourire, la folie, les textes, qui parlent de l’espace et du futur, les mélodies, qui prônent le laisser-aller corporel, n’est-ce pas là la clé pour passer un bon moment? Je vous confirme que oui.
Tout au long de leur performance, le batteur et chanteur, Jean-Étienne Collin Marcoux, nous donne envie de se laisser aller avec son aise et son sourire coquet. On se sent bien, on est relax et on a juste envie de se déhancher. Ça aura pris trois chansons avant que ne soient révélés les talents de danseurs des gens présents dans la place.
Bien que le public ne semblait pas trop connaître les Sexü, ça ne prenait pas plus que de la paillette, des projections, et des beats « sexy » pour s’amuser. Vers la fin, on se serait cru dans une discothèque à l’école secondaire, avec toute l’innocence et la fébrilité de pouvoir danser toute la nuit. Le public, majoritairement féminin, en redemandait encore et encore, surtout quand le guitariste, Jean-Michel Letendre, s’est mis à danser dans la foule.
Depuis quelque temps, ils donnent dans les reprises de groupes de Québec à la sauce Beat Sexü. Ils nous ont fait, entre autres, la reprise de Ciao bye ciao du groupe Ponctuation. Le clou du spectacle a sans doute été la reprise de Papa maman bébé amour de Gab Paquet, qui a bien fait chanter la foule.
Je l’avoue, après seulement une heure de spectacle, j’en aurais pris encore. J’ai voulu aller acheter le vinyle, mais ce sont seulement des bobettes Sexü, un t-shirt et une affiche que j’ai trouvé sur la table de marchandise. Par contre, Antoine Bordeleau a confirmé que, bientôt, dans un avenir très rapproché, un vinyle de leurs reprises sera disponible.
C’est le groupe Anatole qui a assuré la première partie. Malheureusement, j’étais prise ailleurs et je suis arrivée au spectacle aux dernières notes de la dernière chanson. Tous m’ont dit que j’avais raté quelque chose d’incroyable. On se reprend les gars !
Mon coup de cœur: J’ai vraiment un faible quand Maxine Maillet prend le micro, surtout pour la chanson Hey girl, qui a débuté le spectacle.
C’est devant une complexe station de claviers et de pédales que Moonface a fait son apparition sur scène devant une foule . Spencer Krug avait mentionné en entrevue vouloir interpréter un mélange de vieilles et de nouvelles chansons, mais très peu de détails avaient émergé au sujet de cette courte tournée puisqu’il s’agissait seulement de la troisième soirée.
Il a, dès les premières notes, réussi à captiver la foule avec ses nouvelles chansons bâties autour de mélodies lourdes au clavier évoquant parfois Mogwai. Les chansons anciennes, que ce soit The Fog qui était précédé d’une longue intro hypnotisante ou Love The House You’re In qui était livrée de façon simple avec l’ajout d’une bonne dose de réverbération, ne faisaient que prouver l’effet envoûtant de sa voix et sa très bonne maitrise.
Il a également puisé une pièce sur son album collaboratif avec Sinaii (Heartbreaking Bravery) et sur son premier disque solo (Fast Peter). Après avoir conclu sa performance avec une longue et onirique nouveauté de 8 minutes, il est revenu pour un court rappel dans une ambiance enfumée pour faire une obscure reprise d’un groupe montréalais dont le nom m’échappe.
Ce fut donc une très bonne performance d’à peine plus d’une heure. Il est atypique de voir un artiste seul au clavier, c’est donc mission accomplie pour Krug, d’autant plus qu’il a seulement interprété un morceau de son album le plus connu (l’excellent Julia with blue jeans on). Il sera intéressant de voir où nous mènera Moonface, lui qui a souvent tendance à brouiller les pistes entre ses différentes parutions.
Retour pour la deuxième fois en moins d’un an de Moonface à Québec. Son spectacle seul au piano dans une petite salle du Palais Montcalm avait été phénoménal l’automne dernier. Cette fois il revient avec une formule différente : des claviers et des échantillonnages. Les chansons de Julia With Blue JeansOn seront habillées différemment et Spencer Krug (anciennement dans Wolf Parade et Sunset Rubdown) devrait aussi interpréter de nouvelles compositions de son projet solo. C’est donc un rendez-vous à ne pas manquer; surtout si vous n’avez jamais entendu parler de lui. C’est à voir, surtout dans une salle intime!
Billets en vente sur le point de vente au coût de 20$+frais.
On a couvert son lancement ce printemps et on l’a trouvé fort intéressant. L’auteur-compositeur-interprète Michael Sea fait sa rentrée québécoise ce vendredi à 20 heures au centre d’art La chapelle (av. Plante à Vanier) et il promet tout un spectacle!
Avec Michael, pas de chichis, pas de flaflas. Des chansons country-pop simples, mais efficaces, des hooks qui font leur boulot et qui accrochent, des musiciens talentueux et un jeune homme qui possède une belle présence! Du genre à faire prendre le bord à vos pires préjugés sur le country. C’est pas du tout ringard, c’étions point du western à la Willie, et tout en étant résolument moderne et pop, Michael réussit à éviter le piège du bro-country facile qu’on entend parfois chez nos voisins du Sud.
En plus, on nous a promis des invités et la première partie sera assurée par la jolie et talentueuse Héra Ménard, qu’on voit de plus en plus dans notre soupe!
Les billets (22 $) sont en vente à La Chapelle et sur Billetech.
Depuis les quelques années que je le connais, Simon Kearney a fait beaucoup de chemin. C’est aussi ce qu’a voulu rappeler Nicolas Lemieux, le directeur de Sphère Musique, juste avant de laisser place à l’artiste. Il a découvert Simon sur Internet alors qu’il n’avait que 13 ans et qu’il publiait des vidéos sur YouTube. Maintenant à 19 ans, avec beaucoup de spectacles et de compositions derrière la cravate, Simon Kearney était vraisemblablement prêt à nous livrer un premier album.
Sur scène, il a offert une belle prestation qui témoigne elle aussi de sa progression : chansons plus travaillées, plus d’aisance sur scène et surtout un fun tangible à jouer devant la salle pleine du Cercle, en partie occupée par des amis proches et de la famille. Comme toujours, le spectacle a donné l’impression d’une soirée entre amis, avec en prime du rock authentique, assumé et à fleur de peau. Les pièces en tant que telles, réarrangées sur scène comme dans l’album, reflétaient encore plus qu’avant la variété musicale qu’a tenté d’aller chercher l’auteur. Et ce ne sont que des vers d’oreille. Je vous mets au défi d’écouter l’album et de ne pas en avoir au moins une qui vous trotte dans la tête.
En somme, la soirée s’est bien déroulée, on a eu droit à des chansons encore jamais entendues en spectacle ainsi qu’à des solos endiablés et les quelques remerciements chaleureux de l’artiste reconnaissant ont coulé de source. Tout comme quelques autres perles de la scène québécoise, Simon Kearney saura vous charmer et je ne doute pas qu’il fasse encore beaucoup parler de lui prochainement.
Pour plus d’info sur l’album, vous pourrez lire la critique de Jacques Boivin qui sort ce mercredi. Le disque est disponible un peu partout et, si vous êtes déçu de l’avoir manqué, Simon Kearney jouera sur la terrasse du Pub de l’Université Laval dans le cadre du Show de la rentrée le 9 septembre prochain.
On a beau être au début du mois d’août, les promoteurs et les diffuseurs ont déjà programmé un très grand nombre de spectacles que vous voudrez absolument voir cet automne. Et ça ne fait que commencer, on sait déjà que de nombreux noms vont s’ajouter à la liste (le Pantoum n’a pas encore annoncé sa programmation complète). On viendra mettre la liste à jour de temps à autre! 🙂
Alors sans plus tarder, voici une liste non-exhaustive des spectacles qui nous font saliver à la fin de l’été et cet automne. Nous devrions en couvrir quelques-uns :
20-21 août : Keith Kouna jouera en trio au Fou-Bar. Ça devrait être plein au bouchon (tous les billets pour la soirée du 20 ont d’ailleurs été vendus), mais si vous réussissez à entrer, vous aurez droit aux belles chansons de Keith. Ça devrait être assez magique.
22 août : Les chiens de ruelles puiseront dans leur répertoire punk-bluegrass au sous-sol du Cercle. Ça devrait brasser! Toujours au Cercle, mais à l’étage principal, la formation rock The Impulse montrera pourquoi elle a fait tourner des têtes à l’Omnium du rock.
24 août : Simon Kearney lance le très attendu La vie en mauve, qui devrait beaucoup plaire aux fans de rock aux accents psychédéliques. On a encore de la misère à croire que le jeune homme a à peine l’âge de boire dans les bars tellement il déborde de talent et de maturité. Un gros incontournable.
28 août : Le plus récent projet de l’ancien Wolf Parade Spencer Krug, Moonface, se produira au Cercle. De son côté, l’auteur-compositeur-interprète country-pop Michael Sea sera au Centre d’art La Chapelle.
29 août : Ça va rocker solide à La source de la Martinière avec les groupes Gazoline et Ariel.
3 septembre : On va avoir des choix déchirants! Kandle + Jane Ehrhardt au Cercle ou Dear Criminals + Chapelier fou à L’Anti? Et y’a aussi The Two Birdz au Fou-Bar qui vaut le détour!
4 septembre : La Librairie St-Jean-Baptiste accueille Ego Death et Au pays des matins calmes.
5 septembre : Alex Nevsky sera à La Chapelle. De leur côté, les crinqués du Québec Redneck Bluegrass Project seront au sous-sol du Cercle, où il fera certainement très chaud.
9 septembre : Ça va se passer à l’Université Laval pour le Show de la rentrée. Les têtes d’affiche : The Flatliners, Marie-Pierre Arthur, Socalled et Caravane! Plus de détails ici.
10 septembre : Dans le cadre d’Envol et macadam, on pourra voir Men & Company, Suburban House Thieves et WE ARE MONROE au Cercle.
11 septembre : Toujours dans le cadre d’Envol et macadam, ce sera au tour de Gypsy Kumbia Orchestra de mettre un peu de folie dans le Cercle. On adore ce genre de bands déjantés à Québec et ils nous le rendent fort bien!
12 septembre : Soirée nostalgie pour le 25e anniversaire de Vilain Pingouin au Cercle. Oui, on est rendus là. En même temps, au Palais Montcalm, ce sont les jeunes qui vont impressionner avec La Bronze et Anatole.
14 septembre : Retour à Québec d’un groupe qui a fait tourner bien des têtes au FEQ cette année, Viet-Cong.
16 septembre : Safia Nolin vient lancer son premier album, Limoilou, au Cercle. L’auteure-compositrice-interprète originaire de la place nous fera certainement verser quelques larmes. Elle est bien bonne, là-dedans.
18 septembre : Le Pantoum a préparé tout un programme pour sa rentrée automnale : Uberko et Johan Haché. Ça promet!
19 septembre : Les amateurs de bonne chanson ont déjà leur billet pour le retour de Philippe B au Théâtre Petit-Champlain. Les quadragénaires nostalgiques (dont notre rédacteur en chef fait partie) se dirigeront plutôt vers le Centre Vidéotron pour voir Rock et belles oreilles dans le cadre de THE PASSE DE CASH!
20 septembre : La belle et bien talentueuse Eleni Mandell vient faire un tour au foyer de la salle Louis-Fréchette du Grand Théâtre pour nous présenter son plus récent opus lancé en juillet dernier.
24 septembre : La talentueuse auteure-compositrice-interprète Rosie Valland lancera son album au Pantoum.
25 septembre : Kodaline et Good Old War seront à l’Impérial Bell.
26 septembre : Deux choix très déchirants, soit le lancement du nouvel album de Bernard Adamus au Cercle et le toujours excellent Louis-Jean Cormier au Grand théâtre.
30 septembre : Suuns + JERUSALEM IN MY HEART + Jessica Moss au Cercle. Difficile de trouver plus belle façon de terminer septembre.
1er octobre : On va être à l’Impérial Bell pour Coeur de pirate. Malheureusement, c’est déjà complet depuis longtemps. Comme par hasard, Jay Malinowski & The Dead Coast sera à l’Anti.
2 octobre : Debbie Tebbs proposera son électropop d’inspiration new-wave au sous-sol du Cercle.
3 octobre : L’efficace Pierre-Luc Lessard présentera un concert en toute intimité au Vieux bureau de poste de Saint-Romuald. Babylones et Medora envahiront le sous-sol du Cercle pendant qu’Emilie & Ogden, dont on parle beaucoup ces temps-ci, présentera à L’Anti son premier album lancé la veille.
7 octobre : L’excellente formation Whisky Legs lance son premier album au Théâtre Petit-Champlain.
8 octobre : Pendant que Kim Churchill se produira au théâtre Petit-Champlain, André Papanicolaou et Simon Kearney joueront au Cercle. Comme si ça ne suffisait pas, Katie Moore sera à L’Anti! Maux de tête en perspective.
9 octobre : Folly & The Hunter jouera les chansons de son plus récent album au Vieux bureau de poste de Saint-Romuald. Pendant ce temps, Will Driving West et Tamara Weber-Fillion seront au Petit-Champlain.
10 octobre : L’incontournable Dany Placard viendra chanter Santa Maria et autres chansons populaires au Cercle. Soirée festive en perspective.
14 octobre : Si vous les avez manqués quelques jours plus tôt, voilà votre chance de vous reprendre. Folly & The Hunter sera au Petit Impérial (première partie : Jesse Mac Cormack).
16 octobre : Le duo Milk & Bone sera au Cercle. Tous ceux qui ont eu la chance de les voir en prestation cet été ont tout simplement été envoûtés. Pendant ce temps, The Seasons sera au Petit Impérial pour un concert intime au profit de la Fédé québécoise de ski acrobatique.
17 octobre : L’auteur-compositeur-interprète Jeffrey Piton sera en spectacle au Vieux bureau de poste de St-Romuald.
20 octobre : Florent Vollant sera au Grand Théâtre de Québec, question de présenter son plus récent album Puamuna.
21 octobre : Au tour de Pierre Flynn de passer au Grand Théâtre et de jouer les pièces de Sur la Terre. En même temps, de nombreux fans attendent le passage d’Alvvays et Los au Cercle!
22 octobre : Après une visite ce printemps, la formation rap The Posterz revient à Québec, cette fois-ci avec Hashed Out. Toujours au Cercle. De leur côté, les Trifluviens de Bears of Legend sont de retour au Théâtre Petit-Champlain. Ce n’est pas tout! Ariane Moffatt sera à L’Anglicane de Lévis (première partie : Rosie Valland). Enfin, l’ancien La Voix Matthieu Holubowski foulera les planches du Centre d’art La chapelle. Recommandé par les organisateurs du festival Artefact à Valleyfield. C’est quand même pas rien!
22-23 octobre : L’Oncle Pluplu, Plume Latraverse lui-même, foulera à son tour les planches de la salle Octave-Crémazie du Grand théâtre de Québec. En trio. Pour présenter ses chansons les plus « chanson française » de son répertoire. À ne pas manquer.
23 octobre : La formation Canailles viendra occuper la scène du Cercle avec son folk-bluegrass festif et substantiel. Ceux qui n’ont pas encore vu Basia Bulat ont une nouvelle chance de se reprendre : elle sera au Palais Montcalm!
27 octobre : On voudra aller voir Dear Rouge et Rah Rah au Cercle.
28 octobre : Au tour de Rich Aucoin (et ses spectacles emballants) et de Seoul d’envahir le Cercle.
30 octobre : La toujours bouleversante Chloé Ste-Marie sera à l’Anglicane. De son côté, Daran sera au Centre d’art la Chapelle.
31 octobre : Émile Proulx-Cloutier sera au Centre d’art La chapelle.
31 octobre – 1er novembre : Faites-vous partie des chanceux qui pourront voir la première vague de spectacles de Jean Leloup, ses premiers concerts depuis sa visite sur les Plaines il y a quelques années? Nous y serons sans faute.
1er novembre : La formation américaine Bright Light Social Hour débarque au Petit Impérial pour nous présenter son rock du Sud aux accents un brin psychédéliques.
4 novembre : Le groupe rock à saveur alt-country The Sadies vient nous présenter ses chansons au Cercle.
5 novembre : Le Franco-Ontarien Damien Robitaille vient nous présenter son spectacle Pièce par pièce au Centre d’art La chapelle. Robitaille est en excellent showman, ça devrait être intéressant.
6 novembre : Le Cercle reçoit la formation Lakes of Canada. De leur côté, le duo Scarlett Jane sera à L’Anti.
7 novembre : Le dernier empereur bantou, Pierre Kwenders, débarque au Cercle avec ses invités.
8 novembre : À mi-chemin entre le groupe et la fanfare, Lemon Bucket Orkestra viendra mettre leur grain de folie dans un Cercle qui sera particulièrement festif.
13 novembre : La magnifique formation indie-folk Whitehorse viendra enchanter le Théâtre du Petit-Champlain. De son côté, Daran rockera L’Anglicane.
14 novembre : Les amateurs de rap ne voudront pas manquer Loud Lary Ajust dans le cadre des Nuits FEQ à l’Impérial Bell.
19 novembre : Leur dernier passage à l’Impérial Bell a été à guichets fermés. Depuis, Galaxie s’est tapé les Plaines d’Abraham et un paquet de sous-sols d’églises endiablées. À voir absolument!
21 novembre : Au Cercle, Joseph Edgar nous invite dans son Gazebo et nous propose un folk-rock entraînant et accrocheur. Du côté du Théâtre Petit-Champlain, le prolifique Dumas vient présenter son plus récent spectacle. Pendant ce temps, à l’Impérial Bell, les indie-rockeurs cols bleus de Hamilton Arkells proposeront leur Canadiana accessible au public de Québec. Première partie : Final State.
24 novembre : Mathieu Holubowski joue au Petit-Champlain.
26 novembre : Les Soeurs Boulay viennent roder leur nouveau spectacle à l’Anglicane. Première partie : Ariane Zita.
27 novembre : Les fans de la pop vitaminée d’Alfa Rococo pourront se rassasier au Centre d’art La Chapelle.
28 novembre : Marie-Pierre Arthur débarque à son tour à L’Anglicane. Si vous n’avez pas vu son magnifique spectacle Si l’aurore, n’attendez pas plus longtemps. Dans le cadre enchanteur de la salle lévisienne, ça risque d’être fort joli.
3 décembre : Philippe Brach vient présenter son nouvel album au Théâtre Petit-Champlain.
5 décembre : Tire le Coyote présentera ses magnifiques chansons à la salle Octave-Crémazie du Grand Théâtre de Québec. L’auteur-compositeur-interprète nous a promis des invités. Attendez-vous à une belle communion.
7 décembre : On pourra voir le spectacle de Parquet Courts et Pill au Cercle.
10 décembre : Ce sera très probablement un des derniers concerts de la série de L’alchimie des monstres à Québec. Ne perdez pas trop de temps, Klô Pelgag joue généralement devant des salles combles!
11-12 décembre : Ne nous mentons pas : le spectacle le plus attendu cet automne, c’est ce spectacle solo de Jean Leloup. Au Grand Théâtre. Tout le monde a hâte d’y être.
19 décembre : Retour sur scène des Cowboys fringants au Grand théâtre. Avec un nouvel album (Octobre) en poche. Ça va swinger une fois de plus, surtout que les Cowboys sont toujours particulièrement sur le party pendant les Fêtes.