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  • OMERTA : Caravane, Rednext Level et Gazoline à Méduse

    OMERTA : Caravane, Rednext Level et Gazoline à Méduse

    Un comité étudiant du baccalauréat en communication de l’Université Laval, Production culturelle, présente OMERTA. Ce spectacle, qui aura lieu au Complexe Méduse, permettra de récolter des fonds pour la Fondation de Lauberivière.

    Les billets sont 20 $ lors de la prévente sur lepointdevente.com

    Un cocktail débutera les festivités à 18h. Les groupes Caravane, Rednext Level et Gazoline monteront ensuite sur scène pour un spectacle hors du commun.

    Un DJ sera là en fin de soirée pour que la fête se poursuive.

     

    Marie-Ève Duchesne

    9 mars 2017
    Nouvelles, Région : Québec
    CARAVANE, Gazoline, production culturelle, rednext level
  • [SPECTACLE] Sam Patch (+ Mouth Breather), L’Anti Bar et spectacles, 4 mars 2017

    [SPECTACLE] Sam Patch (+ Mouth Breather), L’Anti Bar et spectacles, 4 mars 2017

    Samedi soir, Mouth Breather et Sam Patch ont présenté leur musique à la foule réunie sur place.

    Sur scène, Mouth Breather, de Victoria (C.-B.), apparaît seul avec une guitare électrique. Pendant deux chansons qui peuvent être décrites comme rock, il a présenté son matériel. Puis les troisième, quatrième et dernière pièces étaient présentées avec un ordinateur comme groupe de soutien. Il avait une belle présence scénique, malgré le fait que le son de ce qui l’accompagnait était un peu trop fort.

    Sam Patch a joué les chansons de Yeah, You and I. Le groupe de Tim Kingsbury, composé de Jeremy Gara, Tessa Dawn K et Matthew Brown, a interagi avec la foule. Commençant avec Must Have Been an Oversight, le groupe a enchaîné les pièces.

    100 Decibels et St. Sebastian sonnaient bien meilleures que sur l’album. Kingsbury a ensuite chanté Cool Water de Hank Williams, une chanson country à la guitare acoustique, accompagné par son groupe.

    Reprenant la guitare électrique, il a joué No No No No et Up All Night. Les chansons coulaient comme sur l’album. Tim Kingsbury en a profité entre les pièces pour taquiner Matt Brown. Il y avait peu de pauses entre les chansons, ce qui aidait à garder le rythme. Le public attentif a assisté au spectacle sans interruption d’un groupe qui aimait visiblement être sur scène et à Québec.

    Il a terminé son spectacle avec la chanson Listening. 

    Mouth Breather Photo: Marie-Ève Duchesne
    Mouth Breather Photo: Marie-Ève Duchesne
    Mouth Breather Photo: Marie-Ève Duchesne
    Mouth Breather Photo: Marie-Ève Duchesne
    Sam Patch Photo: Marie-Ève Duchesne
    Sam Patch Photo: Marie-Ève Duchesne
    Sam Patch Photo: Marie-Ève Duchesne
    Sam Patch Photo: Marie-Ève Duchesne
    Sam Patch Photo: Marie-Ève Duchesne
    Sam Patch Photo: Marie-Ève Duchesne
    Sam Patch Photo: Marie-Ève Duchesne
    Sam Patch Photo: Marie-Ève Duchesne
    Sam Patch Photo: Marie-Ève Duchesne
    Sam Patch Photo: Marie-Ève Duchesne
    Sam Patch Photo: Marie-Ève Duchesne
    Sam Patch Photo: Marie-Ève Duchesne

     

    Marie-Ève Duchesne

    8 mars 2017
    Région : Québec, Spectacles
    mouth breather, sam patch
  • Un premier clip pour Halo Maud

    Un premier clip pour Halo Maud

    La chanteuse française Halo Maud lançait un premier clip pour la pièce Du Pouvoir. 

    Il s’agit d’un extrait de son EP qui paraîtra le 24 mars. La dreampop d’Halo Maud se marie à merveille avec le travail à la réalisation de Sébastien Dehesdin et de la chanteuse.  Le clip s’inspire du travail de la réalisatrice Maya Deren et a pour thème l’errance.

    Marie-Ève Duchesne

    5 mars 2017
    Nouvelles
  • [Entrevue] Le saut dans le vide avec Sam Patch

    [Entrevue] Le saut dans le vide avec Sam Patch

    Avant d’assister à son concert ce soir à l’Anti, j’ai discuté par téléphone à Ottawa avec Sam Patch, alias Tim Kingsbury, pour parler de son projet qu’il a lancé en 2014. 

    Marie-Ève: Explique-nous comment t’est venu le nom du groupe Sam Patch? C’est vrai que c’était une idée de Matthew Brown (son claviériste)? 

    Tim (Kingsbury): Exactement, oui. Il m’a en quelque sorte envoyé un lien vers un article à propos du gars. J’étais fasciné par lui; il était un personnage intéressant. Avez-vous lu un peu sur son histoire? Il était un véritable casse-cou.

    Marie-Ève: Oui, il sautait du haut de cascades, si je me souviens bien.

    Tim : C’est ça, il allait sauter. Et aussi, le son que le nom a. Sur un synthétiseur, c’est aussi un paramètre appelé le « patch ». Ça s’est aligné dans ma tête et j’ai trouvé ça approprié.

    Marie-Ève : Est-ce que ce serait quelque chose que vous seriez enclin à faire, disons comme sauter d’un groupe et devenir un artiste solo? 

    Tim: (rires) Je suppose que oui, Je crois que c’est important dans la vie de prendre des risques comme ceux-là.

    Marie-Ève: Qu’est-ce qui vous avez fait décidé d’enregistrer ce projet? J’ai su que ça a débuté en 2014. Qu’est-ce qui a été un déclencheur? 

    Tim: Bien, il y a très longtemps. J’écris des chansons depuis l’adolescence. J’ai continué tout au long et quand j’ai joint Arcade Fire, j’étais davantage occupé. Cependant, j’ai continué à écrire à côté. Il y a quelques années, j’ai senti une forte impulsion de, finalement, faire un album et de le voir se réaliser. Je crois que c’est une question de timing aussi. J’avais du temps libre et j’étais particulièrement motivé. Je suppose que je me suis senti prêt pour le faire.

    Marie-Ève: Et jusqu’à présent, êtes-vous content de la réception qu’il a?
    Tim: Oui, c’est très plaisant. On a joué notre premier show hier soir (jeudi) depuis la sortie de l’album à Montréal. C’était très amusant. Jusqu’à présent, c’est génial. C’est différent d’Arcade Fire. Je suis devant la foule et je joue dans des bars. Je conduis ma voiture et c’est une expérience différente et plaisante.

    Marie-Ève: Comment décririez-vous votre album, si on devait le mettre en mots? 

    Tim: Je dirais que les chansons et l’album sont groovy. Je l’ai fait avec beaucoup de drum machine et de boucles. J’ai en quelque sorte, construit ses grooves et écrit les chansons autour de ce que j’avais. C’est dansant et il y a aussi un élément un peu plus folk avec la guitare acoustique. C’est un album éclectique, il y a beaucoup de choses qui se passe.

    Marie-Ève: Vous avez dit que c’est un peu comme du weird rock. 

    Tim: Oui, je crois que c’est toujours vrai. Un ami me l’a décrit comme un album qui aurait été fait dans les années 1980, mais qui n’a jamais été entendu.

    Marie-Ève: On en a parlé un peu plus tôt dans l’entrevue, mais est-ce que faire ce projet est un peu comme sortir de sa zone de confort? Si oui, comment? 

    Tim: Ça l’est, mais d’une bonne façon. J’exerce des parties de mon cerveau et de moi-même que je n’avais pas utilisées récemment. C’est stimulant dans cette façon et c’est un bon exercice.

    Marie-Ève: Et aller sur la scène seul doit faire une différence. 

    Tim: Oui, j’ai vraiment du plaisir à parler à la foule et c’est amusant. C’est une expérience de scène différente de jouer dans un autre groupe (Arcade Fire).

    Marie-Ève: Quelle serait la différence entre jouer dans un groupe et jouer solo, selon vous? 

    Tim: Je suppose que jouer avec Arcade Fire, je me concentre sur l’instrument que je joue à cet instant et bien le jouer. Je porte moins attention à sentir l’énergie du groupe ou de la pièce. Avec ce projet, j’interagis plus avec les gens et c’est une connexion.

    Marie-Ève: Quelles ont été vos inspirations pour cet album? J’ai entendu un peu de Wilco.

    Tim: Oui, intéressant. Il y a définitivement un peu de country. Pour être honnête, je pourrais écrire deux pages à propos de mes influences. J’ai été avec plusieurs morceaux et c’est du rock, du pop et du country. Peut-être un peu d’hip-hop dans certains endroits. Lorsque j’écrivais l’album, si j’entendais une chanson dans ma tête et je me permettais un peu cette idée. Je ne me limitais pas à un ou deux groupes en particulier, j’explorais un peu de tout. Je crois que la limite, pour moi, était de choisir un nombre précis d’instruments. J’ai utilisé beaucoup de guitare acoustique et d’orgue. Il y a aussi un synthétiseur précis que j’ai pris. Je m’en suis servi comme une palette.

    Marie-Ève: Comment étais la collaboration avec Basia Bulat et Jeremy Gara ? Vous avez collaboré avec Basia sur Tall Tall Shadow. Quelle était la différence cette fois-ci? 

    Tim: Exactement, Basia était prête à collaborer avec moi. Quand j’ai commencé à écrire mon album et elle m’a dit: « Je voudrais chanter dessus »; elle était super excitée à l’idée de le faire et elle est tellement une chanteuse et une musicienne géniale. C’était facile de l’inviter à participer. En gros, elle était prête à tout. J’avais quelques idées et je lui demandais si elle pouvait les essayer et elle participait. Les harmonies vocales sur Waiting to Wait, elle les a fait en environ dix minutes et les a enregistrées vraiment rapidement. C’est une de mes parties préférées sur l’album.

    Pour Jeremy (Gara), on a collaboré ensemble avant Arcade Fire. On se connaît depuis au moins vingt ans. On est comme deux frères. Ça me semblerait bizarre de ne pas jouer avec lui (rires).

    Marie-Ève: C’est comme un groupe composé d’amis? 

    Tim: Oui, quelqu’un l’avait écrit. De bons amis.

    Marie-Ève: Ce n’est pas difficile d’aller sur la route avec des amis justement? 

    Tim: Non, ça a été facile, même si on a pas fait beaucoup de route encore. C’est très relax comme tournée.

    Marie-Ève: Vous avez aussi collaboré avec votre femme (Natalie Shatula) sur l’écriture de plusieurs chansons sur l’album, qu’a-t-elle apporté à l’album? 

    Tim: Natalie m’a aidé à écrire les paroles de Listening. Je fais confiance à son jugement sur plusieurs choses. Elle a une bonne oreille, je lui joue toujours mes idées et elle me dit quelque chose. Je fais confiance à son sens du beau et c’est ma principale conseillère. (rires)

    Marie-Ève: Donc si un idée ne passe pas pour elle, elle ne serait pas sur l’album par exemple? 

    Tim: En quelque sorte, ou du moins je vais la retravailler et la repenser. Elle va me donner quelque chose pour réfléchir. Elle ne va pas habituellement me dire seulement que la chanson est ennuyante. On va parler et elle va m’aider. C’est une bonne collaboration.

    Marie-Ève:  Qu’est-ce qu’il y a dans les projets futurs pour Arcade Fire. On sait qu’il y a un album en 2017. Avez-vous un peu plus de détails?

    Tim: On a beaucoup de tournée de prévu pour l’été. On va être en Europe en juin et juillet. L’album va sortir avant l’automne. Je suis excité. On a fini l’album et on est en train de mettre les touches finales. Ça sonne génial.

    Marie-Ève: Avez-vous déjà joué à Québec ? 

    Tim: Ouais, Sam Patch, on a joué à Québec  avec Basia Bulat (au Théâtre Petit Champlain). J’ai vraiment aimé cette salle. Les gens étaient très sympathiques. C’était mon spectacle préféré. J’ai l’impression qu’Arcade Fire a moins joué à Québec. On a joué au Festival d’été, mais on n’y a pas joué souvent. Je suis heureux de venir avec mon projet.

    Un grand merci à Tim Kingsbury et son équipe pour cet entretien. Si vous avez envie d’entendre les chansons mentionnées dans l’entrevue, vous trouverez un lien en bas de l’article. De même que des billets pour le spectacle de ce soir à l’Anti. Une critique suivra sous peu.

    Marie-Ève Duchesne

    4 mars 2017
    Entrevues
    Arcade Fire, L’anti, sam patch
  • [ALBUM] Sam Patch – «Yeah You and I »

    [ALBUM] Sam Patch – «Yeah You and I »

    Le bassiste d’Arcade Fire, Tim Kingsbury, lançait son premier album solo, Yeah You and I. 

    L’album débute sur les chapeaux de roues avec la pièce Must Have Been an Oversight, où le synthétiseur et la basse sont en évidence. Le pacing de l’album donne l’effet d’un tout, car toutes les chansons s’enchaînent les unes en arrière des autres.

    Tim Kingsbury s’est bien entouré pour ce CD. En effet, Matthew Brown qui joue des synthétiseurs, Jeremy Gara (sur six chansons de l’album) est à la batterie et Basia Bulat, aux voix en harmonie.

    100 Decibels commence par un synthétiseur similaire à celui sur la pièce débutant l’album, mais ce sont les harmonies vocales de Kingsbury et de Basia Bulat qui ressortent le plus. Véritable ver d’oreille à mon avis, le rythme est dansant et fait taper du pied. Il a ensuite travaillé avec le producteur John McEntire (Tortoise and the Sea, Cake).

    Le premier extrait de l’album, St. Sebastian, est une belle mise en bouche et présente bien le travail qui a été fait par Kingsbury depuis 2014. La batterie et la ligne de basse sont omniprésentes, mais sont très accrochantes.

    La pièce Waiting to Wait est une de mes préférées sur l’album. « You never ask for a word, you never ask for a sentence. You never ask for anything », chante Kingsbury dans une voix qui rappelle Wilco. Quand à lui, le deuxième extrait de l’album, Listening, prendra fort probablement de l’expansion devant un public. La guitare distortionnée est une valeur ajoutée à la chanson et a tout d’un hit radio.

    No No No No échappe au style plus synth-rock de l’album et montre une autre facette de l’artiste au public. Never Meant No Harm, quant à elle, présente l’impact des générations précédentes sur les autres, un sujet qui fascinait Kingsbury depuis longtemps.
    Sur la dernière, Up All Night, Kingsbury nous propose une ballade qui est une autre de mes préférées de l’album. La guitare, différente de celles utilisées sur le disque, a réussi à émouvoir la critique.

    Il s’agit d’un premier album pour Sam Patch, mais un qui a été peaufiné et qui coule facilement dans l’oreille. Le disque est un peu plus court que ce à quoi nous nous étions attendus, mais le résultat est bien meilleur. Il n’y a pas de temps mort, ce qui est apprécié. Il est parsemé de plusieurs chansons avec du potentiel, que ce soit pour la radio ou devant public.

    Sam Patch est en spectacle le 4 mars prochain à l’Anti, et il y a toujours des billets disponible.

    Marie-Ève Duchesne

    3 mars 2017
    Albums
  • [SPECTACLE] Les Hay Babies (+Mike Trask) Le Cercle, 26 février 2017

    [SPECTACLE] Les Hay Babies (+Mike Trask) Le Cercle, 26 février 2017
    Les Hay Babies – Photo : Jacques Boivin

    Les Hay Babies se sont arrêtées au Cercle hier pour la dernière représentation de La quatrième dimension. La salle de spectacle leur a donné un accueil de rockstar. 

    Mike Trask – Photo : Jacques Boivin

    Mike Trask

    La première partie était assurée par Mike Trask, un auteur-compositeur-interprète de la Nouvelle-Écosse. Sa musique dans la veine du blues et folk a été appréciée par la foule, qui parlait peu. L’ami des Hay Babies et de Lisa Leblanc a ensuite dédié la chanson Anytime à cette dernière et l’a remercié de lui avoir permis d’ouvrir au Métropolis. Après quelques chansons à la guitare acoustique, il a troqué celle-ci pour une guitare électrique. Il a fini avec une reprise de Tom Waits, accompagné par deux musiciens des Hay Babies.

    Les Hay Babies – Photo : Jacques Boivin

    Les Hay Babies

    Julie, Katrine et Vivianne sont entrées sur scène avec leurs acolytes Mico Roy (guitare), Marc-André Belliveau (batterie) et Kevin McIntyre (basse et claviers) et ont débuté avec Tous les jours de la semaine. La chimie opérait entre le trio de Néo-Brunswickoises et leurs musiciens. Puis, c’est But Now I Know et Johnny Boy qui leurs ont permis de s’approprier la scène. L’éclairage mettait en valeur le groupe et ajoutait une touche rétro au spectacle.

    Les Hay Babies – Photo : Jacques Boivin

    Elles s’éclatent et sont beaucoup plus énergiques, ce qui renouvelle des chansons comme Tumbleweed ou Horse on Fire, jouées pour le grand bonheur de la foule. C’est un mélange de vieilles et de nouvelles chansons que les filles ont jouées, nous faisant oublier que c’était un dimanche soir.

    Le temps d’une chorégraphie sur J’ai Vendu mon char, puis d’une participation de la foule sur Do the Rocket, elles ont enchainé avec Néguac and back et Salsa Sea. Julie, Katrine et Vivianne étaient visiblement contentes de jouer à Québec, ce qui se transposaient à merveille sur scène.

    Elles ont terminé le spectacle par un rappel avec la sublime La poule aux oeufs d’or, l’énergique  Bonnie & Clyde et leur reprise de Bennie and the Jets, fort appréciée par la foule.

    L’histoire ne dit pas si les filles ont finalement été chanter du karaoké au bar le Dauphin.

    Mike Trask – Photo : Jacques Boivin
    Mike Trask – Photo : Jacques Boivin
    Mike Trask – Photo : Jacques Boivin
    Mike Trask – Photo : Jacques Boivin
    Mike Trask – Photo : Jacques Boivin
    Mike Trask – Photo : Jacques Boivin
    Les Hay Babies – Photo : Jacques Boivin
    Les Hay Babies – Photo : Jacques Boivin
    Les Hay Babies – Photo : Jacques Boivin
    Les Hay Babies – Photo : Jacques Boivin
    Les Hay Babies – Photo : Jacques Boivin
    Les Hay Babies – Photo : Jacques Boivin
    Les Hay Babies – Photo : Jacques Boivin
    Les Hay Babies – Photo : Jacques Boivin
    Les Hay Babies – Photo : Jacques Boivin
    Les Hay Babies – Photo : Jacques Boivin
    Les Hay Babies – Photo : Jacques Boivin
    Les Hay Babies – Photo : Jacques Boivin
    Les Hay Babies – Photo : Jacques Boivin
    Les Hay Babies – Photo : Jacques Boivin
    Les Hay Babies – Photo : Jacques Boivin
    Les Hay Babies – Photo : Jacques Boivin
    Les Hay Babies – Photo : Jacques Boivin
    Les Hay Babies – Photo : Jacques Boivin
    Les Hay Babies – Photo : Jacques Boivin
    Les Hay Babies – Photo : Jacques Boivin
    Les Hay Babies – Photo : Jacques Boivin
    Les Hay Babies – Photo : Jacques Boivin
    Les Hay Babies – Photo : Jacques Boivin
    Les Hay Babies – Photo : Jacques Boivin

    Marie-Ève Duchesne

    28 février 2017
    Spectacles
    Le Cercle, Les Hay Babies, Mike Trask, rqc, Simone Records
  • [Album] Leif Vollebekk – «Twin Solitude »

    [Album] Leif Vollebekk – «Twin Solitude »

    Après quatre ans d’absence, le chanteur Leif Vollebekk revient avec son tout nouveau disque, Twin Solitude, paru le 24 février sur Secret City Records. 

    Les deux solitudes sont les deux phases distinctes au disque. Dans la première, Vollebekk est seulement accompagné par un piano et quelques instruments, tandis que dans la deuxième, la guitare l’accompagne et fait penser aux mélodies d’un Nick Drake ou de Jeff Buckley.

    L’album commence avec Vancouver Time, une pièce où le piano et la voix de l’auteur-compositeur-interprète montréalais sont mis de l’avant. L’ambiance du disque est feutrée et l’est tout autant sur All Night Sedans, qui tranche avec les paroles concernant une rupture amoureuse. Elegy, son premier extrait sorti en octobre, est une des belles réussites de l’album. La voix singulière de Leif Vollebekk est à son meilleur avec le piano et la batterie minimale qui l’accompagne.

    Leif Vollebekk est accompagné par le duo Chargaux aux cordes, de Olivier Fairfield (Timber Timbre) à la batterie. Shahzad Ismaily (Marc Ribot’s Ceramic Dog et Secret Chiefs 3) est à la basse pour plusieurs chansons de l’album. Ses musiciens sont, avec Vollebekk, à la base du succès de cette nouveauté.

    Quant à elles, Into the Ether et Big Sky Country rappellent les contemporains qui ont inspiré Vollebekk, mais rapidement, on voit qu’il est dans une case à part et qu’il en a fait du chemin depuis Inland, son premier album.

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    La deuxième phase du disque débute avec Michigan, une pièce folk qui se transpose bien dans l’univers de l’auteur-compositeur-interprète.

    Pour finir l’album, Leif Vollebekk et son groupe de musiciens sont accompagnés par Sarah Pagé (The Barr Brothers) à la harpe sur la pièce Rest. Comment fait-on pour savoir si la chanson est réussie? Lorsque la chair de poule te prend et qu’elle te remue dès le début. On est touché en plein cœur. Elle nous laisse sur un nuage, qu’on doit à l’album qui vient de finir.

    Dans sa totalité, cette nouvelle offre musicale est la plus achevée, et la musique de Vollebekk gagne à être connue. L’album s’écoute tout aussi bien dans son entièreté ou en morceaux ça et là, mais ce type d’écoute vous fera perdre quelques bijoux musicaux.

    Marie-Ève Duchesne

    25 février 2017
    Albums
    leif vollebekk, Secret City Records, Twin Solitude
  • Pouzza Fest: la programmation annoncée

    Pouzza Fest: la programmation annoncée

    C’est cette semaine que le POUZZA FEST annonçait sa programmation. Le festival aura lieu du 19 au 21 mai 2017 dans le Quartier des spectacles à Montréal. 

    Plus de 150 artistes punk se succèderont dans la métropole. Les têtes d’affiche de cette 7e édition sont : Lagwagon, le groupe canadien Pup, The Flatliners, RVIVR et The Slackers.

    C’est aussi une occasion d’aller voir le projet solo de Joey Cape, leader de Lagwagon, ou le groupe vancouverois The Real McKenzies. Les amateurs d’Avail pourront voir Tim Barry, ainsi que Red City Radio d’Oklahoma.

    Ce sont quelques 150 artistes et groupes provenant des États-Unis, du Japon, du Nouveau-Mexique, mais aussi du Canada qui seront à l’honneur.

    Pour plus d’informations sur le festival ou pour connaître la programmation complète, vous pouvez consulter le site Web du POUZZA FEST.

    Marie-Ève Duchesne

    25 février 2017
    Nouvelles
    Lagwagon, Pouzza Fest, Pub, RVIVR, The Flatliners, The Slackers
  • LES NUITS PSYCHÉDÉLIQUES DE QUÉBEC annoncent leur programmation

    LES NUITS PSYCHÉDÉLIQUES DE QUÉBEC annoncent leur programmation

    Les organisateurs des Nuits Psychédéliques ont annoncé la programmation de leur événement, qui aura lieu du 6 au 8 avril prochain au Complexe Méduse à Québec. 

    C’est la soirée thématique « Le Rêve Lucide » qui part le bal le jeudi 6 avril. On pourra apprécier Walrus et The Blaze Velluto Collection, qui en profite pour lancer Weatherman. Une autre soirée, « L’Acide Test », est proposée le 7 avril prochain dès 20 h avec les groupes Double Date with Death, DEAF, Le Vaisseau d’Or. Alex Calder, Crabe et The Highest Order seront aussi de la partie.

    Le 8 avril, c’est une soirée « La Cérémonie » où vont se produire les groupes Strange Broue, Dopethrone, The Mighty Megalodon, WTCHS et MHEDVED.

    Une consommation sera offerte à ceux portant une toge ou une cape noire.

    Les billets sont en vente sur lepointdevente.com.

    Marie-Ève Duchesne

    25 février 2017
    Nouvelles, Région : Québec
    Alex Calder, Blaze Velluto Collection, Crabe, DEAF, Dopethrone, Double Date With Death, Le Cercle, Le Vaisseau d’Or, MHEDVED, Nuits psychédéliques, Strange Broue, The Highest Order, The Mighty Megalodon, Walrus, WTCHS
  • [SPECTACLE] Émile Bilodeau, Théâtre Petit Champlain, 8 février 2017

    [SPECTACLE] Émile Bilodeau, Théâtre Petit Champlain, 8 février 2017
    Émile Bilodeau – Photo : Jacques Boivin (archives)

    C’était le 8 février dernier que l’auteur-compositeur-interprète Émile Bilodeau s’est produit au Théâtre Petit Champlain.

    La tempête n’a pas refroidi les spectateurs venus en masse et de loin pour assister à cette représentation. Ils ont été réceptifs et ont chanté sur plusieurs chansons du nouveau poulain de Grosse Boîte.

    Visiblement à l’aise sur scène, Bilodeau a enchaîné les chansons de Rites de passage, mais aussi les inédits et les anecdotes qui font partie intégrale du spectacle. Comme cette entrevue à Salut Bonjour!, qui a été l’introduction pour Passer à la TV. Son charisme et sa candeur ne passent pas inaperçus.

    Son passage en France lui a inspiré J’ai vu la France, une belle chanson sur la nostalgie de Montréal et de ce qui lui manque. Une pièce qu’on attend sur un prochain EP ou CD. Tout comme Socrate, c’est Platon (sur la philosophie) et Séquoia, qui ont fait partie des nouveautés entendues.

    Pas la langue dans sa poche, Émile Bilodeau captive son public et l’engage à participer sur J‘en ai plein mon cass, Dehors et Ça va. La soirée s’est terminée sur Bière, sorte d’hymne au breuvage du même nom.

    Si on en juge par les nombreuses nouvelles chansons à son répertoire, Émile Bilodeau a le vent dans les voiles et ça promet.

    Marie-Ève Duchesne

    12 février 2017
    Région : Québec, Spectacles
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