D’emblée, l’expérience s’annonçait contemplative. Les musiciens plongés dans le noir et la chanteuse, accroupie, laissaient toute la place au film dont le générique d’introduction se terminait au moment où j’arrivais à mon siège du Palais Montcalm. Un guitariste, un violoniste, qui troquait parfois son instrument pour un clavier, ainsi qu’un batteur, c’est tout ce qu’il… Poursuivre la lecture [SPECTACLE] Tanya Tagaq offre une trame sonore digne de ce nom à Nanook