La première fois que j’ai vu Arkells, c’était en première partie de Metric en 2010. Le groupe de Hamilton, en Ontario, montrait déjà ce qui allait être sa marque de commerce : une énergie particulière sur scène, un indie rock ambitieux qui ne jurerait pas dans un gros amphithéâtre. Avec High Noon, troisième album d’Arkells, Max Kerman et ses… Poursuivre la lecture Critique : Arkells – « High Noon »